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4,24

sur 321 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Dans le concert des louanges des avis des Babéliotes sur ce livre, je vais apporter ma petite musique discordante.

J'ai eu un mal fou à y rentrer, et surtout à tenir la longueur...

Ce roman était pourtant prometteur en replaçant la narration dans le contexte des années SIDA, avec cet état d'esprit effrayant induit par une maladie alors encore méconnue et la peur d'une société bien-pensante qui stigmatise les malades dans un tableau de sexualité honteuse.

La mort d'un oncle, artiste et homosexuel dans une famille américaine est un traumatisme pour tous: gène et honte pour les adultes, choc psychologique pour les plus jeunes en particulier pour June, si proche de cet oncle solaire.
Le chagrin et l'absence sont vécus difficilement pour la jeune adolescente, auprès d'une soeur aînée tout en aigreur, au caractère compliqué, et des parents mutiques et peu psychologues dans leur éducation.

La rencontre de June avec le compagnon du défunt ouvre à une nouvelle compréhension du drame, personnel et social. Mais c'est là que le bât blesse: le décryptage psychologique de la jeune adolescente prend son temps. C'est extrêmement long ( travers récurrent d'un bon nombre de romans américains). C'est d'autant plus dommage que les thématiques à creuser (apprentissage, sororité, tolérance) sont multiples et touchantes mais noyées par l'excès du détail.

En résumé, je ne suis pas conquise mais je retiendrai pourtant un roman qui expliquera aux plus jeunes, le contexte historique, médical et social de la maladie.
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J'ai réussi, malgré les nombreuses tentations de rentrée littéraire à sortir un livre de ma pile à lire en cette fin de mois de septembre. J'avais acheté ce roman à sa sortie en poche, suite à quelques avis enthousiastes, notamment sur Babelio où la note générale du livre est vraiment excellente. Puisque je ne suis pas en phase avec cette extase quasi générale, je vais essayer de comprendre pourquoi !
June, ado de quatorze ans et narratrice, vit avec ses parents et sa soeur dans une petite ville de l'état de New York. En conflit permanent avec sa soeur aînée, June peine à se faire des camarades, et préfère cultiver son originalité, et s'inventer des histoires, se balader en forêt en s'imaginant au Moyen Âge ou rendre visite à son oncle Finn, artiste renommé. Mais Finn est très malade, ce sont les premières années du sida, et June doit se rendre à l'évidence que son oncle va la quitter.
Peu après la mort de son oncle, un certain Toby prend contact avec elle. C'est « l'ami particulier » de son oncle, et elle commence, quoiqu'un peu méfiante, à le fréquenter sans l'accord de ses parents. C'est à partir de là que j'ai commencé à trouver un manque de réalisme à cette situation et à d'autres épisodes du récit de June, et que j'ai commencé à m'ennuyer, rouvrant sans enthousiasme un livre que j'avais pourtant bien aimé jusqu'au 200 premières pages environ. Je me suis rendu compte que je n'étais sans doute absolument pas le public visé par ce roman, destiné à un lectorat jeune, voir adolescent. Si j'ai été touchée et agréablement surprise par la représentation de l'arrivée du sida dans les années 80, et des images erronées qu'elle véhiculaient, qui sont très justes, d'autres épisodes entre June et sa soeur, ou entre June et Toby, m'ont semblé répétitifs, et sans grand intérêt. Quant à la fin, elle ne m'a rien apporté de plus. C'est dommage, parce que, bien que transcrivant les pensées de l'adolescente, l'écriture n'est pas mièvre, et touche souvent son but. L'éditeur américain aurait pu suggérer sans dénaturer le texte quelques suppressions qui lui auraient donné plus de force.
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June a 14 ans quand tout s'entrechoque dans sa vie.

L'amour, la solitude, le sentiment de perte, les secrets.

Son oncle et ami, sa soeur, ses parents, Toby et tous les autres.

Tout se mélange. Elle qui ne s'est jamais vraiment sentie à la bonne époque, jamais vraiment sentie comprise à part par son oncle Finn, le voila qu'il l'abandonne lui aussi. Il s'est accroché pourtant, dimanche après dimanche, lorsque les deux soeurs venaient poser chez lui pour le portait qu'il peignait d'elles. Mais le sida était trop fort. Les loups, trop affamés.

Alors on essaie de récolter les quelques étincelles qui restent de celui qui s'est éteint. On essaie de les ranimer en soufflant sur les vieux souvenirs, le requiem, la théière, autant de fragments de bons moments passés. Et puis finalement, on décide d'aller là où on ne s'est jamais aventuré. de parler à cet autre, celui qui partageait le coeur de cet oncle qu'on aimait tant. Malgré la jalousie de ne pas avoir eu Finn rien que pour soi. Malgré le doute de savoir si cet autre est coupable, ou simplement, une autre victime.
On aime le tableau où cette soeur est bien plus proche que dans la réalité. On tisse nos relations dans l'absence, et dans les espaces négatifs ...

