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Lightfall, c'est de la grande saga fantasy, épique et romanesque, avec des illustrations qui s'envolent parfois dans de superbes délires lyriques, lumineuses et colorées. le trait est léger, la colorisation aquarellée, mais c'est surtout l'inventivité qui fait des étincelles, avec des décors oniriques et poétiques. Les personnages attachants, formidablement bien campés, même les personnages secondaires. Cet univers fait une grande place à l'imagination, inventif et original. Cette série continue sur un rythme effréné, la légèreté des personnages ne cache pas une certaine noirceur dans le récit, intense et grave, la thématique globale offre un parallèle avec l'action destructrice de l'homme sur la nature, amenant le jeune public à une certaine conscience éthique, c'est finement joué. C'est de la fantasy jeunesse de haute volée.
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Lightfall, l'ombre de l'oiseau est aussi généreux que le précédent tome.
Tout aussi coloré.

On pourrait le croire moins contemplatif que son aîné mais en fait non. A deux ou trois reprises, par surprise, l'auteur nous offre, une fois la page tournée, une planche inattendue, à couper le souffle.
Ouh certes le trait est encore inégal. J'ai eu une fois encore des difficultés à comprendre ses planches obscures presqu'à chaque fois (ce qui est dommage puisque l'ombre dans ce tome s'épaissit et s'étend), et on réalise qu'il maîtrise bien mieux le dessin des anthropomorphes que des humanoïdes. Néanmoins le voyage reste très agréable et tout aussi prenant malgré l'épaisseur du volume.

La quête en elle-même est contée pour les plus jeunes, donc on réalise assez tôt qu'ils sont en train de la foirer mais ça n'en rend pas moins beau le chemin et la poésie de certaines scènes. Et je dois avouer que malgré mes ronchonnages, je suis très curieuse et ai grande envie de lire la suite.
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Un an après la sortie en France du Tome 1 de Lightfall, voici la suite des aventures de Béa et Cad le Galdurien. L'oiseau Kest Ke Belenus, dont la légende dit qu'il a dévoré le soleil, est de retour après un long sommeil et souhaite détruire les Flammes qui apportent leur lumière au monde d'Irpa. Ayant survécu à une bataille contre les sbires de Kest, nos deux héros s'allient avec un Arsaï, mignonne petite créature usant d'étranges pouvoirs et de la syntaxe de Maître Yoda. Béa, toujours rongée par ses peurs dévorantes, reçoit une lettre de son grand-père cochon-sorcier disparu, qui l'enjoint à retrouver Lorgon l'Esprit des Eaux pour lui demander son aide dans le combat qui les attend. La quête continue et de nombreux périls attendent Béa et son compagnon de voyage le téméraire Cad.

Dans ce volume, nous retrouvons plusieurs personnages déjà rencontrés dans le Tome 1 et en découvrons de nouveaux. L'amitié entre Béa et Cad continue de s'étoffer et notre jeune héroïne commence à affronter son anxiété maladive avec davantage de conviction. Cet opus est plus sombre que le précédent (normal, Kest dévore les lumières) et les combats plus intenses encore. Les valeurs de l'amitié et du courage sont mises en exergue et des choses intéressantes nous sont révélées sur l'Histoire du monde d'Irpa.

