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3,95

sur 230 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
C'est à mon avis le meilleur de la série, pour ceux que j'ai lu jusqu'ici.
On est à une époque charnière et on pressent que le régime va basculer sous peu.
Les divergences entre tenants des privilèges et tenants de l'égalité sont pas mal exposées et constiuent une excellente tooile de fond à lhistoire : assassinats, fausses monnaies.
Et comme toujours des descriptions de Paris du XVIIIème, pléthore de recettes culinaires et details sur la mode vestimentaire.
C'est un bon moment
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Un noble se fait piétiner par son cheval, lequel appelé Bucéphale n'avait point eu peur de son ombre mais de pétards ; ce qui avait l'air d'un accident se révèle un meurtre sur fond de fausse monnaie et de trafic immobilier.
La reine se trouverait-elle -ô crime de lèse-majesté ! - mêlée à tout cela ?
Voici une nouvelle enquête de Nicolas le Floch qui l'enverra jusqu'en Angleterre, enquête toujours aussi bien construite et dans ce langage savoureux du XVIII que j'apprécie toujours autant.
On sent comme une atmosphère de fin de monde ou tout au moins de fin de siècle dans cette histoire : vapeurs méphitiques d'un volcan lointain, climat de cour delétère, reine frivole et souverain faible, abus de l'Eglise, règne des aventuriers (Cagliostro et la soi-disante comtesse de la Motte-Valois) et trafiquants en tous genres. Parot décrit une fois de plus les circonstances et le climat qui a conduit à la fin de la monarchie de droit divin, mais cette fois avec une rare intensité. Même le bon monsieur de Noblecourt, ami et protecteur de Nicolas semble inquiet, voire aigri et beaucoup moins bon vivant que de coutume.
Jean-François Parot a l'art d'agrémenter son récit de petites phrases qui font mouche, aussi bien dans l'art de décrire et d'analyser une époque que dans celui d'énoncer des vérités générales dans une sorte de sagesse grand siècle. C'est épatant pour les citations et pour la mémoire. Je me suis une fois de plus régalée à ces aventures de Nicolas, pris en étau entre le peuple et les grands et qui, en honnête homme, essaie de trouver la vérité, en dépit des pressions de toutes sortes qu'il subit.
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J'adore !

J'aime le style authentique de maître Parot, son sens profond de l'Histoire, ses personnages si humains et profondément attachants, ses promenades culturelles dans le Paris du XVIIIème siècle si bien documentées, ses intrigues toujours si proches de la vérité historique et ses interrogations qui dans le cas de ce roman rejoignent celles de notre époque où le peuple gronde quand la sphère politique se complaît dans sa bulle.

Chaque rencontre avec cet auteur est un véritable coup de coeur. le choix d'écrire en vieux français m'enchante, les mots sont alors tellement plus vivants, plus gourmands, plus riants que ceux que l'on usent de nos jours. L'humour omniprésent est un plus qui me fait rire aux moments les plus critiques parfois. Et ses personnages, que l'on retrouve à chaque fois avec grand plaisir, sont pétris de l'amour que l'auteur leur porte et cela transparaît d'une si belle manière tout au long des différents romans.

C'est, en prime, un véritable régal pour qui aime les bonnes recettes de terroir  :-) Ainsi, juste pour vous faire saliver une petite mijotée de légumes qui m'a fait de l'oeil :

« Nicolas la regarda, intéressé, préparer de petites pommes de terre, racine qu'elle lui avait fait connaître et qui commençait à se populariser, des carottes, des navets et des oignons. Elle jeta un peu de saindoux dans un poêlon, y fit légèrement prendre couleur les légumes, y coupa de longs morceaux de lard, les fit revenir et assaisonna le tout. Peu après elle y ajouta une laitue entière soigneusement lavée et couvrit le tout des petits pois. Enfin, une légère jetée de sucre acheva la préparation. Trois quarts d'heure de petit feu sur le potager et Nicolas s'attablait et se délectait du plat, sous le regard ému de Catherine. »

