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Prenez une très vieille bâtisse construite sur une île isolée du Canada, une famille avec un passé mystérieux, des décès tragiques, des accidents inexpliqués, un petit garçon qui a une amie imaginaire….et vous obtenez ce qui aurait pu être un excellent roman de terreur si l'auteur s'était donné la peine de ne pas bâcler la fin en cinq pages en laissant pas mal de questions sans réponses, dont le rôle du fameux papillon qui est sur la couverture du livre.
L'intrigue démarre lentement et nous emmène dans un univers proche de celui de Stephen King dans « ça » car on y suit la vie quotidienne d'un petit garçon de neuf ans qui a du mal à se faire des amis.
Il nous raconte avec ses mots la joie d'avoir eu son tout premier vélo, l'angoisse d'aller en colonie de vacances, les heures passés avec sa seule amie, une gamine du quartier, ses liens très forts avec son père….
Le côté fantastique de l'histoire arrive assez tardivement, et la fameuse maison prétendument hantée ne fait son apparition qu'au deuxième tiers du roman environ et là, tout s'accélère d'un coup.
L'ambiance devient étrange, des tas d'éléments arrivent les uns après les autres mais subitement, tout est fini en deux temps, trois mouvements, laissant le lecteur avec des questions sans réponses et certaines révélations arrivent d'un coup, comme des cheveux sur la soupe, n'étant d'ailleurs pas toutes crédibles.
La fin m'a grandement déçue, elle a un goût de « vite fait, mal fait », comme si l'auteur avait reçu un ultimatum de son éditeur et qu'il n'avait eu qu'une heure pour terminer son manuscrit.
Il y a donc de gros manques dans cette fin mais sans qu'un second tome ne soit nécessaire puisque la fin ne s'y prête pas vraiment.
En bref, j'ai pris du plaisir à lire cette histoire même si l'aspect fantastique du roman n'est finalement pas prédominant et que la fin est clairement ratée.
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J'ai acheté ce livre comme j'achète chaque inédit de la collection "L'ombre de Bragelonne" ( une sorte de réflexe pavlovien ). Mais j'étais sceptique. Clive Barker a beau encenser ce livre sur l'attirante couverture ("Une superbe ghost story", "Un roman fantastique de première classe"), je suis toujours dubitatif face à ce genre de publicité. Et puis une histoire de fantômes, ça n'est pas le sujet le plus original qui soit, je n'allais probablement pas découvrir grand chose d'inédit.

C'est donc sans attente particulière que j'ai commencé les 270 pages du second roman du Canadien Michael Rowe ( le premier, "Enter, night" demeurant pour l'instant inédit en France ), composé de huit longs chapitres et d'un prologue de presque 40 pages. Je renouais ainsi avec le surnaturel que j'avais délaissé ces derniers temps.

La scène d'introduction était assez convenue. Deux adolescents de la commune d'Alvinia qui sortent en soirée dans la région de Blackmore Island dans l'Ontario, réputée pour ses lacs. Premiers émois amoureux, histoires de fantômes, tragédie teintée d'étrange ( et de papillons de nuit ) aux abords de la grande demeure victorienne de Wild Fell dans les années 60. Les lieux ont été inventés pour les besoins du roman tout en s'inspirant d'un manoir bien réel, juché sur une falaise, qu'a visité l'auteur. Pas de réelle originalité donc mais une bonne surprise avec une écriture ( et une traduction de Benoît Domis ) subtile, facile à lire sans être dépourvue de style.

Commence ensuite le premier chapitre et la narration du principal personnage, Jameson ( Jamie ). Contrairement à ce qu'on pourrait croire son histoire ne commence pas avec l'acquisition de la demeure de Wild Fell. Ce qui en soit est déjà un pied de nez à toutes les autres histoires de maisons hantées puisqu'on échappe à la trame linéaire classique des oeuvres de Shirley Jackson, James Herbert ou James Kahn ( Poltergeist ).

Pour parler de ce roman fantastique, je vais évoquer les différentes étreintes d'un père et de son fils, récurrentes dans l'histoire.