Les dessins sont toujours aussi soignés et la mise en couleurs est un ravissement pour les yeux. L'agencement des vignettes contribue à donner un rythme dynamique à l'histoire. Ma fille a une fois de plus été charmée par cette bande-dessinée fantastique tout à la fois originale et belle, qui plaira aussi sans aucun doute aux plus grands, ne serait-ce que par ses qualités esthétiques. Vivement le tome 3 !
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Cette BD est une vraie pépite pour les yeux. le graphisme et l'univers sont sublimes. Je n'ai de cesse d'être époustouflée à chaque double page illustrée. Avec une colorisation tantôt douce tantôt sombre, cela offre à Lightfall un bon dosage pour montrer que cette épopée fantasy jeunesse a quand même son lot de noirceur. Un second tome à la mesure du premier ! Coup de coeur évidemment.
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J'ai adoré cette lecture, les planches de Tim Probert sont sublimes, certaines s'étendent sur 2 pages. Pour moi, une seule bulle serait de trop, j'apprécie le dessin sans obstacle. J'aime le graphisme, les couleurs, les paysages de forêt, même le désert a une certaine majesté. Béa poursuit son aventure avec courage, affrontant ses angoisses aux côtés de Cad. le réveil de Kest crée une tension, leur mission est de protéger la lumière d'Irpa. Cad est un véritable ami, acceptant les faiblesses de Béa. le sorcier cochon ajoute une nouvelle dimension. J'ai hâte de savoir plus sur Cad et sa famille, son optimisme est fascinant. La fin est frustrante, mais la qualité de l'impression est excellente. Une lecture superbe que j'ai partagée avec mon père. L'univers de Tim Probert est magique, les planches, les couleurs, tout. L'intrigue surprenante m'a captivée. Vivement le tome 3 !
Mon avis détaillé :
Lien : https://lesparaversdemillina..
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Un tome 2 qui poursuit avec brio un tome 1 déjà superbe.
Les illustrations sont toujours aussi belles. Des aquarelles aux couleurs vives, lumineuses, un dessin créatif, des expressions réussies. L'histoire n'est pas en reste avec de la réflexion, de la poésie, de l'aventure. Et de la profondeur aussi. de la gravité même avec les personnages les plus lumineux ou léger. de la lueur même dans les plus sombres. Pas de manichéisme ici, le grand méchant Kest apparaît finalement plus nuancé que cela, et donne envie de retrouver vite la suite ! La préservation de la nature, la destruction apportée par l'homme, la mesure en chaque chose, la bonté, aller au delà des apparences... Tout cela a l'air de faire trop de bons sentiments? Et bien non, même pas. le récit reste frais, léger, pas moralisateur mais plus réflexif.
Bref, une nouvelle très belle réussite.
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Après avoir eu un gros coup de coeur pour le premier tome, son univers, son graphisme et tant d'autres choses, l'envie d'y replonger au plus vite était bien présente. le second tome fait totalement honneur à ce monde de fantasy, nous aurons le même souci que précédemment l'envie de plonger au plus vite dans la suite, mais il va falloir s'armer de patience.
L'oiseau Kest au centre de son nouveau récit, mais surtout de nouvelles révélations sur ce monde. Savoir quel est le bon choix est très complexe. A nouveau pour notre plus grand plaisir une carte d'Irpa est présente. le tome va nous entraîner dans une farandole de couleurs, selon les moments et les situations, le tout explose sous nos yeux ébahis, par moment nous avons même très chaud dans tous les sens du terme. Certaines planches en pleine page voire double page renforce encore les choses.

Cad et Béa sont ensemble, ils peuvent compter l'un sur l'autre et vont faire de leur mieux tant avec leurs compétences que leurs connaissances. Un lien indissociable semble maintenant les unir, c'est très beau.
Ils ne sont pas forcément toujours d'accord sur la marche à suivre. Un des points forts du titre et aussi une originalité avait été l'anxiété de Béa et le travail qui fait que tout son être nous le transmet, ici fort heureusement il n'a pas été oublié, c'est toujours très présent. Les autres même Cad, ne comprennent pas toujours, tout en respectant. Il peut lui arriver alors qu'elle est dehors d'avoir besoin d'air, de récupérer.
Nous mêlons différents moments de la planète Irpa, quelques retours dans le passé sont faits par moment.
Bien sûr que Nimm, le chat de Béa est toujours là aussi.

Nous revoyons certains personnages, nous apprenons à en connaître d'autres plus ou moins brièvement. Les groupes peuvent être séparés par moment. Un arsaï qui un être de petite taille, avec sa façon de parler, saura être d'une grande aide aussi. C'est très sympathique de voir ce qu'il peut faire, et comme il peut passer inaperçu, et pourtant il compte, avec sa petite taille.

Autant l'histoire, la mission, l'univers, la transmission de l'anxiété de Béa et de la voir dépasser cela surtout grâce à Cad, le graphisme, continuent à assurer tout comme au début de notre aventure.
Une BD jeunesse pour petits et grands enfants, qui semble avoir conquis bien des coeurs, dont le mien, et ce deuxième est à la hauteur aussi.
Vivement la suite.
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Suite des aventures de Béa et Cad contre l'oiseau Kest, dévoreur de lumière.

L'univers de "Lightfall" est toujours aussi envoutant, notamment grâce aux graphismes. L'aspect héroic fantasy est très prenant, les personnages sont toujours aussi attachants et particulièrement Béa qui combat tant bien que mal ses angoisses. Angoisses qui sont d'ailleurs représentées de façon intéressantes. Il y a un petit clin d'oeil à Star Wars avec le personnage Arsaïs et son langage énigmatique et inversé. Personnage qui apporte de l'humour dans ce tome qui en manque un peu par rapport au premier.

L'auteur a également pris le parti de rendre ses personnages moins manichéens qu'il n'y parait au premier abord. J'ai trouvé ça chouette de nuancer chaque partie pris.

