Olivier Rolin est contraint de quitter son appartement du 10 rue de l'Odéon, antre de l'écrivain depuis 37 ans. Passé la stupeur d'être ainsi mis à la porte, il s'attache à organiser son déménagement. Un objet, un livre et les souvenirs lui reviennent. Ce pourrait être intéressant, mais c'est trop répétitif, lassant même, à force de références littéraires très 20eme siècle. Peut-être faut-il avoir déjà lu
Olivier Rolin pour mieux apprécier ses digressions ?