Page 63, Jaimie demande à son père
"- Reste juste un peu avec moi, d'accord ?
- Entendu, mais pas trop longtemps.
Il s'étendit à côté de moi et mit son bras autour de mes épaules, m'attirant contre lui."
Réservé, solitaire, Jamie est plutôt la tête de turc de ses camarades et ce rôle de souffre douleur est évoqué dès le début lorsqu'il se fait voler son vélo par un jeune voyou du quartier voisin puis durant les trois semaines où il sera la risée du groupe en colonie de vacances, au camp Manitou ( hommage déguisé à Masterton ?)
Je me suis pris d'affection envers cet enfant dont l'existence sonne terriblement vraie. Courageux malgré les obstacles, un père aimant qui le soutient et une mère à l'inverse distante, la perte douloureuse de sa tortue peinte si primordiale et symbolique m'a donné envie de hurler à l'injustice.
Et le fantastique dans tout ça ? Eh bien il y a du moins des éléments troublants. D'où lui est venue la force de vaincre ( de massacrer ? ) son plus grand tortionnaire ? Jaimie a une amie imaginaire, son "amiroir", le personnage imaginaire habitant du côté de son reflet, dans une glace aussi somptueuse qu'inquiétante. Mais qui semble parfois bien réel. Pure imagination que ce personnage d'Amanda parlant à travers sa voix ? Qui peut allumer des bougies à distance ? Pure coïncidence que le voleur de bicyclette soit hospitalisé suite à sa chute dans un nid de guêpe alors que, comme un voeu à un djinn, il exprimait la veille à Amanda le souhait suivant : "Je veux qu'il me rende mon vélo, c'est tout ! Et ... et qu'il la ferme ! Qu'il se taise et cesse de s'en prendre à plus petit que lui" ?
Cette silhouette fantomatique inquiétante semble en tout cas responsable d'évènements inexplicables, en savoir beaucoup plus qu'elle ne devrait, être liée à Jaimie d'une façon ou d'une autre, être animée d'une vie propre et être capable de se mettre très en colère si l'enfant ne suit pas ses consignes. Mais terrifié, le jeune garçon finira par recouvrir le miroir pour ne plus la croiser et l'oublier.
Difficile en tout cas pour le lecteur de distinguer ce qui est vrai de ce qui appartient à la fantasmagorie du jeune homme.

Page 144, le père à son fils , trente ans plus tard
" - Jamie, dit il de la voix hésitante et chevrotante d'un vieil homme. Tu veux bien rester avec moi? Jusqu'à ce que je m'endorme ? J'ai si peur.
- Bien sûr papa. Bien sûr. Ne crains rien, je suis là.
Je grimpai sur le lit pour m'étendre à côté de lui. Puis je passai mon bras autour de ses épaules et le tins tendrement."
Cette inversion des rôles est liée à la maladie d'Alzheimer dont souffre le père. Loin de n'être qu'un roman fantastique de plus, Wild Fell est une oeuvre pleine de sensibilité et de réalisme. Il évoque notamment cette maladie et ses ravages sur la mémoire mais aussi la famille, l'amour d'un père et de son fils et à l'inverse la sévérité et le désintérêt d'une mère, un certain chaos familial ainsi que l'inéluctable séparation des parents de Jamie.
Il y est question d'homosexualité également avec la meilleure amie de Jamie, véritable garçon manqué. Tous ces sujets sont évoqués avec finesse et ancrent l'histoire dans un environnement crédible, ce qui permet de continuer à y croire même lorsqu'intervient le surnaturel.
Devenu adulte, Jamie sera contraint de placer son père dans un centre de soin adapté à son état et par un nouveau coup du sort, il sera victime d'un grave accident qui le plongera dans le coma. L'indemnisation du chauffard lui permettra cependant d'être assez riche pour faire l'acquisition de Wild Fell.