Et puis on réalise qu'autour de nous, les gens sont là.
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le theme du sida en toile de fonds du fait que l'oncle en est décédé, l'adolescente se lie avec l'ami survivant donc également thème de l'homosexualité effleuré, sinon factuel et facile à lire. Recit fait par une ado. Je pense qu'il s'agit plus d'un livre pour adolescents. Je me suis fort ennuyé car il s'agissait en somme d'un journal.! Absolument à éviter pour lecteurs adultes exigeants...
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Un contexte narratif lourd

1987. le SIDA est une maladie reconnue, mais dont la réalité est encore très peu connue, et des chercheurs et du grand public. le mythe et les craintes que cette maladie génère exclue bon nombre de personnes malades de la société, considérés comme des parias contagieux et criminels. Oui, criminels. Retenez que ce n'est qu'en 1993 que le somptueux, brillant et nécessaire Philadelphia sortira en salle aux Etats-Unis.

Ce contexte historique est particulièrement bien retranscrit, même si, en grande fan de Philadelphia, je n'ai rien appris ni ai été étonnée. En revanche, ce que j'ai vraiment appréciée, c'est que ce contexte ne soit pas central à l'histoire. Oui, deux des personnages sont malades et oui, cela influe fatalement sur le comportement des autres protagonistes, mais ce motif n'éclipse en rien le nerf de ce roman : la complexité des relations familiales.

Big up donc pour cet équilibre très apprécié.

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La parenthèse artistique : métaphore de la guérison du coeur

J'ai particulièrement apprécié le motif de l'art qui transperce ce roman de part en part. Que cela soit à travers les poses que prennent les différents personnages, les représentations qu'ils tentent, les tableaux/objets exposés ; mais surtout à travers l'évolution et les modifications du dernier portrait de Finn, celui qu'il fait de ses nièces, jouant ainsi un rôle crucial dans leur relation future.

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Des relations familiales complexes

La relation qu'entretiennent les deux soeurs est pour moi la véritable problématique du roman, son coeur de développement. J'ai été sensible à son évolution, aux efforts de chacune pour faire un pas vers l'autre, aux difficultés qu'elles rencontraient à appréhender cette soeur apparemment insensible… Je m'y suis projetée, ai été très émue, mis en rapport beaucoup des interactions que j'avais avec ma petite soeur pendant notre adolescente.

Greta vs. June fonctionne aussi bien que Greta avec June. Les deux soeurs sont vraiment touchantes dans leurs « je t'aime/moi non plus ». Les relations qu'elles entretiennent sont d'une profonde justesse.

Paradoxalement, c'est plutôt la relation June/Toby qui m'a déçue. J'ai trouvé certaines des réactions des personnages particulièrement incohérentes. A mon sens, même en deuil et dans le contexte historique que nous avons décris, June (qui n'a tout de même que 14 ans) accorde bien trop rapidement sa confiance en cet homme adulte détesté par ses parents, qui tente de prendre contact avec elle après le décès de son oncle. Si la fin de l'ouvrage vient justifier cette confiance mutuelle rapide, j'ai tout de même passé quelques centaines de pages à douter de la crédibilité de June. Voilà pour mon seul petit bémol.

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La suite sur le blog ;)

Lien : https://pikobooks.com/2017/0..
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1987 : l'oncle Finn, artiste peintre renommé et parrain vénéré de la jeune June, disparaît en contractant cette toute nouvelle maladie qui ravage la communauté gay, cette peste de la fin du 20ème siècle qu'est le SIDA et qui effraie alors la population par sa virulence et son taux de mortalité élevé. le jeune peintre cloisonnait soigneusement sa vie privée, cachant l'existence de son compagnon Toby pour préserver les relations familiales qu'il entretenait avec sa soeur unique et sa famille. Toby décide de sortir de l'ombre à la mort de Finn, et prend contact avec June. Une amitié secrète va naître entre eux, une complicité se nouant au fil des jours, faisant mûrir l'adolescente qui va découvrir que la vie n'est pas toujours aussi simple que l'on pourrait le croire, et que les hommes peuvent parfois se montrer bien cruels face à la peur de l'inconnu ou quand on dérange leurs certitudes...

