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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
La photo illustrant la couverture, trop retouchée, donne une image parfaite de cet homme, Thomas Pesquet, dont l'autobiographie est présentée dans Ma vie sans gravité. Cette histoire devrait être assez courte puisque l'homme est âgé de quarante-cinq ans. Mais, comme il est le seul français, et le plus jeune homme, à avoir séjourné dans l'ISS, l'astronaute est une légende vivante. Elle confie son parcours en 400 pages de l'enfance au prochain voyage.

Il faut dire que cet essai rassemble, encore une fois, ce que l'homme souhaite montrer dans les différents médias : son ouverture, son accessibilité et son souci de permettre au plus grand nombre d'appréhender les notions complexes de la conquête spatiale.

Le lecteur comprend rapidement que l'homme aime être à la première place et cherche par tous les moyens à répondre à son idéal. Il vante le travail fournit, les choix faits et sa témérité récompensée par un itinéraire hors norme. Mais, faut-il le préciser, son très fort potentiel est largement au-dessus de la moyenne humaine.

Néanmoins, beau parleur, il essaye de convaincre de sa normalité pourtant incroyable.
Devant sa popularité et ses inconvénients, il téléphone à Stromae pour écouter ses conseils. Comme on sait que ce dernier se relève à peine d'une dépression sévère, des confidences sont attendues…Mais, en vain !

De même concernant sa compagne, Anne, dont il loue l'intelligence, le travail essentiel dans l'agronomie, etc. Comme si le héros ne pouvait qu'être aimé que par une femme remarquable !
Là encore peu de confidences. Thomas Pesquet reste très discret sur ses sentiments, sauf qu'il révèle leurs tentatives difficiles de vie commune.

Les vraies révélations concernent les programmes, les entraînements, les équipages, les essais et le vécu d'un scientifique dans l'espace. Pour les inconditionnels, ceux-ci ne devraient pas être déçus ! Thomas Pesquet raconte ses deux missions en orbite : celle à bord d'une fusée russe Soyouz en 2016, puis en 2021 à bord d'un vaisseau américain de Space X. Une anecdote précise combien Elon Musk est peu adapté aux relations humaines.

Son quotidien, Thomas Pesquet le partage avec son expérience de plus d'une année à 400 kilomètres autour de la terre dans à peu près 400 m2 habitables. Passionnant !

Cette biographie se lit facilement. Elle raconte une histoire de réussite au service de l'espèce humaine, loin des “success-story” habituelle. Ma vie sans gravité est un titre qui convient bien à cet homme extraordinaire qui aspire à être un homme ordinaire.