Cerise sur le gâteau, la toile de fond ! Une ambiance lourde de brouillards secs et teintés qui ne se dissipent pas, d'orages foudroyants qui se multiplient et tuent. Ambiance encore épaissie par cette odeur soufrée, pestilentielle, collante et mortelle pour les plus faibles qu'aucun courant d'air n'arrive à éliminer. Ambiance de fin du monde, de fin d'un monde ; annonce apocalyptique d'une société de plus en plus pressurée, annonce d'une révolution attendue…

Et pourtant, rien que de plus naturel ici, juste l'entrée en éruption d'une chaîne volcanique, le Lakagigar le 8 juin 1783 en Islande. Éruption qui va durer jusqu'en février 1784 et qui va provoquer l'étouffement d'une partie de l'Europe dont la France ; asphyxie liée aux nuages de cendres et aux 122 millions de tonnes de dioxyde de soufre émis dans l'atmosphère. Cette situation entraînera non seulement une surmortalité animale et humaine mais sera suivie d'une mini aire glaciaire qui aura raison des récoltes et provoquera de ce fait une période de famine, famine qui pour certains sera le déclencheur de la révolution française.

Je n'ai pas encore épuisé mes ressources, il me reste quelques enquêtes de Nicolas le Floch à découvrir et j'en salive déjà ;-)
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1783, c'est un volcan islandais qui tient le devant de la scène puisqu'il dérègle le temps et provoque des maladies, tant dans les champs, chez les animaux et chez les humains.
Pendant ce temps, Marie-Antoinette appelle Nicolas à l'aide : un de ses amis est mort piétiné par un de ses chevaux.
J'ai retrouvé avec plaisir le marquis de Ranreuil : entre fausse monnaie, écrits diffamatoires et intérêts immobiliers, Nicolas cherche la vérité ET à protéger son fils Louis des ragots.
Toujours passionnant, Jean-François Parot ne manque pas de faire un point historique sur la situation tendue en France, aussi de nous mettre l'eau à la bouche avec les repas dégustés par nos inspecteurs gourmands.
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Nous retrouvons ici Nicolas le Floch, Marquis de Ranreuil, en 1783. Cet été là, l'éruption du volcan islandais Laki pulvérise dans l'atmosphère tellement de particules fines qui vont recouvrir toute l'Europe pendant des mois, que l'air devient irrespirable, les gaz et les pluies acides ruinent les cultures et intoxiquent les populations. Dans le même temps, Marie-Antoinette, Reine de France, appelle secrètement Nicolas pour lui demander d'enquêter sur la mort mystérieuse d'un noble de son entourage, retrouvé piétiné par son cheval. Son enquête l'entrainera jusqu'en Angleterre, à risquer plusieurs fois sa vie pour l'honneur du Royaume. le style de Jean-François PAROT est toujours aussi soutenu, les références historiques très nombreuses et les recettes de cuisine savoureuses, un vrai régal !
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Nous sommes en 1783, et la situation financière de la France n'est pas des plus brillantes. Si la révolte ne gronde pas encore, Nicolas, qui s'est retiré un temps dans ses terres de Bretagne, a pu voir de près les conditions de vie des paysans et des hobereaux de province, qui se sentent délaissés par le roi. N'ont-ils pas combattu, eux aussi ? Ne se retrouvent-ils pas, à déposer l'épée pour donner un coup de main à leurs paysans dans les champs ? Tous ne sont pas ainsi, et certains se vengent sur leurs gens de l'ingratitude de la cour.
