Ce livre de poche de 1966 à la couverture peu engageante, faisait parti d'un ensemble de livres destiné au pilon. Celui-ci comme d'autres, je ne pouvais me résoudre à les voir disparaître. D'autant plus qu'il s'agissait de
Romain Rolland, auteur de renommée mais que je n'avais jamais lu !
Après quelques années sur une étagère et plusieurs approches, je m'y suis enfin attelé.
Bien m'en a pris même s'il a fallu s'accrocher. En effet 500 pages pour le tome 1 en format « poche » et en petits caractères sur des pages bien remplies !
Ces lectures qui sont loin d'être « faciles », d'autant plus que tout cela a un peu vieilli (prix Fémina 1905) s'apparentent à une longue randonnée où l'on peut découvrir de beaux paysages, par moment on peine mais arrivé à destination, quelle satisfaction d'avoir terminé et que de souvenirs, qui resteront présents pour longtemps.
Il va par contre falloir récupérer avant d'attaquer les tomes 2 et 3 !