Laulie Rose/5
5 notes
Résumé :
Antoine Dulari élève seul sa fille, Anna, dans les beaux quartiers de Paris. De fâcheuses circonstances l'amènent à quitter la capitale pour Sorroville, le village où se trouve le manoir dont il est l'unique héritier. Il décide de s'y installer quelque temps avec son enfant. Mais, bien vite, les fantômes du passé resurgissent... Quelle est cette voix qu'Anna entend la nuit ? Pourquoi tient-elle tant à se rendre au phare ?
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Critiques, Analyses et Avis (2)
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Le commentaire de Lynda : COUP DE COEUR!
Une lecture qui se fait très rapidement, mais encore une fois, on réalise que ce n'est pas parce que ce n'est pas une brique que le roman n'est pas intéressant.
Voilà, j'ai commencé ce livre, et dès le départ, on sent un climat de mystère, une aura de surnaturel, sans trop savoir ce qui se passe au tout début.
Anna, une petite fille qui vit avec son papa Antoine, celui-ci l'élève seul, depuis la mort de sa femme alors qu'Anna était encore tout bébé.
Tout ne va pas vraiment bien pour Antoine, mais une ouverture se présente à lui, suite au décès de la mère d'Olivia, son épouse décédée, il hérite étant le seul descendant d'Isabelle d'un manoir au bord de l'océan.
Comme les choses vont mal, il décide de s'y rendre avec Anna.
C'est un paysage vraiment de rêve que nous décrit l'auteure, ce manoir avec vue sur la mer et surtout vue sur le phare, mais par contre, ce phare est peut-être responsable de la mort d'Olivia.
Dès leurs installations, il se passe de drôle de choses, la petite Anna, a des amies que l'on dit imaginaires, et si ce n'était pas le cas. Si les fantômes existaient pour de vrai, et si l'âme d'Olivia était toujours sur place. Qui est cette autre Anna, qu'Anna dit voir et entendre, quel est le mystère derrière ce petit fantôme Anna ?
Je ne peux vous en dire plus, sans vous dévoiler les secrets d'Anna. Je peux par contre vous dire que j'ai dévoré ce livre d'une traite, j'ai ressenti des frissons face aux phénomènes surnaturels que l'on vit par le biais d'Anna.
Laulie Rose, m'a fait vivre toutes sortes d'émotions à travers cette petite fille sans maman, devant Antoine avec sa peine et son désespoir à certains moments. Et la fin, et bien, vous en serez surpris autant que moi, ça, je peux vous le promettre.
Coup de coeur, oui, et je vous recommande sans hésitation !
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
Une lecture qui se fait très rapidement, mais encore une fois, on réalise que ce n'est pas parce que ce n'est pas une brique que le roman n'est pas intéressant.
Voilà, j'ai commencé ce livre, et dès le départ, on sent un climat de mystère, une aura de surnaturel, sans trop savoir ce qui se passe au tout début.
Anna, une petite fille qui vit avec son papa Antoine, celui-ci l'élève seul, depuis la mort de sa femme alors qu'Anna était encore tout bébé.
Tout ne va pas vraiment bien pour Antoine, mais une ouverture se présente à lui, suite au décès de la mère d'Olivia, son épouse décédée, il hérite étant le seul descendant d'Isabelle d'un manoir au bord de l'océan.
Comme les choses vont mal, il décide de s'y rendre avec Anna.
C'est un paysage vraiment de rêve que nous décrit l'auteure, ce manoir avec vue sur la mer et surtout vue sur le phare, mais par contre, ce phare est peut-être responsable de la mort d'Olivia.
Dès leurs installations, il se passe de drôle de choses, la petite Anna, a des amies que l'on dit imaginaires, et si ce n'était pas le cas. Si les fantômes existaient pour de vrai, et si l'âme d'Olivia était toujours sur place. Qui est cette autre Anna, qu'Anna dit voir et entendre, quel est le mystère derrière ce petit fantôme Anna ?
Je ne peux vous en dire plus, sans vous dévoiler les secrets d'Anna. Je peux par contre vous dire que j'ai dévoré ce livre d'une traite, j'ai ressenti des frissons face aux phénomènes surnaturels que l'on vit par le biais d'Anna.