C'est la cour, justement, qui confie une nouvelle enquête au marquis de Ranreuil. Une enquête secrète qui commence mal, puisque la reine cache certains éléments à Nicolas et lui recommande de ne rien dire au roi – autant dire que l'affaire est grave, et ne préfigure que trop une histoire qui mettra en scène un collier… et déshonorera définitivement la reine. Parallèlement, Nicolas devra enquêter sur des pamphlets qui mettent en cause la reine, mais aussi un certain marquis, qui a eu un fils avec une fille de joie. Il a déjà dû subir des attaques personnelles, il n'a jamais autant senti à quel point les conséquences pourraient être graves pour l'avenir de son fils. Il ne lui faut guère de temps pour trouver le lien entre les deux enquêtes, la secrète et l'officielle : reste à savoir qui, parmi les proches de la reine, a pu trahir. le pourquoi est bien plus aisé à découvrir, en ces temps incertains.
Le commissaire au Châtelet voit partout les signes que ceux qui devraient montrer l'exemple se complaisent dans les excès. Même les ordres religieux, sous couvert de charité, se mêlent à des trafics, en maniant un discours rempli de dévotion. Tartuffe n'est pas loin ! Quel contraste avec le chanoine le Floch, dont Nicolas se souvient avec émotion, ou avec Pierre, son ami d'enfance, devenu évêque, qu'il espère revoir bientôt.
Dans cette enquête, que la raison d'état censurera, Nicolas verra la mort de très près à deux reprises. de plus superstitieux sombreraient dans la terreur, et je ne dis pas que ces nuits ne seront pas hantés par des cauchemars – il faut dire que ses amis, pour prévenants qu'ils soient, ont des méthodes efficaces mais originales pour lui porter secours. Cependant, notre héros ne renonce pas, même si le dénouement le place dans une situation encore plus périlleuse que celles qu'il dut affronter lors de son périple.
A quand une nouvelle enquête de Nicolas le Floch ? Portera-t-elle sur l'affaire du collier ?
Lien : http://deslivresetsharon.wor..
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Nicolas le Floch et Jean-François Parot en grande forme : intrigues politiques et policières, magouilles et crapules, sur fond de Révolution française à venir et toujours ces formidables balades dans les rues du vieux Paris et ces moments de pur plaisir quand Nicolas (c'est un ami) se met à table.
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Paris, juillet 1783, le vicomte de Trabard est retrouvé mort dans sa propriété du faubourg Saint-Jacques, rue d'Enfer, piétiné par un étalon. Dès le lendemain, Nicolas le Floch, commissaire de police au Châtelet, est mandé à Versailles par la reine qui veut qu'il enquête sur cette mort. Assez vite il apparaît qu'il ne s'agit point d'un accident mais bien d'un meurtre. Et bien plus que cela car derrière cette affaire se cachent un trafic de fausse monnaie et les auteurs de libelles calomniateurs de la reine.

Le cadre historique est celui d'une monarchie paralysée face aux difficultés qui s'accumulent, notamment l'endettement de l'Etat. Autour de Marie-Antoinette, une coterie de favoris place ses proches, veille à des intérêts très personnels et discrédite encore plus le pouvoir. L'opinion est par ailleurs agitée par des conditions climatiques très particulières : forte chaleur accompagnée d'un brouillard inhabituel et puant qui pique les yeux et affecte les personnes sensibles des poumons au point que certaines en sont mortes. Il s'agirait des émanations d'un volcan islandais qui est entré en éruption mais beaucoup y voient une manifestation diabolique ou les signes avant-coureurs de l'apocalypse.

J'aime tout dans les romans de Jean-François Parot. le style comme "à l'époque" qui est un régal, le contexte historique qui nous annonce la Révolution (comment se positionnera Nicolas, fidèle au roi mais aussi proche des petites gens ?) et les personnages sympathiques. Je trouve que le casting de la série tv qui en a été tirée est particulièrement bien réussi. Cette lecture me réjouit dès les premières pages.
Lien : http://monbiblioblog.revolub..
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N°657– Juillet 2013.
L'ANNÉE DU VOLCANJean-François PAROT – JC LATTES.

