Le Petit Poucet

Cette histoire est magnifique ! Beaucoup d'émotions, pour petits et grands, à partir de 10 ans. Charles Perrault est intelligent ! Cette histoire peut encore se passer maintenant, mais pas avec un ogre.

J'aime bien la manière dont c'est écrit, peut-être que ça ne plait pas à tout le monde, mais le vieux français est très poétique. Par contre, je ne comprends pas comment l'ogre peut habiter avec un femme si gentille ?

En tout cas, j'aime cette histoire ! C'est un chef d'oeuvre ! VaroLuver, 11 ans

Grand classique, incontournable, connu de tous.

le Petit Poucet est une histoire que, j'ai énormément aimé, surtout le moment où le Petit Poucet très timide, qui ne dit jamais rien, prend la parole, lorsqu'il guide ses frères jusqu'à chez eux. C'est une fabuleuse histoire, si elle était vraie, je pense, je suis même sûre, qu'il y aurait énormément d'abandons d'enfants. Il y a des moments où je n'ai pas eu l'impression que tous les mots se mélangeaient et à ce moment, je ne comprenais pas le sens de la phrase. L'écriture était très étrange, la façon d'écrire est bizarre. Mais cette très belle histoire m'a énormément plu, je pourrais la relire encore et encore!!!
MIMINOUGAT, 12 ans

Le petit Poucet est une histoire dans laquelle j'ai failli pleurer. C'est tellement triste que des gens soient obligés d'abandonner leurs enfants parce qu'ils n'ont plus d'argent !
Sinon, j'ai adoré cette histoire, elle est prenante. On a l'impression d'être dedans. Je l'adore aussi parce que parfois on a peur pour les personnages. Par exemple quand l'Ogre veut les manger.
Je trouve que le petit Poucet est fort petit mais très intelligent.
Heureusement que ses frères l'avaient, sinon ils seraient morts.
Par ailleurs, je me demande pourquoi le petit Poucet n'a pas repris des pierres quand ses parents l'ont abandonné la deuxième fois.
Je n'ai pas aimé certains moments, par exemple quand l'Ogre veut manger le petit Poucet et ses frères.
Mon dernier mot est que j'adore cette histoire.

Tout le monde connaît le conte Petit Poucet de Charles Perrault. Ces histoires plutôt effrayantes ont peuplé notre jeunesse et continueront d'exister encore longtemps à travers différentes adaptations. Alors pourquoi lire cette adaptation et pas une autre ? Pour ses illustrations, bien sûr ! Cet ouvrage est un grand format à la couverture cartonnée épaisse. A l'intérieur, Hassan Amekan prend plaisir à utiliser tout l'espace libre pour nous présenter ses créations. Sa force est de créer un univers moderne (des dessins en deux dimensions mêlés à des photographies (poêles, gazinière, cadre photo, etc) mais tout en gardant une certaine intemporalité. Ses illustrations sont riches en détails et en couleurs chatoyantes, un véritable plaisir visuel ! J'ai pris plaisir à redécouvrir ce conte effrayant, les enfants vont adorer !
Lien : http://romansurcanape.fr/coi..

Le célèbre conte de Charles Perrault revu et visité qui renaît avec les talents que l'on connaît à Jean-Pierre Kerloc'h (qui nous avait déjà offert un Peau d'âne) et à Isabelle Chatellard. Truffée d'allusions, d'expression mordantes et inattendues, si l'histoire reste fidèle au conte classique, Jean-Pierre Kerloc'h y imprime son style et ponctue le textes de nombreux dialogues écrits en couleurs. Comme pour y répondre, Isabelle Chatellard nous propose de grandes illustrations pleine page, où domine la blanc, le vert et le brun et nous entraîne dans un monde onirique, fait de lutins et de sapins, d'ogre et de rois. Comme pour mieux nous faire vivre les aventures de ce Petit Poucet au pays des contes de fées. Une réussite.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..