Un roman qui met fin à l'insouciance ? Un roman nous rappelant que "l'homme est un loup pour l'Homme" et que le temps ne change rien à l'affaire face à des préjugés bien ancrés ? Que nenni, sous la nostalgie des mots perce l'espoir, plaisant virage pris par l'auteure, toute espérance ne semblant pas vaine puisqu'il semblerait qu'un regard innocent et dépourvu d'oeillères puisse faire basculer les choses vers un dénouement inattendu !
Certes, je n'ai pas touché au transcendant, mais j'ai été agréablement surprise par la plume sensible de l'auteure. La lecture est entraînante et agréable et Carol Rifka Brunt arrive à toucher notre corde sensible sans nous envaser dans une marmelade de larmoiements lénifiants ! Une auteure à suivre...
Lien : http://leslecturesdisabello...
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Ce livre tournait pas mal sur la blogosphère et le billet enjoué d'Eva aura eu fini de me convaincre. Une lecture hors de mon programme et surtout un achat à la clé ! Mais aucun regret. Pour ceux qui n'auraient par hasard aucune connaissance du pitch, voici la présentation de l'éditeur :

Nous sommes au milieu des années 1980, aux États-Unis. June est une adolescente taciturne, écrasée par une soeur aînée histrionique et des parents aussi absents qu'ennuyeux. Depuis sa banlieue triste du New Jersey, elle rêve d'art et de son oncle Finn, un peintre new-yorkais reconnu. Mais Finn est très affaibli et meurt bientôt de cette maladie qu'on n'évoque qu'à demi-mot, le sida. Inconsolable, la jeune fille se lie d'amitié avec un homme étrange, Toby, qui se présente comme l'ami de Finn. Confrontée à l'incompréhension de son entourage, et à la réalité d'une maladie encore honteuse, June va brusquement basculer dans le monde des adultes et son hypocrisie. Chronique des années sida vues par les yeux d'une adolescente,

Carol Rifka Brunt est née aux États-Unis et vit aujourd'hui en Grande-Bretagne. Dites aux loups que je suis chez moi est son premier roman. Oui, encore un premier roman pour moi. Je dois mettre un bémol à cette présentation : si le point de départ de l'histoire est le décès du sida de l'oncle de June, Finn , je trouve que le roman se concentre plus sur la sororité que sur cette époque et la maladie. le véritable fil conducteur de l'intrigue est l'histoire de ces deux soeurs qui se sont tant aimées puis au fil des ans se sont éloignées l'une de l'autre, au point de passer leur temps à se chamailler. La mort de cet oncle, parrain très investi auprès de June, va rouvrir ici les rancoeurs – n'est-il pas à l'origine de cette rupture ? Car en filigrane, on découvre ici que June, l'héroïne du roman, s'était tellement investie dans cette relation au point d'en oublier qu'il était simplement son oncle, et d'en oublier sa famille ou même d'ouvrir les yeux sur cet homme. Comment a-t-elle pu ignorer l'existence du compagnon de Finn ? de la détresse de sa soeur ? En ça, la romancière sait traiter avec talent de l'adolescence où l'on pense surtout à soi et où l'ouverture aux autres est un passage obligé mais difficile.

C'est bien l'aspect roman d'apprentissage qui m'a plu ici. June va être amenée, même contrainte, à ouvrir les yeux sur le monde – le sien, sa famille – découvrir ici ses parents en tant que personne, voir sa mère en tant que soeur et pas uniquement en tant que parents, et elle va voir l'image de sa propre soeur se briser… et les désillusions s'enchainer mais aussi l'amour réapparaître. June a 14 ans – une adolescente qui a volé en partie mon coeur. Car malgré tous ses défauts, comme au début du roman, ses déclarations peuvent sembler immatures (surtout sur sa soeur), elle va grandir sous nos yeux et va comprendre que oui, nous sommes tous faillibles, même nos parents et qu'elle-même n'a pas un comportement parfait. Et que nos actes ont des conséquences.

Elle m'a rappelé la jeune ado que j'étais, j'avais une assez haute opinion de moi-même à l'époque 😉

Les années 80 sont présentes mais ici c'est plutôt « cool » d'avoir un « oncle mort du sida » – assez étonnant quand je me souviens à quel point les personnes atteintes du sida ont été traitées. le souci, c'est plus l'homosexualité de l'oncle et la relation qu'il avait avec sa soeur – on a le sentiment que les mêmes actes manqués se reproduisent à chaque génération et qu'il est temps de les briser.

C'est un premier roman qui a le don d'étudier à la loupe les relations intra familiales et qui réussit à pointer du doigt ces silences, ces non-dits, ces secrets qui viennent mettre à mal la famille. La romancière gratte le vernis, comme celui du portrait des deux soeurs, réalisés par leur oncle avant sa mort.