Sûr que Thomas Pesquet devrait être sous le sapin cette année avec Ma vie sans gravité !
Lien : https://vagabondageautourdes..
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Une couverture qui va immédiatement m'évoquer la renaissance italienne - Lèvre ourlée, la paupière haute, l'oeil symétrique, le sourcil esquissé, la narine discrète… Il s'agit d'un portrait d'une régularité esthétique incomparable - Rien n'encombre la douceur, la sérénité figée et déjà mythologique de ce visage - C'est « La naissance de Vénus », sans le coquillage, mais avec un casque de cosmonaute (4e de couverture) dans lequel Thomas apparaît impassible, ou plutôt dans l'attente d'un décollage devenu addictif.
Ce type est un mystère terrestre. « Ma vie sans gravité » aurait pu être la biographie d'une intelligence artificielle dotée d'émotion, de conscience, celle d'une hypothétique I.A forte, mais contre toute attente, Thomas apprécie la poitrine fumée et le boeuf bourguignon - une ingestion qui validera sa complète appartenance au genre humain du XXIe siècle avec encore toute sa panoplie de fragilité, de paradoxe, de crainte et d'émerveillement. Thomas s'engage pour le climat, mais sait-il qu'en révélant la nature de ses plats embarqués, il cautionne indirectement l'élevage et les pets bovins qui sont en grande partie responsables du réchauffement climatique ? Il aurait sans doute été plus moderne et cohérent de choisir un chef comme Claire Vallée… Mais enfin, nous ne sommes pas à un défaut de communication près, et je ne mentionnerai pas le nombre hallucinant d'invitations à tous ses proches et amis qui traverseront le globe en avion pour venir assister à ses décollages, ni les débris laissés dans l'espace… sinon on ne fait plus rien et on ne fabrique plus de héros. J'ai appelé mon chien « Thomas », car dès le départ, j'aspirais à ce qu'il se faisait de mieux pour lui - Ma boule de poils d'amour, mon ange merveilleux représente toute la beauté, toute la perfection à mes yeux… pourtant je ne peux pas lui reprocher de se jeter sur ses croquettes au poulet - Même si je me suis récemment découvert une aversion pour les poules et les cochons dont la capacité démoniaque à s'entretuer et à se dévorer entre eux m'autorise à les inclure dans une alimentation plutôt saine et sans culpabilité aucune.
En fait, Thomas (l'astronaute) aurait idéalement dû promouvoir le Bucket Tenders de chez KFC et cela m'aurait évité de partir dans une digression de créationniste incompris.
Lire cette aventure finalement si humaine et si extraordinairement spatiale n'a fait que renforcer l'admiration que j'éprouve pour le surhomme… qui, en définitive « n'est qu'une » intelligence parmi tant d'autre, qu'il a suffi d'alimenter, de stimuler ou de provoquer.
Car Thomas (comme mon toutou adoré) ne tient pas en place, il n'a de cesse de vouloir s'activer, jouer, explorer - Tout ce qu'il entreprend est réalisé avec une passion, une volonté et une confiance absolument déconcertantes pour le pleutre névrosé que je suis - Mais là où il diffère des autres gros cerveaux et de la population en général, est que Thomas (tenez-vous bien) n'a jamais eu de caries ! Après tout, peut-être faut-il chercher l'origine de ce destin sans fautes, non pas dans ce cocon familial gluant de jolis principes et de beaux sentiments à faire pâlir de jalousie Caroline Ingalls, mais dans l'absence totale de bactérie buccale ?
On apprend certes beaucoup de choses sur notre héros national, comme cette facilité à nous exposer ses capacités physiques et cognitives d'exception. Il ne cache pas son attrait pour sa propre perfection et refuse l'idée de renoncement, de défaite, hormis une certaine erreur humaine… mais pas trop grosse quand même. Il faut que cette dernière reste pardonnable, voire insignifiante, invisible.
Ce qui va apparaître plus étrangement visible concerne Anne, sa compagne - C'est comme s'il éprouvait également le besoin de louer sa carrière forcément brillante et prestigieuse - plutôt que de l'admiration (même s'il y en a aussi), j'ai ressenti une espèce d'obligation à saluer la force, le courage, l'indépendance, l'abnégation et l'intelligence de dingue de celle qu'il a su choisir. L'insistance avec laquelle il s'efforce de lui donner de la valeur, de la rassurer sur son potentiel intellectuel et de lui démontrer « qu'elle le vaut bien » ou qu'elle le mérite « lui » commence très vite à devenir gênant.
C'est d'ailleurs l'une des excentricités du livre : donner à voir ce qu'on n'osait pas voir soi-même.
Le lecteur (et sans doute encore plus la lectrice secrètement amoureuse de l'auteur et sans doute encore beaucoup, beaucoup et beaucoup plus si je m'étais prénommée Géraldine) devient le témoin d'une autre apesanteur (« pesanteur » serait plus approprié). Un coeur flottant, parfois dans l'incertitude, la crainte, semble vouloir déclencher un signal d'alarme.
Anne ne veut plus supporter l'angoisse d'un deuxième départ en fusée - « tu me laisses une fois de plus tomber » - « Tu me laisses toute seule à tout gérer » - « Tu préfères les inaugurations et les journalistes à moi » - « Tu as changé » … et autres reproches plus invraisemblablement puérils les uns que les autres.
De sagace, on passe à l'agacement - « Enfin ma petite chérie, merde quoi ! » se dit la lectrice (ou Géraldine) déjà affaiblie par la convoitise - Ressaisis-toi ma belle ! Tu es maquée avec le mec le plus charismatique, le plus balaise et le plus ambitieux de la planète et tu oses la jouer Drama queen ?! - Moi, à ta place, je le nourrirais essentiellement d'encouragements et de pâtisseries faites maison. Je collectionnerais toutes les guêpières Wish - Je passerais ma vie à le surprendre, à être reconnaissante, admirative, constamment excitée… et qu'importe si je suis responsable du rayon luminaires chez Leroy Merlin, je ferais tout pour être sa lumière et sa reine.
Cette tournure « confession galactique à Gala » ainsi que le folklore et les petites combines russes auront l'avantage de graviter autour d'un récit à caractère tout de même très technique. J'avais espéré une vulgarisation d'un niveau CM1, mais force est de constater que ce lexique s'adresse à ceux du premier rang.
L'ouvrage reste une aventure fabuleuse parce qu'on se prépare à partir vers les étoiles, à décoller avec lui - Et pour autant, je ne peux que regretter une parole, une description et une émotion plus intimes et spirituelles. Il y a bel et bien une ébauche de retranscription, avec parfois de petites prouesses poétiques, mais j'aurais vraiment aimé qu'elles envahissent un peu plus l'espace, qu'il exprime son silence, que l'on observe avec lui l'immensité, le vide, le mystère pendant plusieurs pages - Que l'on pense ensemble, à rien comme à tout, que je puisse tenter de situer, de comprendre ma vulnérabilité, ma place, mes croyances, à travers l'immense hublot de l'ISS.
Une secousse émotionnelle que je n'ai pas non plus complètement ressentie lors des décollages successifs. Je pensais revivre ce qu'avait parfaitement su imaginer J.R DOS Santos dans son roman « Signe de vie » dont le chapitre sur le départ en fusée m'avait procuré des sensations uniques, une expérience de lecteur absolument démente, irrationnelle!
Mais encore une fois Thomas va trop vite, et le partage de réactions est bien trop frugal - J'avais espéré une virtualité livresque, une mise à feu aussi percutante de réalisme que celle du romancier portugais.
Peut-être qu'un jour, un artiste pourra rejoindre le milieu interstellaire et nous restituer les conquêtes orbitales de son âme.
À moins que Thomas décide de rédiger son prochain livre lui-même (« Ma vie sans Anne » ou « Ma vie avec Géraldine »), à prendre le temps, depuis son vaisseau à destination de mars et de sa seule liberté.
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Une autobiographie d'e l'astronaute français, qui a su m'intéresser à la découverte spatiale : Thomas Pesquet.
Par son partage de sa vie quotidienne en apesanteur, au sein de la station spatiale internationale, des contraintes, des expériences scientifiques, cela rend humain, leur vie d'astronaute.
Car il en faut du courage, des heures de travail sur soi, sur la théorie, les répétitions, les épreuves de survie, les épreuves de contrôle de soi, des machines, des expériences, pour réussir à être astronaute, et peut-être à partir en mission et faire des sorties extra-véhiculaires, dans l'espace.
C'est le destin fabuleux, mais qui a nécessité beaucoup de travail, qu'est celui de Thomas Pesquet.
Ce livre m'a fait voyager dans l'espace, partager avec les astronautes, leur peur, leur joie, leur fatigue, leur courage, et ce fut un beau voyage.
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Dans cette autobiographie, Thomas Pesquet nous raconte sans fard ses aventures aussi bien que sa vie ordinaire. Il commence par son enfance et sa scolarité sans fausse note -où l'on sent déjà l'esprit de compétition- son expérience de pilote de ligne et son recrutement exceptionnel à l'ESA (6 postes pour plus de 8000 candidats).

