AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Wisconsin (Le guerrier tortue) (139)

Son père puait l’huile de moteur, la sueur et le whisky Jim Beam.
Commenter  J’apprécie          140
Il se doutait bien, au plus profond de lui, de la raison qui le poussait à emporter le Remington. Un jour, il le savait, la douleur deviendrait si terrible qu'il ne pourrait plus l'étouffer dans l'alcool.
Commenter  J’apprécie          143
Tous ceux qui œuvraient pour la paix ont été tués.
Manifestement, il devenait dangereux de vouloir faire le bien. C'était comme si on avait officieusement déclaré la chasse ouverte : Martin Luther King a été abattu; en juin, Robert Kennedy a été assassiné à son tour en Californie.
Commenter  J’apprécie          130
Mieux vaut vivre avec ses blessures que mourir étouffé dans sa coquille.
Commenter  J’apprécie          130
Quand vous tournez en rond, rien ne vous arrête; vous pouvez continuer d'avancer jusqu'à ce que vos inquiétudes deviennent moins lancinantes, ou même s'estompent.
Commenter  J’apprécie          120
J'ai compris alors que le pouvoir de la vie était bien plus important que celui d'un Dieu fabriqué par l'homme, même lorsqu'il m'éprouvait au-delà des limites raisonnables de l'endurance.
Commenter  J’apprécie          120
Bien que d’ascendance à la fois ojibwé et française, Claude Morriseau incarnait presque jusqu’au stéréotype le caractère indien tant il se montrait réservé et stoïque devant les épreuves de la vie.

Commenter  J’apprécie          120
Il arrive parfois qu'on puisse faire pour les autres ce qu'on n'arrive pas à faire pour soi.
Commenter  J’apprécie          110
[...] Ernie souffre de l'absence de Bill, même s'il ne l'avoue pas, et il vit sa douleur à la façon de beaucoup d'hommes - en choisissant de l'ignorer.
Pour ma part, je n'en ai jamais été capable. Quand je souffre, je pleure toutes les larmes de mon corps ; quand je suis en colère, je tempête. Et si quelque chose me contrarie, il faut que j'en parle. Beaucoup.
(p. 250-251)
Commenter  J’apprécie          110
A cette époque [début XXe], en particulier chez les Indiens vivant dans la réserve du Héron, tout acte de cruauté envers un enfant valait à son tortionnaire un traitement d'une brutalité égale. La réserve était une nation souveraine dotée de son propre tribunal où, bien souvent, l'accusé ne comparaissait même pas. D'abord, on établissait la preuve de sa culpabilité. Ensuite, on s'assurait qu'il disparaissait. (p. 366)
Commenter  J’apprécie          110





    Autres livres de Mary Relindes Ellis (2) Voir plus

    Lecteurs (957) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Famille je vous [h]aime

    Complétez le titre du roman de Roy Lewis : Pourquoi j'ai mangé mon _ _ _

    chien
    père
    papy
    bébé

    10 questions
    1435 lecteurs ont répondu
    Thèmes : enfants , familles , familleCréer un quiz sur ce livre

    {* *}