Au final, j'ai découvert un style fluide, plaisant et une auteur prometteuse, « à la plume sensible et puissante », même si j'ai ressenti à plusieurs reprises quelques longueurs et que je n'ai rien éprouvé pour l'oncle ou pour Toby, ce que je trouve fort dommage. Malgré tout, je n'hésiterai pas à lire son prochain roman.
Lien : http://www.tombeeduciel.com/..
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Tout d'abord, je tiens à remercier Babelio et les éditions Buchet-Chastel de m'avoir fait découvrir Dites aux loups que je suis chez moi, le premier roman de l'américaine Carol Rifka Brunt. Quand je l'ai reçu dans ma boîte aux lettres, je ne savais pas du tout à quoi m'attendre...

On y fait la connaissance de June, adolescente de 14 ans vivant dans une banlieue du New Jersey avec sa soeur Greta, visiblement promise à un bel avenir en tant que chanteuse de comédie musicale, et ses parents, comptables, qui laissent chaque année leurs filles orphelines pendant la saison des impôts. Et June s'ennuie. Peu sociable, passionnée par l'art et le Moyen-âge, elle n'a pas vraiment d'amis, et ne trouve du réconfort que dans les dimanches passés chez son oncle Finn, peintre qui vit à New York et qui réalise un portrait de Greta et d'elle-même. Elle est très attachée à cette figure qui seule la comprend, peut-être même trop ; et lorsqu'il meurt du sida, maladie dont on ne sait encore rien et dont le seul nom fait frissonner, son univers s'effondre. Jusqu'au jour où elle est contactée par Toby, l'ami particulier de Finn, comme l'appelle sa mère, qui souhaite la rencontrer et dont elle ignorait jusque-là l'existence…

Cette rencontre va bouleverser les certitudes de la jeune fille, qui se retrouve soudain propulsée dans le monde des adultes en découvrant qu'on lui a caché une multitude de choses. Pour la protéger ? L'existence des non-dits la terrifie plus encore que ce qu'ils révèlent…

Et puis il y a le portrait, la dernière trace laissée par Finn en ce monde. C'est lui qui donne son titre au roman. Dites aux loups que je suis chez moi. Un portrait mystérieux de deux jeunes filles qui ne se reconnaissent plus.

La première chose qui m'a frappée en lisant ce roman, malheureusement, fut la traduction maladroite. Des maladresses d'expression, des phrases qui manquent de sens… Je ne peux qu'espérer que le texte ait été mieux rédigé à l'origine.

Mis à part cela, la trame globale est intéressante. Les années sida vues au travers des yeux d'une jeune fille de 14 ans, ce n'est pas fréquent et cela montre un point de vue original sur cette partie étrange de l'histoire new-yorkaise. Les personnages sont assez bien travaillés, notamment la soeur de June, Greta, affublée d'un caractère bien trempé mais très inégal. June, quant à elle, se laisse balloter par les évènements, déteste tour à tour Toby, Greta, sa mère, se met à fumer et à boire du cognac…

Malgré tout, je reste sur une impression assez mitigée à la fin de ma lecture. La sensation que parfois tout est trop simple, ou plutôt s'arrange trop facilement. Les personnages, qui campaient sur leur position depuis une bonne centaine de pages, soudain changent radicalement d'avis sans autre raison apparente que de faire progresser l'intrigue… L'artificialité de ces retournements reste pour moi assez gênante. J'ajouterai que certains passages décrivant l'attachement profond de June pour son oncle créent une atmosphère relativement malsaine tant on est parfois dans l'exagération. Enfin, alors que tout le roman se déroule sur un tempo assez lent, la conclusion est amenée rapidement, comme si l'auteur avait envie de l'expédier, de s'en débarrasser pour en finir. J'aurais apprécié davantage de travail sur les dernières pages, qui me laissent un peu sur ma faim.

En conclusion, nous avons donc un roman qui se lit assez facilement, bien qu'au début on ne sache pas trop où l'auteur veut en venir, mais qui est entaché de quelques maladresses peut-être dues à l'inexpérience de l'auteur. A corriger peut-être dans un prochain ouvrage ?
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Un livre qui ne m'a pas complètement convaincu, à la différence d'un grand nombre de lecteurs et de lectrices de Babelio.
L'histoire est touchante et émouvante mais certains passages et certaines situations ne sont pas convaincantes même si les Etats-Unis est le pays de tout les possibles !
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June, une très jeune fille, découvre les premiers émois sentimentaux, la vie et la mort dans les années 1980 aux Etats-Unis. Une lecture agréable mais ne cherchez pas trop de rebondissements il n'y en a pas. Fort heureusement cette histoire est traversée par la peinture, par l'art sinon elle m'aurait beaucoup moins intéressée. June découvre avec le décès de son oncle adoré Finn, mort du Sida, que la vie n'est pas un long fleuve tranquille, Aspirations, déceptions, regrets, remords mais aussi tendresse, amour et amitié sont des sentiments exprimés dans ce roman et bien d'autres encore. Un livre tendre et doux sur l'adolescence à lire près de la cheminée.
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