Le Grand Marin

Une immersion dans l'Alaska des pêcheurs, voyage surprenant. Mais ça tourne un peu en rond, le roman aurait gagné en force en étant plus court; et les termes techniques de pêche restent un peu mystérieux.

Sacré bonne femme que cette Lili qui s'en va en Alaska pêcher la morue, le flétan et le crabe ! Des conditions de travail dantesques, un monde inflexible d'hommes durs à la tâche, auxquels elle tient la dragée haute. Elle fléchit mais ne rompt pas, aussi bien à bord qu'accoudée au comptoir des bars qu'ensemble ils fréquentent !
Elle rencontre Jude, un rude gaillard marin à ses heures, avec qui elle fera "un bout de route", avant qu'ils ne se séparent, chacun poursuivant ses rêves.
J'ai bien aimé le grand marin de Catherine Poulain, même si j'ai déploré quelques longueurs dans la deuxième partie du livre.

Je me réjouissais à l'idée d'embarquer sur un bateau de pêche. Je croyais être exhaltée comme je l'ai été en lisant "wild" de Cheryl Strayed.
J'étais impatiente de faire connaissance avec cette baroudeuse. Malheureusement , la magie n'a pas opéré.
En réalité, je me suis ennuyée.
Il ne se passe pas grand chose dans cette histoire; l'héroïne pêche un poisson puis l'autre; elle parle de la vie à bord et de ses compagnons d'(in)fortune, mais c'est répétitif et après une centaine de pages, je nai plus eu envie de lire.
Peut-être ma méconnaissance du vocabulaire relatif à la pêche m'a t-elle empêchée d'être hapée par l'histoire ?
Même les personnages ne m'ont pas émue.
C'est dommage , car c'est merveilleusement écrit.

Livre d'aventures? J'y ai plutôt vu un désespoir sans fonds, une recherche de la douleur, de la souffrance pour fuir encore et encore. Déprimant mais très bien écrit.

Phrases courtes, percutantes, parfois poétiques font le sel de roman.
On nage également dans une ambiance sale, emplie d'alcool, de vomi, d'entrailles et de sang de poissons.
Les personnage, dont l'héroïne semblent tous perdus et j'ai eu plus que du mal à m'attacher à eux.
'héroïne a rêvé de faire ce qu'elle fait au fond de l'Alaska mais y trouve-t-elle satisfaction et estime de soi.
Pour apprécier, il faut à mon avis, ne pas être rebuté par la pêche au large. J
Est-ce par ce que je n'ai pas le pied marin et plutôt le mal de mer que je n'ai pas accroché ?
Un ouvrage qui a tout pour être clivant. Je suis resté de côté pour ma part

Déçu, malgré la quasi-unanimité entourant ce récit plus durassien que Londonien... Trop d'ego et un monde extérieur finalement peu présent.

Une jeune fille debarque dans l'aventure, en baladant vers Alaska. Malheureusement ca finit en travaillant sur un navire a pêche dont pas grand chose se passe.
Quelqu'un est blessé, une canne à pêche perdu, le meteo est mauvaise, elle perds son emplacement pout dormir, bla bla.
Désolé, je n'ai pas finit plus que 50 pages de cette oeuvre.

Lili décide de tout quitter pour vivre son rêve : partir en Alaska et vivre de la pêche en haure mer...
Dans cet univers typiquement masculin, malgré la fatigue,les blessures, elle se bat chaque jour de toutes ses forces pour y gagne sa place...
Une belle leçon de courage !!!

Je suis très partagée sur ce livre. A la fois très intriguée et attachée à ce petit bout de femme et à cet univers de la pêche dont je ne connaissais rien et à la fois en attente que quelque chose se passe et qui n'arrive jamais. le style n'est pas toujours facile à suivre, un scène de nuit, puis sans s'en rendre compte c'est le matin. Les gens sont là et en 2 lignes ils n'y sont plus. Beaucoup de personnages qui viennent et repartent, on s'y perd.
Mitigée donc, mais complètement dépaysée

J'ai été emportée surtout par la première partie de ce livre. Une écriture forte, qui emporte.
Un rythme très soutenu qui nous fait partager son désir d'aller au bout d'elle même. Mer, tempêtes, froid, douleur, amour, on en ressort épuisée. Je le conseille vivement.