Ma fille, mon enfant

(SC971) Une histoire touchante qui aborde la question du racisme "ordinaire", qui se lit facilement, et un graphisme agréable. Oui pour le prix, collège et lycée.
(LX971) - Malgré un sujet très intéressant, malgré un graphisme agréable et lumineux, je n'ai pas trop accroché à cet album en raison d'une bienpensance trop appuyée par moments et surtout du personnage trop caricatural de la mère, à la fois colérique, raciste et totalement antipathique (d'autant que, par opposition, le père est foncièrement cool en toutes circonstances, tolérant et compréhensif jusqu'au bout des ongles, même au racisme de sa femme). C'est dommage car un traitement plus subtil, moins manichéen, aurait servi une histoire touchante. Perso, je ne la mettrais pas dans la sélection du Prix BD.
(MAB971) oui pour le collège et le lycée
(IK971) Bel album au graphisme soigné autour du thème du racisme (beaucoup de clichés que l'auteur tente de désamorcer avec plus ou moins de réussite). du coup des dialogues un peu en dessous du fabuleux Voyage des pères, précédent album de Ratte mais difficile de le surpasser, pourquoi pas pour le Prix !

Chloé est amoureuse d'Abdelaziz et sa mère est raciste. Cette bande dessinées évoque un thème universel : se fondre dans les valeurs familiales ou affirmer les siennes au risque de s'opposer. le personnage de la mère, dessiné de manière très caricaturale tient des propos sans nuances. Gênant au départ, la manière dont ce personnage est appuyé nous renvoie violemment l'idée que, "oui des personnes pensent et parlent comme cela"... Il me semble que du fait de cet aspect caricatural, l'évolution des relations entre les personnages l'est aussi... On a du mal a considérer cette histoire du point de vue de l'amour maternel comme le suggère le titre... Ce livre à le mérite de décrire et dénoncer le racisme, question toujours actuelle.
A lire.
La professeuse documentaliste

Chloé est amoureuse d'Abdelaziz et sa mère est raciste. Cette bande dessinées évoque un thème universel : se fondre dans les valeurs familiales ou affirmer les siennes au risque de s'opposer. le personnage de la mère, dessiné de manière très caricaturale tient des propos sans nuances. Gênant au départ, la manière dont ce personnage est appuyé nous renvoie violemment l'idée que, "oui des personnes pensent et parlent comme cela"... Il me semble que du fait de cet aspect caricatural, l'évolution des relations entre les personnages l'est aussi... On a du mal a considérer cette histoire du point de vue de l'amour maternel comme le suggère le titre... Ce livre à le mérite de décrire et dénoncer le racisme, question toujours actuelle.
A lire.
La professeuse documentaliste

(SC971) Une histoire touchante qui aborde la question du racisme "ordinaire", qui se lit facilement, et un graphisme agréable. Oui pour le prix, collège et lycée.
(LX971) - Malgré un sujet très intéressant, malgré un graphisme agréable et lumineux, je n'ai pas trop accroché à cet album en raison d'une bienpensance trop appuyée par moments et surtout du personnage trop caricatural de la mère, à la fois colérique, raciste et totalement antipathique (d'autant que, par opposition, le père est foncièrement cool en toutes circonstances, tolérant et compréhensif jusqu'au bout des ongles, même au racisme de sa femme). C'est dommage car un traitement plus subtil, moins manichéen, aurait servi une histoire touchante. Perso, je ne la mettrais pas dans la sélection du Prix BD.