Nous sommes en Juillet 1783 et le vicomte de Trabard vient de mourir, tué en pleine nuit par son cheval, Bucéphale. Ce nom avait déjà été porté par le destrier d'Alexandre le Grand mais si ce cheval avait peur de son ombre, il semblerait bien que la monture du vicomte ait craint les pétards jetés dans son box nuitamment, ce qui, pour le commissaire le Floch est sans aucun doute le signe d'un assassinat camouflé en accident. D'autant que le cheval est présenté comme une bête fougueuse alors qu'il n'en n'est rien ! Quant au vicomte, pour être noble il n'en était pas moins quelqu'un de peu recommandable dont on n'aurait bien pu vouloir se débarrasser. le vicomte et la vicomtesse vivent sous le même toit mais mènent deux vies bien séparées ce qui pourrait bien être une explication à cette mort mystérieuse, les domestiques, sous couvert de la fidélité à leurs maîtres, cachent des informations à nos policiers, les appartements de M. de Trabard ont été fouillés bien avant l'arrivée de la police et les nombreux détails qui s'accumulent lors de leurs recherches contribuent à épaissir le mystère qui entoure cette affaire et posent bien plus de questions qu'ils n'apportent de réponses. le plus étonnant est sans doute que la reine qui fait mander Nicolas le Floch pour enquêter, entend être tenue exclusivement et personnellement informée des développements de ses investigations. Un cas de conscience pour notre « commissaire aux affaires extraordinaires » qui rend compte d'habitude au Roi lequel lui accorde toute sa confiance et à qui il est tout dévoué ! Autour du marquis de Ranreuil, ses amis le mettent en garde : cette affaire est grave et pourrait entraîner sa disgrâce, et pour faire pression sur lui, on le menace même de révélations sur sa vie privée !

Il est aidé par son fidèle et efficace Bourdeau, toujours aussi critique au regard de la Cour. Il est ici l'expression d'un peuple qui gronde et auquel il appartient, même si ses fonctions policières l'amènent à protéger la royauté ! Certains de ses propos prennent dans ce récit une dimension prémonitoire. Plus les investigations avancent autour du vicomte de Trabard , plus le secret s'étend, d'autant que cette époque est troublée, que le roi a de moins en moins de pouvoirs, que les bases de la société se délitent, que des scandales éclatent, que l'État est en faillite à cause notamment des dettes faramineuses de la reine dans le remboursement desquelles le vicomte aurait pu jouer un rôle peu catholique, que le peuple fait de plus en plus entendre sa voix et ses revendications, menaçant l'ordre public, que circulent des pamphlets et des libelles, bref une atmosphère de fin de règne qu'un policier intègre ne peut que redouter ! Tout s'y met, même la terre qui ne cesse de trembler et ce volcan islandais qui répand ses vapeurs nocives jusque sur le royaume de France !

Lors des investigations de le Floch, le lecteur croise une franc-maçonnerie de plus en plus influente, l'énigmatique comte de Cagliostro, Restif de le Bretonne toujours aussi inattendu et insaisissable, l'ombre de Sartine, ancien ministre retiré des affaires mais toujours attentif aux choses de l'État, des faux-monnayeurs, des trafics en tout genre, des spéculations immobilières de la part d'ordres religieux qui ont pourtant fait voeux de pauvreté, des coteries où la galanterie le dispute à la corruption et à la volonté de nuire...

Cette enquête est passionnante du début à la fin. Elle nous entraîne sous le règne de Louis XVI et nous dirige dans ce Paris du XVIII°siècle plein de mystères. Comme toujours je note les recettes de cuisine qui émaillent le récit, si détaillées et goûteuses que le lecteur a l'impression d'être invité parmi le commensaux. Comme toujours le texte est érudit et on y gagne toujours quelque chose qui ressemble à la connaissance de cette période passionnante et des gens qui y vivaient, petits ou grands !