Il explore ensuite ses deux missions sur l'ISS, d'abord Proxima depuis Baïkonour en Russie avec Soyouz, et Alfa avec Crew Dragon au départ de la Floride. Ces deux missions sont encadrées par de longues phases de préparation, il vit alors entre Cologne, Baïkonour et la Floride. Et le retour sur Terre, avec une nouvelle notoriété difficile à assumer. On comprend qu'être astronaute est bien plus qu'une mission ou un rêve, c'est un sacerdoce, comprenant son lot de sacrifices que partage sa compagne Anne, qui est son socle et à qui il rend un hommage touchant.

Dès sa première mission, Thomas Pesquet endosse une démarche pédagogique, il veut rendre l'exploration spatiale accessible, expliquant les enjeux et défendant les contradictions écologiques que peuvent susciter ces démarches. Il montre que vu d'en haut, la terre semble encore plus fragile, unique et indispensable à la survie de l'homme.

Le livre est ponctué d'anecdotes, comme les incroyables superstitions russes d'avant décollage ou des détails sur la vie intime à bord de l'ISS. On ressent l'incroyable solidarité entre les astronautes, malgré les enjeux pour la course à l'espace qui sont politiques et économiques. Thomas Pesquet n'hésite pas à évoquer ses désaccords.

Ce livre, très bien écrit avec l'aide de Arnaud Cathrine, est rythmé et se lit comme un roman. Frissons et émerveillement garantis ! Thomas Pesquet sait parler en se mettant à la porté de tous, sans termes trop savants. On ne peut que constater son talent, malgré son humilité. Il est aussi exceptionnel que proche. Il continuera certainement à nous faire rêver depuis la lune !
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Contrairement à toi Thomas, j'ai toujours rêvé d'espace. J'ai fait du karaté, pas du judo et je suis nul en sport. Adolescent je rêvais déjà d'être spationaute comme Jean-Lou Chrétien et je lisais beaucoup de science fiction. J'en lis toujours. Par contre, je n'ai jamais été bosseur, j'avais juste des facilités. J'ai souvent volé en avion, mais toujours comme passager et si j'ai tenu un manche, c'est uniquement dans un planeur pendant quelques minutes. Mais quel pied ! J'ai rêvé de devenir pilote de chasse avec Top Gun, informaticien avec Wargames et je suis devenu météorologue un peu par hasard. J'ai raté le recrutement de 1992 (en fait personne ne m'avait prévenu) et en 2009 j'étais déjà trop vieux. En plus j'ai une bouche remplie de plombages et couronnes. Mais je suis toujours partant si vous voulez de moi aujourd'hui. Mon destin est de marcher sur la Lune ou sur Mars, ou simplement aller une fois dans l'espace.

