J'avais adoré "Les petites infamies" et je m'étais dit que je ne serais pas déçue par le nouvel ouvrage de C. Posadas qui m'a laissée de glace et qui m'a agacée. Je ne suis allée que jusqu'à la page 130 (sur 474), ne voyant pas l'intérêt de romancer, avec nombre d'invraisemblances, un sujet traité bien des fois de meilleure manière.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.