Ce roman est le second de la trilogie «
La Maison de mes pères » de l'écrivain danois
Jorn Riel. Chacun de ses livres (
Un récit qui donne un beau visage ,
le piège à renards du seigneur et
La fête du premier de tout) peut être lu séparément, mais à mon sens ce tome se démarque en qualité des deux autres par son humour, la tendresse des personnages et son style très « tradition orale » que l'on retrouve dans les racontars du même auteur comme «
La vierge froide et autres racontars ». Véritable parcours initiatique du jeune eskimo Agojaraq au début du vingtième siècle, partagé entre ses origines et ses traditions du grand nord canadien et son envie de prendre le large, ce roman séduira tous les amateurs d'aventures polaires, dans la veine de celles écrites auparavant par
Jack London.
Commenter  J’apprécie         70