Thomas Pesquet se raconte sous la plume de Arnaud Cathrine dans Ma vie sans gravité, un cadeau de Noël reçu en deux exemplaires car tout le monde à la maison a bien compris que je voue un culte au bonhomme.

On suit M. Pesquet de la maternelle jusqu'à l'ISS, un chemin jalonné d'étapes que je n'ai manifestement pas su franchir puisque je suis toujours debout sur le plancher des vaches. Jaloux moi ? A peine…

Certains passages du bouquin rappellent furieusement l'Etoffe des Héros, livre et film cultes ou le film Gravity, d'autres mes études à Toulouse. Y a pas à dire, vivre à l'intérieur de l'ISS par procuration, c'est vraiment génial. Thomas explique simplement la mécanique spatiale, la recherche effectuée à bord de la station spatiale internationale, l'entraînement des astronautes mais également le prix de la célébrité, le vécu de son entourage, notamment celui d'Anne sa compagne. Il évoque même quelques désaccords avec son encadrement concernant les priorités, les choix et d'autres sujets.

Deux missions à bord de l‘ISS pour le prix d'une, d'abord Proxima avec Soyouz et puis Alfa et le Crew Dragon. D'ailleurs SPACE X en prend pour son grade, moi qui croyais que cette nouvelle capsule était spacieuse, j'ai bien déchanté en lisant Thomas Pesquet.

Mieux qu'un biographie, le livre raconte de passionnantes aventures spatiales vécues. Je n'ai qu'un reproche, le titre du roman peu inspiré et la couverture narcissique. J'aurais préféré un Thomas en EVA.
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Un livre très agréable à lire. Facile d'accès ( pas de termes savants plus que nécessaire) , on y apprend comment accéder au métier d'astronaute . J'ai appris notamment que tout se passait en Russie ! On découvre aussi les petites luttes de nation pour savoir qui a le droit d'aller dans l'Iss. Les préparations et l'entraînement , le nombre de langues à maîtriser … Un livre à lire par tous les enfants pour se donner l'envie d'aller … plus haut !
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J'ai beaucoup aimé ce livre dans lequel Thomas Pesquet raconte son parcours de son enfance à sa vie d'adulte, en expliquant comment il est passé de pilote Air France à Astronaute. 

Il raconte ses voyages dans l'espace de la préparation (très pointilleuse), au décollage (et son lot de stress), puis de ses missions (très nombreuses et pas toujours faciles) à son retour à la vie terrestre (très intense lui aussi).

C'est écrit avec beaucoup d'humour et en utilisant un langage a portée de tous lecteurs (merci pour la non scientifique que je suis). Un très beau voyage donc que je recommande sans hésiter.
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Autobiographie intéressante et très enrichissante sur le parcours de Thomas Pesquet .peut-être un peu beaucoup d'abréviation on s'y perd , ceci dit c'est un domaine tellement spécifique que ce n'est pas facile de suivre. les descriptions sont quand même très bien faites et accessibles à tous. j'aurais aimé encore plus de photos tout au long de la lecture .
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Pour en savoir plus sur @thom_astro et son expérience d'astronaute, je vous conseille de lire ce livre très complet sur son avant/pendant et après voyage dans l'espace.
L'occasion de revenir sur son parcours, son enfance, les sélections, ses motivations…
Livre très intéressant avec cependant, et c'est un peu mon bémol, beaucoup de détails techniques, j'aurai préféré plus de détails sur ses ressentis mais néanmoins très enrichissant puisque j'en ai beaucoup sur ce domaine si mystérieux pour moi.
Je recommande à tous ceux que le sujet intéresse, d'autant que c'est une idée cadeau pour Noël.
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Cette autobiographie est vraiment passionnante ! Elle se lit comme un véritable roman.
Je ne connaissais que très peu Thomas Pesquet et j'ai tout appris de lui grâce à ce livre : son enfance, son adolescence, sa famille, mais aussi ses études et ce qui l'a amené à devenir astronaute.

Il revient aussi avec sincérité sur tout ce que cela implique comme sacrifices familiaux et personnels, les difficultés rencontrées et les revers de la notoriété, mais aussi et surtout la grande joie de faire un métier "passion".

Dans une 2ème partie, on en apprend plus sur ses missions et leur préparation.
C'est très détaillé mais accessible à tous car parfaitement bien expliqué !
L'auteur qui a coécrit cette autobiographie a retranscrit parfaitement le parcours et la vie de Thomas Pesquet grâce à des qualités d'écriture indéniables.
Il a réussi à faire d'une autobiographie un roman d'aventure captivant et entraînant !
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