Même si je dois admettre que j'ai un peu moins aimé ce deuxième tome de par l'humour moins présent, ça reste une excellente bande-dessinée jeunesse. J'ai hâte de connaître la suite.
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Ce deuxième tome est aussi épais que le premier et fait considérablement avancer l'aventure de Béa et Cad. En effet, les héros vont devoir affronter l'oiseau Kest qui menace de plonger dans le noir le monde entier. Ils vont aussi découvrir de nouvelles informations qui pourraient changer leurs visions des choses.
Hormis un début un peu lent dans lequel j'ai eu du mal à rentrer de nouveau dans l'histoire (heureusement il y a un petit résumé au début), j'ai trouvé ce tome aussi bien que le premier, voire meilleur sur certains points. Il apporte des failles au schéma manichéen de ce genre d'aventure et approfondi la psychologie de ses héros tout en contenant une bonne part d'action.
Une bonne série pour la jeunesse dont j'attends le dénouement avec intérêt.
Lien : http://boumabib.fr
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Second opus de la série qui a gagné le Prix des Libraires du Québec dans la catégorie BD étrangère, "L'ombre de l'oiseau" est plus sombre et profond, mais prend place dans un monde plus élaboré, certain semblant être à la frontière du réel.


Kest, un oiseau malveillant, est de retours et s'en prend aux soleils artificiels des terres connues d'Irpa, dont le premier sur la liste est la ville de Lealand. Béa et Cad sont dans un village d'arsaïs, petites créatures bleues au français singulier, caché derrière une cascade. L'un d'eux leur livre un message du grand-père de Béa à L'intention ce celle-ci, l'enjoignant à retrouver Lorgon, l'esprit des eaux, pour solliciter son aide dans la lutte à venir contre Kest. Néanmoins, elle choisit de suivre Cad à Lealand, le premier endroit où Kest frappera et où son compagnon espère vaincre une bonne pour toutes. Hélas, ils sont mit en échec et les habitants de Lealand doivent maintenant cheminer à travers les ténèbres vers la prochaine cité recouverte de lumière, Rinn. Béa et Cad se retrouvent dans une étrangère dimension, ayant échappé à Kest grâce à l'intervention de leur ami arsaï. Un monde composé de fragments éparses et flottant, où de multiples architectures se côtoie et où les rivières serpentent dans le vide. Selon les indications de son grand-père, ce serait le royaume sous terre de Lorgon. Après avoir libéré un dragon, les deux comparses et leur deux animaux font en effet la rencontre de l'esprit des eaux, sort de gigantesque serpent des mers, aussi dandy qu'hautain. Ce qu'il a à leur apprendre change complètement la donne, mais encore faut-il qu'ils comprennent les implications à temps, avant de faire un geste qui pourrait être fort regrettable...


Y a pas à dire, j'adore cette BD. C'est un univers étrange, qui semble à la fois évoquer de nombreuses peuplades et divers folklore. Il s'en dégage quelque chose de familier, mais en même si différent. le représentations des personnages sont originales et rafraichissantes, les couleurs fabuleuses et les notions de bien et de mal sont malmenées. Une histoire d'amitié, également, qui évolue tranquillement, dans un univers aussi magnifique que menacé.


Bea est un archétype que j'apprécie beaucoup et qui reste relativement peu employé. Elle est intuitive, un peu pessimiste, anxieuse, réellement courageuse. Elle a du mal à se faire confiance et à prendre des décisions, mais elle fini par le faire pratiquement chaque fois et accorde de l'importance à la réflexion. Elle sent que les choses ne sont pas aussi simples qu'elles le paraissent. Dans ce tome-ci, elle semble avoir eu des "contacts psychiques" avec Kest, l'antagoniste de l'histoire, comme si sa sensibilité avait été interpellée à un autre niveau. Bea est beaucoup moins catégorique et décidée que Cad, son compagnon, qui finit souvent par la faire ranger à son avis. Pourtant, on le sent, c'est Bea qui a la meilleure approche. Elle n'est simplement pas assez en confiance avec elle-même pour y accorder pleins crédit. Sa grande force sont son empathie et sa capacité à extrapoler. Tout le contraire de Cad, finalement, qui se tient à ce qu'il connait et ce qu'il voit. Il est toujours aussi sur de lui, mais on sent qu'il accorde plus d'importance aux hésitations de Bea, ce qui illustre le développement de leur relation amicale. Il a le défaut d'être manichéen, à réfléchir en bien ou en mal, sans apporter de nuances. Son courage est différent également. Alors que celui de Bea est de surmonter ses propres craintes pour aller de l'avant, dans le cas de Cad, c'est d'agir comme s'il ne pouvait pas perdre. Néanmoins, le ton léger de Cad a du bon, son humour également. L'angoisse n'est clairement pas un émotion qu'il vit souvent.


