Citations sur Médicis, tome 2 : Laurent le Magnifique : De père en fils (20)
-Cette chapelle en construction derrière moi, quand elle sera achevée, les plus grands artistes la couvriront de fresques, elle deviendra le joyau de la chrétiennement. On la nommera la "chapelle Sixtine" en mon honneur. Je vous offrirai à tous deux une place immortelle sur ces murs. Vous y seraient peints comme les plus grands défenseurs de l'église.
-La vanité n'a jamais fait gagner une bataille.
- Clarisse : Mais tu n’es pas un prince, mon époux. Florence est une république.
- Clarisse : J’ai beau être une épouse indulgente, j’ai toujours eu du mal à comprendre ce besoin que Julien et toi aviez de vous répandre entre les jambes de tant de femmes.
- Laurent le Magnifique : Nous sommes des Florentins. Pas des hypocrites de Romains ni des brutes de Napolitains…
- Clarisse : Et que veux-tu faire ?
- Laurent le Magnifique : Agir en Médicis… Ruser au lieu de guerroyer.
- Sixte IV : Il y aura toujours des gens pour aimer et soutenir les tyrans, si décadents soient-ils.
- Sixte IV : Quel meilleur prétexte que Dieu pour faire la guerre et amasser de l’or ?
Mieux vaut au peuple un despote qui préserve la continuité des choses que des idéaux provoquant le désordre.
- Laurent le Magnifique : Nous parlerons plus tard, Tommaso. Je respecterai toujours ton avis, mais je ne le suivrai que quand je le jugerai utile.
- Renato Pazzi : Et que proposes-tu pour lui reprendre la République, Oncle Jacopo ?
- Francesco Pazzi : Faisons aux Médicis ce qui se faisait jadis dans les rues de la cité entre grandes familles. Tuons-les !
- Laurent le Magnifique : L’Histoire ne s’écrira qu’après ma mort et sur la base des mensonges que nous aurons choisi de faire connaître à notre sujet. Si mon entreprise ici est un échec, on maudira mon nom ; si elle réussit, je serai le héros de Florence et on me nommera "Laurent le Magnifique".