Cet ouvrage ne correspond absolument pas à celui que j'ai lu. Il s'agissait de l'édition illustrée par Gustave Doré. Pourtant c'est bien celui demandé qui apparaissait en premier quand j'ai indiqué l'ISBN.
Je vais faire comme si...
Un grand classique que je connaissais comme tout le monde, mais que j'ai pris beaucoup de plaisir à relire et surtout à découvrir les illustrations de Gustave Doré qui n'ont rien à voir avec celles des adaptations plus récentes .
Qu'il s'adresse aux adultes ou aux enfants, Gustave Doré ne transige pas.
D'ailleurs, les contes originaux de Charles Perrault et des frères grimm sont souvent très sombres et j'attendrai pour les lire à mon petit-fils de 4 ans.
Il risquerait de faire des cauchemars avec ces parents qui abandonnent leurs enfants, leur peur d'être perdus dans cette foret profonde, les loups qui hurlent, l'ogre qui veut les manger tout crus et ses filles auxquelles il coupe la gorge !
Heureusement qu'il y a le mignon et malin Petit Poucet, David triomphant de Goliath à notre grand soulagement !
Bien que Bruno Bettelheim soit à prendre avec des pincettes (ses théories fumeuses sur l'autisme ont fait des ravages), je lirais bien son ouvrage "Psychanalyse des contes de fées".
Que les féministes me pardonnent, mais j'ai bien aimé ce petit trait d'humour noir de Charles Perrault :
"Mais quand elle arriva en haut, elle poussa un cri d'horreur. Elle venait de voir ses sept filles égorgées. Elle commença par s'évanouir (ce que font toujours les femmes en pareil cas)".

Je viens de découvrir la version de Maria Jalabert édité par le centre national du livre sous la collection a pas de loups.
Une version vraiment adapté pour les plus jeunes.
Un vrai travail de l'illustratrice pour rendre ce conte plus accessible pour les plus petits.
On sent une vrai réflexion sur les décors les objets fabriqués ou proposés c'est très bien fait.
Beaucoup de tendresse dans les images pour un conte plutôt difficile pour les jeunes enfants.
Un version à découvrir sans hésiter

Conte horrifique à bien des égards, le Petit Poucet réunit de nombreuses peurs ancestrales : famine, forêt sombre et impénétrable, abandon, ogre cannibale, infanticide, vampire, tout concorde pour faire frissonner le lecteur à chaque page. L'histoire du benjamin chétif et méprisé qui sauve toute sa famille grâce à son intelligence a été maintes fois adaptée et réinterprétée. Dans cette version de Charles Perrault qui fait figure de récit des origines, les mésaventures des enfants abandonnés par leurs parents miséreux s'inscrivent dans un contexte bien réel : nous sommes en 1697 et le souvenir de la grande famine de 1693-1694 est encore bien présent. Mais le petit Poucet veille et le fantastique guette…

C'est autour de ce personnage emblématique, considéré comme insignifiant par son entourage, que tourne la fable. Enfant bien malin que ce petit Poucet de sept ans, capable d'écouter, d'anticiper et d'agir dans l'urgence pour se sortir de situations épineuses. Ses frères ne sont bons qu'à pleurer et ses parents à se lamenter. L'autre personnage marquant est son adversaire, l'ogre mangeur de chair fraîche, père de sept fillettes aux dents blanches capables de « sucer le sang ». Sa femme éplorée, qui a pitié des enfants abandonnés mais n'en apprécie pas moins son « fort bon mari », me semble également une figure assez atypique : est-elle faible, opprimée, ou est-ce l'instinct maternel qui la pousse à protéger Poucet et ses frères ?

Si elle n'est pas révolutionnaire, la morale du Petit Poucet se veut familiale. Gardez-vous de juger vos enfants à leur apparence, car ils peuvent vous réserver bien des surprises, nous dit Perrault. J'adore l'ambiance de ce conte, ces tableaux très vivants qui se succèdent et ont été à merveille immortalisés par Gustave Doré. Ce récit est aussi l'un des plus atroces que je connaisse, et on imagine sans peine ses effets à l'époque où il a été écrit. La double chute apporte une dose d'humour bienvenu. Pourrait-on y voir une pique discrète à l'encontre de l'illustre monarque dont on taira le nom, occupé à guerroyer au loin pendant que ses sujets meurent de faim ?

Il ressemble par maints aspects à Hansel et Gretel, mais rappelle aussi la légende de David et Goliath. Je trouve particulièrement glaçante la scène où l'ogre se lève pour égorger les enfants durant la nuit, hélas trop souvent édulcorée.

Pauline Deysson - La Bibliothèque
Lien : http://www.paulinedeysson.co..

Un conte qui, quand j'étais enfant, je dois bien l'avouer m'avait fait pleurer. Je trouvais ça horrible d'abandonner ses enfants, même dans la pauvreté. Je m'étais même mis à la place du petit poucet, imaginer ma mère m'abandonner m'avait encore pus fait pleurer. C'est donc l'une des plus belles histoires pour moi. Et elle fait incontestablement partie de celles que je n'oublierai surement jamais. L'ingéniosité du petit poucet, lui le plus jeune, c'était vraiment superbe.