Laulie Rose, m'a fait vivre toutes sortes d'émotions à travers cette petite fille sans maman, devant Antoine avec sa peine et son désespoir à certains moments. Et la fin, et bien, vous en serez surpris autant que moi, ça, je peux vous le promettre.
Coup de coeur, oui, et je vous recommande sans hésitation !
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
L'histoire de ce livre est très prenante. le scénario est bien ficelé, l'intrigue tient en haleine, et certaines descriptions font froid dans le dos.
On peut qualifier l'oeuvre de thriller fantastique basé sur une histoire ayant de la profondeur.
On peut qualifier l'oeuvre de thriller fantastique basé sur une histoire ayant de la profondeur.
Citations et extraits (12)
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L’enfant savait peu de choses sur sa mère, si ce n’est qu’en parler semblait faire de la peine à son père. Ses yeux se voilaient de tristesse lorsqu’il lui montrait les photos dans le grand album rose. Et elle l’entendait aussi pleurer parfois le soir tandis qu’il murmurait son nom entre ses larmes : « Olivia, mon Olivia, ma petite perle… » Le jeune homme n’avait pas fait le deuil de cette perte. Penser à sa bien-aimée lui était fort douloureux mais il se faisait un devoir de ne pas priver Anna de ce lien indispensable avec le souvenir de celle qui fut sa maman.
Ils se couchèrent tôt ce soir-là, épuisés tous deux par le long voyage. La petite fille, quelque peu effrayée par la grandeur de la maison, préféra dormir dans les bras de son papa, sur le canapé qu’il avait improvisé en lit. Les rêves qui bercèrent leur première nuit au manoir furent doux et paisibles.
Ils se couchèrent tôt ce soir-là, épuisés tous deux par le long voyage. La petite fille, quelque peu effrayée par la grandeur de la maison, préféra dormir dans les bras de son papa, sur le canapé qu’il avait improvisé en lit. Les rêves qui bercèrent leur première nuit au manoir furent doux et paisibles.
Les gens de nos jours n’en ont fichtre rien à faire que les stylos que nous vendons fonctionnent un an, deux ans et plus encore ; au bout de six mois ils l’auront déjà perdu ! Ce qui compte c’est que les gens l’achètent ! La qualité, voyez-vous : rien à faire ! Nos stylos doivent attirer le regard, ils doivent être pratiques, design, drôles : c’est tout ce que les gens veulent ! C’est tout ce dont ils ont besoin : un peu de distraction, de fun ! Vos études sur la durabilité, la confortabilité du stylo en main, pardonnez-moi mais c’est à pleurer de rire !
Anna était une petite fille de huit ans, frêle et timide. Elle avait un regard profond voilé de longs cils bruns. Ses cheveux dorés mi-longs étaient noués en deux couettes de chaque côté de son visage. C’était une enfant sage et qui parlait peu ; elle paraissait souvent ailleurs, la tête dans les nuages. Les seules personnes en qui elle avait confiance étaient son père, sa nounou Pauline — qui venait de la quitter — et sa dernière amie imaginaire en date.
Un manque comme un secret.
Une chose qu'elle tentait de mettre à jour en observant les gros nuages gris nageant tant bien que mal dans la mer azur du ciel. Une chose qu'elle tentait de percer en suivant le vol des oiseaux et en écoutant leurs piaillements, langage auquel l'enfant attribuait un sens tout particulier : les oiseaux lui parlaient, les oiseaux la guidaient, ce qu'ils avaient à lui apprendre – le secret – était délivré dans un langage codé qu'elle ne tarderait pas à déchiffrer.
Une chose qu'elle tentait de mettre à jour en observant les gros nuages gris nageant tant bien que mal dans la mer azur du ciel. Une chose qu'elle tentait de percer en suivant le vol des oiseaux et en écoutant leurs piaillements, langage auquel l'enfant attribuait un sens tout particulier : les oiseaux lui parlaient, les oiseaux la guidaient, ce qu'ils avaient à lui apprendre – le secret – était délivré dans un langage codé qu'elle ne tarderait pas à déchiffrer.
Comme il était coutume, les enfants se mirent alors à s'approcher du phare jusqu'à toucher ses murs. Lentement, ils exploraient, tâtonnaient avec leurs petites mains rougies par le froid, à la recherche de quelque trésor caché dans la pierre. On eût dit qu'ils caressaient la bâtisse, comme pour l'amadouer.
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