Anne est le premièr fantôme à raconter une histoire à ses camarades : celle de Mandy, seize ans, qui fait connaissance sur internet d'un garçon après l'assassinat d'une de ses camarades de classe.
L'histoire m'a choqué pourtant c'est un livre ado et je n'en suis plus une depuis un moment^^ mais certains passages m'ont été durs à supporter.
Sinon c'est très réel (si on oublie les fantômes qui racontent) et c'est ce qui m'a fait le plus peur. Bon, je déteste le style SMS et les fautes d'orthographe mais c'est ce qui rendait l'histoire encore plus vraie mais du coup j'avais pas trop envi de lire ces passages mais ce sont des passages clés du livre alors je m'y suis faite:)
Donc j'ai adoré mais il y avait des passages "gores" (peu nombreux mais bien choquant) qui m'ont poussé à mettre 4 au lieu de 5/5.
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Ce livre est plus destiné à un public de jeunes adolescents qui veulent se faire peur !
Je suis bon public en général mais là il m'a manqué quelques frissons.
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Un livre intéressant et très original, j'ai beaucoup aimé l'histoire racontée mais j'ai eu du mal avec la fin
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Pour les ados qui veulent se faire des petites frayeurs, c'est pas mal. Au départ on pense à une enquête policière simple puis peu à peu, l'ambiance change et c'est plus oppressant.
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Lecture jeune, n°126 - La série L’Orphelinat des âmes perdues inaugure la nouvelle collection des éditions du Masque : « Msk ». Photo hantée, le premier tome, plante le décor. Quatre fantômes de jeunes filles en pyjama errent la nuit dans un orphelinat abandonné. Elles prennent la parole à tour de rôle, après avoir désigné la conteuse en lançant des osselets. Il leur faut être discrètes car le spectre de la directrice rôde également dans les couloirs… Il sera d’abord question d’une jeune fille de bonne famille qui voit sa vie bouleversée suite au meurtre d’une élève de sa classe. Le deuxième opus est tout aussi bien mené : le jeune Devin et ses amis jouent dans un groupe de « nu-metal ». Ils découvrent les joies et l’excitation de la scène. Néanmoins, l’euphorie retombe quand le bassiste est sauvagement assassiné.
Les procédés narratifs, le suspense et l’horreur parviennent à tenir le lecteur en haleine. La crainte première de se retrouver embarqué dans un scénario de film de série B est vite balayée et l’on est agréablement surpris par la pirouette finale. Autre plus non négligeable : les héros qui oscillent entre amitiés trahies et amours contrariées ne sont pas des adolescents stéréotypés. À noter aussi que les deux histoires s’inscrivent dans un contexte contemporain, avec des nouvelles technologies très présentes via les mails et les « chats ».
Sandra Cérésil
Lire la critique sur le site : Lecturejeune
Au lycée Lake Crest, ce mercredi matin, personne ne s'étonna de l'absence de Nicolette Bennington. Nicki - ou Psycho Nic, comme on la surnommait en chuchotant - séchait régulièrement les cours. Quand elle n'avait pas d'ennuis à l'école, elle s'en attirait à la maison ou ailleurs. Ses camarades la trouvaient tantôt fascinante, tantôt hilarante. On ne s'ennuyait jamais avec elle. Elle ne s'amusait pas à inventer des blagues mesquines pour ridiculiser les gens; elle étant plutôt du genre agitatrice née. Un jours, se faisant passer pour aveugle, elle avait promené Hamlet, le dogue allemand de son père, à travers le centre commerciale; arrivé aux restaurants, le chien s'était promptement soulagé sur un stand de condiments. Dans le rayon femme de Foot Locker, il s'était découvert un grand appétit pour une paire de Reebok qu'il avait volée sur un présentoir, avant de la mâchouiller avec délectation. Au vendeur qui s'était précipité pour sauver la chaussure trempée de brave, Nic avait tendu une carte de crédit en disant :
- Désolée, mais franchement, vous devriez le remercier : ces godasses ne sont plus du tout à la mode.