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4

sur 420 notes
J'essaie de suivre une douzaine d'auteurs assez prolifiques en respectant la chronologie, et il se trouve que j'ai laissé passer plus d'un an avant de retrouver Douglas Preston avec ce "violon du diable", cinquième tome de la série.
J'ai retrouvé Pendergast avec jubilation, j'adore ce personnage de flic atypique, un aristocrate richissime à l'érudition infaillible et expert en phénomènes occultes, ajoutons que notre inspecteur est également d'un raffinement et d'une élégance surannée, amateur d'art et d'histoire.
Un joli pavé de 700 pages et 88 chapitres dont les pages se tournent toutes seules, l'auteur sait y faire pour nous embarquer très vite dans cette enquête teintée de fantastique.
Jeremy Grove, un critique d'art est retrouvé mort dans le grenier de sa demeure, son corps est calciné, une chaleur anormale règne dans la pièce, une odeur de soufre flotte dans l'air et, pour ajouter au mystère, on trouve aussi une empreinte de pied fourchu...
L'autopsie pratiquée ensuite va laisser les enquêteurs plus que perplexes, croyez-vous au diable ?
Douglas Preston est de ces auteurs qui nous instruisent en cours de lecture et c'est une chose que j'apprécie énormément, j'ai été étonné d'apprendre qui était le fameux Mr Nobel, auteur des prix du même nom, ravi d'apprendre des choses sur l'histoire des stradivarius et encore beaucoup de choses touchant à l'art et la musique.
J'ajouterai que si vous aimez l'Italie et l'italien (la langue), vous prendrez du plaisir à cette lecture en visitant l'une des plus belles ville de la péninsule.
Il me reste à dire que j'ai aimé cette enquête et ses rebondissements, le rythme impeccable ainsi que la qualité des dialogues, une fois de plus les personnages bons et méchants sont bien dessinés, et s'il y a par-ci, par-là quelques petites facilités, je les ai volontiers pardonnées d'autant que la fin est assez inattendue.
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Sur la couverture du livre il est indiqué : Frissons garantis !
Il eut été bon de préciser de quelle fièvre il s'agissait.
En effet cela me rend malade d'avoir lu jusqu'au bout un livre aussi mauvais.
Passons vite à autre chose.
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Cinquième lecture commune des aventures de Pendergast avec Laehb80 et nous avons toujours autant d'allant !

Dans ce volume nous retrouvons D'Agosta et Laura Hayward, dont les vies ont beaucoup changé ! Bien évidemment des morts étranges pointent leur nez ! le sujet de la combustion humaine spontanée est remis sur le tapis mais aussi le Diable qui serait revenu réclamer les âmes promises par les 2 premiers hommes décédés, riches, connus et terrorisés peu avant leur mort !

Un prédicateur rassemble les foules à Central Park, persuadé de l'imminence de la fin du monde et du retour du Christ pour faire barrage au Diable ! Pendergast a des nouvelles de son diabolique frère qu'il croyait mort et qui a toujours envisagé de commettre un acte atroce de grande ampleur !

Je ne dirais pas pourquoi, ça serait spoiler, Pendergast et D'Agosta se retrouvent en Italie où les choses vont devenir dramatiques, donnant l'impression de fantastique et Aloysius va donner le meilleur de lui-même face à des méchants sans vergogne et sans principe !

La suite au mois prochain.

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5e tome des aventures de Pendergast, dans lequel nous retrouvons aussi D'agosta.
L'histoire commence très fort et effectivement comme annoncé, on frissonne. Les aventures s'enchainent et de nouvelles questions apparaissent au fur et à mesure.
Malheureusement, on s'essouffle et j'ai eu l'impression de voir un magnifique soufflé retomber avant d'avoir pu y gouter. On traine tellement que quand nous voilà arrivés à table, plus rien...
Bref, je n'ai pas autant accroché à cette aventure qu'à la précédente par exemple, qui m'avait vraiment plu. C'est dommage mais je lirai malgré tout la suite de cette série car j'apprécie vraiment Pendergast.
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L'inspecteur Aloysius Pendergast du FBI se rend avec son ami et coéquipier le sergent d'Agosta sur un meurtre d'une atrocité incroyable. le critique d'art Jeremy Grove a été retrouvé dans son grenier fermé à clés, une chaleur insupportable, une odeur de soufre qui incommode plus d'une personne. Il ne reste de Jeremy qu'un tas de chairs dégoulinantes et comme indice une empreinte de pied fourchu. Une deuxième victime est retrouvée elle aussi en combustion spontanée. Pour nos inspecteurs plus de doute, ils ont affaire au diable mais Pendergrast ne peut accepter cette hypothèse. Des meurtres inexplicables, un Stradivarius aux pouvoirs maléfiques. Une conspiration remontant à la Renaissance. le violon du diable de Douglas Preston et Lincoln Child fut pour moi un coup de coeur (Mon opinion) cet ouvrage nous fait voyager en Italie dans un château hanté de Toscane.