Un détail, et non des moindres cependant : je veux redire ici combien j'apprécie le style de Jean-François Parot, riche en tournures et en vocabulaire un peu surannés mais ô combien musicaux et distingués. C'est d'autant plus important à mes yeux qu'il est devenu presque banal d'écorcher au quotidien notre belle langue jusque dans les « sms » et que nombre de professionnels de la parole et de l'écrit qui sont censés en faire un usage correct ne cherchent même plus à la respecter. C'est plus fort que moi, mais j'aime qu'on serve correctement le français et c'est toujours pour moi un plaisir de lire de tels romans.




© Hervé GAUTIER - Juillet 2013 - http://hervegautier.e-monsite.com










































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Dans la série des enquêtes de Nicolas le Floch, commissaire au Châtelet, Jean-François Parot nous offre un petit bijou, de seulement 470 pages. Roman policier et roman historique, surement ; roman d'aventures, surtout.
L'écrivain nous transporte en 1783 par la grâce d'une magnifique langue musicale. Ronde et distinguée à la cour, directe et sans atours dans les faubourgs, le français est l'harmonie de l'ouvrage et il n'est pas étonnant qu'en le portant à l'écran, on en eût conservé ce ciment.

Et Paris…Paris…De la rive droite à la rive gauche, de Saint Sulpice au Louvre, de la barrière d'Enfer au Chatelet, les amoureux de Paris, transportés au grand siècle, découvriront, étonnés et ravis, leurs aïeux cachés par le manteau de l'habitude.

1783, l'aide aux insurgés américains a vidé les caisses du Trésor ; l'impôt rentre difficilement ; la colère gronde alors qu'en Islande jailli le feu du Lakagigar. Couvrant la France d'une poussière mortifère, masquant le soleil, ce cataclysme déboussole une population. Plus tard, on lui trouva une nouvelle dénomination : le "volcan de la Révolution"

De l'histoire je ne conterai que le début quand le commissaire le Floch est convoqué par la Reine. Il lui sera demandé d'enquêter, sans en référer au Roi, sur un décès qui s'avérera un assassinat. Voilà le cavalier de Compiègne dans une bien inconfortable position. Il ne peut trahir la Reine et ne saurait mentir au Roi. Une enquête criminelle se passerait bien d'une telle pression des monarques dans un Versailles tout bruissant de rumeurs et fourmillant de va-y-dire.
Sur fond de libelles assassins produits par la perfide Albion, de manipulation des taux de change et du cours de l'or, de spéculation immobilière avec l'active participation des ordres réguliers, Nicolas le Floch, armé de son intuition et accompagné de ses habituels compagnons, aura bien du mal à manoeuvrer entre grande politique et basse police.
Et que dire des déplacements professionnels que chacun s'accordent à trouver fatiguant. S'enchaînent, jusques à l'épuisement, une poursuite de Paris à Nantes en seulement huit jours et une mission éclair de deux jours à Londres, soit un rapide aller-retour de 10 jours ; Saluons le TGV du XVIIIème : le réseau de relais de poste.

Soufflons un peu grâce à Nicolas et sa vieille chanson bretonne propre à calmer les chevaux. (p 42)
marc'h Haman'zo act dra Vrest
Dishual ha digabestr
War ar vein, war an chein,
Hag an hini gozh war e gein

Une opinion ?
Ma foi, si par hasard, je ne l'avais pas déjà dit. Il s'agit ici d'un extraordinaire livre digne des volumes antérieurs. le plaisir du lecteur est à proportion du travail et du talent de l'auteur. Il fut immense, ma mémoire en tressaille encore.

Quel bien beau cadeau d'anniversaire, que ma bien aimée Florence m'a offert.

JC Lattes, Février 2013, 470 pages, 18,50€

Lectori salutem, Pikkendorff

Lien : http://quidhodieagisti.kazeo..
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