Il faut que je vous parle de Kest, l'antagoniste, alors je vais devoir divulgâcher ici un aspect important. Vous êtes prévenus. On a tendance, dans bien des histoires jeunesse, à considérer le "méchant" comme un fauteur de troubles centré sur ses propres besoins. Kest a cette étiquette ici aussi, mais on découvre dans ce second opus que c'est peut-être l'inverse. Kest, déjà, n'est pas une entité ténébreuse comme les habitants d'Irpa le croit, mais en réalité l'esprit généreux de la Lumière. le soleil était par conséquent sa création et il avait le droit légitime de le récupérer. Ce qu'il fit, non sans raisons. Nous pouvons lire entre les lignes- ou plutôt entre les illustrations - que Kest a perdu quelqu'un de cher, probablement un autre esprit, peut-être celui des ténèbres, justement. Il ou elle a été massacré par les hommes et on peut supposer qu'ils le firent en pensant se débarrasser de tout ce qui est ombrageux. Kest, de chagrin, a donc décidé de se venger en reprenant le soleil, mais ce faisant, a été étiqueté comme un ennemi. Nous apprenons également par le personnage sans nom de l'ethnie arsaï, que la lumière est noire, ce qui va donc dans le sens de Kest: c'est à lui qu'on doit la lumière claire. En le tuant, la lumière retourne à sa couleur d'origine.


Ce qui est plaisant dans ce jeu d'ombre et lumière, c'est d'une part, mettre l'accent sur l'implication des hommes, qui dans leur ignorance et leur suffisance, ont cru s'approprier la création d'un esprit, mais également, d'autre part, causer leur propre perte en raison de leur incompréhension de leur propre monde. S'ils avaient un temps soit peu écouter et observer, ils auraient comprit quel chance ils ont d'avoir eu l'aide d'un esprit pour vivre dans la lumière. S'ils avaient comprit, ils n'auraient pas chercher à détruire un autre esprit et ainsi déséquilibrer le monde. L'incompréhension engendre la peur et la peur engendre la haine. On le connait bien ce trio là. En somme, si les hommes s'étaient montrés moins ingrats et plus attentifs, on n'en serait pas là. Là-dessus, le personnage de Lorgon a bien raison.


Ce qui est notable aussi, c'est que contrairement à bien des histoires, Lightfall place le "Héro" dans une position pas si héroïque que ça. Cad a peut-être trucidé Kest et "sauver" la flamme du soleil artificiel de Rinn, le fait est que celle-ci a viré noire. On comprend alors que toute cette idée de "vaincre Kest" était une illusion commode, mais dans les faits, c'est une énorme erreur.


J'apprécie toutes les histoires qui malmènent les standards désuets comme le concept du "Héro", celui qui porte une épée et tue le gros méchant. Ah, si le monde était si simple! Parfois, c'est le héro qui nuit et le méchant qui avait raison. Une notion encore peu représentée, mais qui gagnerait à être connue. Après tout, ce n'est pas parce que nous sommes du côté du "héro" que celui-ci a forcément raison.


Je trouve le personnage de Nimm adorable. Ce chat ne semble pas très impliqué dans la quête, mais il est très important pour une chose: c'est un facteur d'apaisement pour Bea. Chaque scène où la jeune fille s'enfonce dans son angoisse, Nimm intervient en quêtant des caresses, en lui faisant des câlins et en cherchant à capter son attention. À certains égards, je trouve qu'il se comporte comme un chien, mais c,est peut-être parce qu'on dépeint toujours les chats comme des asociaux indépendants égomaniques? En tout cas, j'apprécie ce personnage, dont le non-verbal est très parlant.


Lightfall est ce genre de BD qui interpelle et qui divertit en même temps. C'est une oeuvre qui aide à faire prendre conscience de deux choses: La première est l'équilibre précaire de notre monde. Nous avons le privilège d'être les habitants d'un monde où nous pouvons, avec un minium d'intelligence et de savoir-vivre, exister paisiblement. Mais ce monde ne nous appartient pas. Tôt ou tard, comme le fit Kest, la Nature reprendra ses droits et nous aurons été les seuls fautifs de nos comportements avides et de notre aveuglement borné et prétentieux. La seconde: être un héro peut prendre diverses formes. Être la force tranquille, sensible et intuitive, de celle qui questionne et refuse les idées reçues, peut être un plus grande force ou besoin pour la pérennité du monde que le personnage armé et têtu. En outre, je remarque que Lightfall laisse profiler une héroïne qui sauvera peut-être le monde sans armes et sans rester dans l'ombre du héro masculin.Bref, un incontournable pour l'univers de la BD jeunesse, dont les sublimes paysages et lieux oniriques vont plaire assurément autant aux BDphiles assumés qu'aux initiés, garçons et filles et où perce même l'humour et de la douceur. Une odyssée fantasy qui se lit d'une traite!


Pour un lectorat à partir du second cycle primaire ( 8-9 ans).
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