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Zazaboum et moi-même continuons nos lectures mensuelles des enquêtes de Pendergast.
Je craignais un peu ce premier tome de la trilogie Diogène, communément moins apprécié que les tomes précédents, mais je ne suis finalement pas du tout déçue.

Deux décès très bizarres ont lieu dans l'état de New York, les autorités piétinent, le public s'échauffe. Combustion spontanée ou oeuvre du Diable ?
Pendergast retrouve Vincent D'Agosta et Laura Hayward dont les carrières ont beaucoup évolué,  pas exactement du bon côté pour Vinnie...

J'aurai aimé avoir plus de temps libre pour pouvoir lire ce nouveau tome plus rapidement ! Je le délaissais à contre coeur pour mieux le retrouver le soir venu. 
Conquise une nouvelle fois par l'intrigue magistralement ficelée, l'érudition du personnage mais également du duo d'auteurs, les rebondissements, les scènes d'action,  le suspense et toujours par ce petit soupçon de fantastique.
J'ai hâte connaître la suite, relire cette série est décidément la meilleure résolution jamais prise !
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L'inspecteur Aloysius Pendergast nous fait partager sa culture vaste et variée au cours du récit par des échanges sur l'art, quelques tableaux de maître, la musique classique et l'opéra, les mathématiques, le nombre d'or.

L'un des sujets du roman est la ville de New York dans laquelle on circule et observe les quartiers comme l'upper west side, Time Square, le terminal Greyhound, central park et le Met, certains pubs, bars et restaurants bien connus. La promenade touristique se poursuit en Italie avec le "Watson" de Pendergast le policier d'Agosta. Toutes les promenades, entrecoupées d'action, d'échanges de tirs sont en rapport à une enquête qui est finalement dénouée avec une fin romanesque.

Ce 5e opus de Pendergast est très divertissant avec une écriture agréable.
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Quel plaisir de retrouver l'un de mes personnages préférés, mis en « scène » par deux de mes auteurs préférés, c'est-à-dire l'agent Aloysius Pendergast sur une histoire de Douglas Preston et Lincoln Child.

J'ai eu l'agréable surprise d'apprendre, depuis que j'ai terminé la lecture de ce roman, qu'il était le premier d'une trilogie. Nous retrouverons donc Pendergast dans deux autres livres, Dance of Death et dans la conclusion, Book of the Dead.

Le Violon du diable revient quelques instants sur l'existence du frère de Pendergast, qui l'on peut dire est son double maléfique. Il se doit de mettre un terme à ses agissements et cela devrait avoir lieux dans ces deux prochaines histoires…
Mais revenons un instant sur celle-ci.

Pendergast revient à New York, prêter main forte à un autre personnage que l'on connaît bien dans l'univers de Preston/Child, le sergent Vincent d'Agosta, que l'on n'avait pas revu depuis Relic et sa suite, le Grenier des Enfers.
Quel plaisir de suivre nos deux compères déguster leurs mets favoris en compagnie du compte Fosco ou de les voir partir à Florence à la rencontre de la police local et de savourer un expresso digne de ce nom !!!

Un régal toujours de lire les usages et les manières qui font de Pendergast un personnage à part. Un véritable Sherlock Holmes des temps moderne aux us et coutumes qui font de lui un véritable extra terrestre aux yeux de ses comparses.
La galerie de personnages qui gravitent donc autour de nos héros est toujours aussi passionnante et il devient très difficile de refermer le livre.

Les rares choses qui me gênent sont encore une fois le mauvais choix du titre français, qui en dit beaucoup trop sur l'intrigue puisque « l'apparition » du violon n'apparaît que très tardivement dans l'histoire, à plus de la moitié du livre… La quatrième de couverture en dit beaucoup trop aussi, je vous invite donc à ne pas trop y laisser traîner vos yeux dessus…
Il est bien dommage de ne pas avoir conserver le titre original, ou tout du moins de ne pas l'avoir utiliser dans un titre en français puisque Brimstone veut dire Soufre, comme l'odeur de soufre que les victimes sentent avant de mourir dans d'horribles souffrances…

Les dernières pages du roman sont incroyablement intenses et il est alors très difficile de se dire qu'il nous faudra attendre encore quelques mois avant d'en lire la suite…

Un ravissement donc pour moi, beaucoup de plaisir quoi ! comme vous pouvez le constater, que je vous invite à partager vous aussi dès aujourd'hui en vous ruant sur ce livre.
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Première déception concernant les enquêtes de Pentergast. Il fallait bien que ça arrive, après 4 tomes de grandes qualités, le Violon du Diable se montre poussif et insipide.

