Étonnamment assez déçue par ce tome d'Artpoche qui m'avait assez bien convaincue avec Goya.
L'ensemble m'a semblé moins bien construit et plus flou dans les explications. Entre les changements brutaux de peintres qui se font en plein milieu du texte avant de repasser à l'artiste quand on en parle, il faut être sacrément accroché pour suivre.
Pour les contextes historiques, pas mal de choses, importantes selon moi, on été évincées comme par exemple tous les conflits et jeux de pouvoir entre les grandes familles italiennes qui ont pourtant pas mal influencé sur le développement de l'art en Italie.
Les textes sont souvent capillotracté pour rien avec un vocabulaire technique et des tournures de phrase trop souvent alambiquées. J'ai d'ailleurs souvent eu l'impression que ce livre était uniquement réservé à des personnes du milieu.
Niveau image, je suis également mitigée entre la qualité qui est là sans non plus être au top et le choix d'images qui ne sont parfois même pas les oeuvres citées dans le texte (alors que les citées n'y figurent pas sur cette même page!).
Cette lecture fut donc un assez gros regret à cause de tous ces points et c'est pour ça que je ne le garderai certainement pas.
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La recherche des lois mathématiques permettant d'obtenir sur la surface d'un tableau des effets de profondeur à trois dimensions, a passionné de nombreux artistes de la première Renaissance. Le raffinement atteint en Italie dans la technique de la perspective comme dans l'harmonie des proportions, a attiré dans la péninsule les artistes étrangers qui, comme Dürer, étaient plus sensibles à un système rationnel des règles picturales.
(page 126)