Le corps sans vie d'un célèbre critique d'art est retrouvé dans sa villa. Les conditions de sa mort sont étranges, d'autant plus qu'un deuxième cadavre va bientôt compliquer l'enquête. Pentergast, comme à son habitude, va prendre les choses en mains et tenter de résoudre cette mystérieuse affaire.

Je me suis ennuyée.
Premier chapitre plutôt prometteur, la découverte de la première victime, une ambiance singulière, un peu angoissante, puis plus rien.

Comme souvent dans leurs romans, Preston & Child, prennent le temps de poser le décor, de présenter les personnages. Ce n'est pas gênant, cela fait partie de la découverte de l'intrigue, mais dans ce roman, j'ai trouvé cela très long. Je n'arrivais pas à me projeter dans l'histoire, tout était monotone et quand il y avait de l'action, parce qu'il y en a eu pas mal finalement, j'ai eu l'impression que c'était mal incorporer dans le récit, comme s'il fallait combler le vide laissé par l'intrigue en ajoutant différents artifices afin de palier l'ennui du lecteur.
Le dénouement remonte un peu le niveau, je n'ai pas vu venir le coupable. L'épilogue entraine le dit lecteur à continuer les aventures de l'inspecteur, si toutefois il ne l'a pas perdu avant.

Je vais avoir besoin d'un petit moment pour digérer cette lecture, je tenterais surement la suite plus tard, mais il va me falloir du temps.
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Pour être franche, je suis assez déçue de cet opus des aventures de l'inspecteur Pendergast.
Peut-être est-ce dû notamment au fait que ma lecture a été très hachée et décousue à cause de la rentrée qui a perturbé mon programme lecture, mais je ne retire pas le même enthousiasme que lors de ma lecture de l'excellent, que dis-je, l'exceptionnel « Chambre des curiosités ».
J'ai trouvé Harryman, le journaliste remplaçant du très bon Smithback, très pâlot et quasi inexistant. D'agosta ne m'a pas fait non plus grand effet. Bref, les acolytes de Pendergast n'ont pas d'épaisseur et cela nuit beaucoup à l'aura du thriller.
Seul le comte Fosco possède peut-être assez de carrure (au sens propre comme au sens figuré d'ailleurs !) pour fournir un personnage intéressant.
Pendergast bien sûr demeure incontournable. Fascinant. Quel étrange personnage décidément, qui a pu parfois me faire penser à Nosfératu de Murnau dans sa manière de se déplacer. Quelque chose de fantomatique. Une retenue so british pour un américain.
Pour en venir à l'histoire, je ne lui trouve pas de charme remarquable. La quatrième de couverture déflore le mobile et ne laisse plus beaucoup de place à l'imagination. Certes, ça bouge, ça tue, ça s'échappe, ça voyage… mais ça lasse. Beaucoup d'épisodes inutiles. La même technique d'alternance des points de vue et des scènes. Bref, tout cela m'a au final –oserais-je le dire ?- ennuyée. Je ne suis pas parvenue à retrouver l'émotion absolument géniale et fantastique procurée par la Chambre des curiosités, sorte de frisson littéraire comme j'en ai eu si peu.
D'autant qu'encore une fois, il faut sacrifier à la sacro-sainte mode des suites et des teasing qui ne vous laissent dans la tête qu'un retentissant « tadaaaammm… la suite au prochain épisode… ». Un peu énervant, ça aussi…
Au final, ça se laisse lire, sûrement mieux sur la plage. Mais Preston et Child n'ont pas réussi à renouveler en moi l'exploit du premier livre que j'aie lu d'eux.
Il n'y a qu'une seule question qui me taraude : qui est Constance, la protégée de Pendergast ??? Je ne me souviens pas d'elle dans la Chambre des curiosités, alors soit j'ai loupé un épisode entre-temps, soit il faut que je revienne au livre de poche pour la resituer. Mais elle a bien aiguisé ma curiosité. Mais c'est bien aussi la seule chose qui m'ait titillé l'esprit…
Pour conclure, le violon du diable n'est pas une réussite, mais on ne pas dire non plus que ce soit un désastre. Une petite friandise (un peu lourde certes, et attention à l'indigestion) si l'on n'a rien d'autre à se mettre sous la dent.

Terminé le 15 octobre 2006.
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