Page 191
"Mon père était sur moi, à califourchon sur mes cuisses, frottant ses fesses contre mon ventre. Je sentis la pression des os de ses genoux pointus s'enfonçant dans mes côtés."
Première nuit à Wild Fell, premiers cauchemars venant souiller les souvenirs d'une si belle relation père / fils.
Le récit s'accélérera alors et basculera dans l'incompréhension et l'horreur. Sans trop en dévoiler vous ferez connaissance d'une étrange agente immobilière, vous verrez comment le temps peut se courber, vous verrez que rien de ce qui s'est déroulé depuis le début n'a été mis de côté et que tout trouvera son sens. Vous saurez qui était l'amiroir et vous découvrirez la reine des guêpes et des papillons de nuit. le final, l'apothéose devrais-je dire , est un feu d'artifice de révélations et d'horreur qui m'a tenu encore davantage en haleine que le reste du roman.

Wild Fell est présenté comme une Ghost story. Certes il y a bien tous les codes du genre ( la maison hantée, les évènements inexplicables, les présences fantomatiques ) mais Michael Rowe a créé une histoire bel et bien inédite et si on excepte quelques rares passages descriptifs de cette vieille et inquiétante bâtisse, j'ai lu une oeuvre unique, à la fois tendre, subtile et inquiétante que je ne peux que conseiller aux amateurs du genre, voire à toute personne non réfractaire à quelques éléments surnaturels.
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Une vraie réussite! «Wild fell» parvient à mêler les éléments fantastiques classiques (fantômes, maison hantée, portes qui grincent...) et une intrigue familiale parfaitement menée, et même émouvante dans certains passages. Dès les premières lignes, la narration à la première personne immerge complètement le lecteur dans une atmosphère d'étrangeté... pour raconter l'histoire de Jameson, qui sans le savoir est hanté depuis sa naissance par Amanda, son amie imaginaire...
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Une lecture vraiment sympa !

Je m'attendais à avoir vraiment très peur et à avoir du mal à lire, sachant que je suis incapable de regarder un film d'horreur. Mais ça n'a pas été le cas....à part un ou deux moments de malaise. Du coup de ce point de vue là je ne sais pas si c'est vraiment un livre d'horreur...

Par contre c'est un très bon livre. J'ai littéralement adoré le style de l'auteur, ses personnages, ses descriptions et toute l'histoire de la maison et surtout celle de Rosa et de sa chambre.
J'ai passé un super après-midi, je n'ai pas pu lâcher mon livre avant d'avoir terminé.

Un auteur que j'aimerais suivre !
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J'ai lu cette histoire de fantômes avec plaisir.
J'ai attendu en vain des explications rationnelles de tout ce qui arrivait.
Mais bien sûr rien de rationnel là dedans.
Déçue ? Oui.
Car, même si les trois quart du livre sont vraiment intéressant je m'attendais à beaucoup plus.
Je m'aperçois en fait que je n'ai pas bien saisi l'aboutissement de ce "fil d'Ariane".
Je reste donc sur ma faim, un peu décevant pour moi.
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Etrange histoire dont la fin me laisse perplexe.

En guise d'ouverture nous avons la mort tragique de Brenda et Sean, devant Wild fell, dans les années 60, puis le chapitre 1 s'étale curieusement sur presque la moitié du roman.
On y fait connaissance de Jameson, Jamie pour les intimes, qui est un jeune garçon presque effacé en société car sa carrure frêle lui attire des brimades des autres garçons. Nous sommes dans les années 70. Jameson est très proche de son père, à peine de sa mère, et a pour meilleure amie une fille qui aime se faire appeler Hank.
Jameson a 9 ans quand il découvre Amanda dans son miroir. Une sorte d'amiroir comme il aime l'appeler, car c'est pour lui une amie imaginaire avec laquelle il discute par le biais de son miroir. Imaginaire ? peut-être pas tant que ça quand des faits étranges se produisent et qu'elles les revendiquent.

Enfin arrive LE moment d'évoquer sérieusement Wild fell !
Pendant quelques rapides chapitres malheureusement. Jameson a la quarantaine désormais et devient le nouveau propriétaire de la demeure du XIXè et de l'île sur laquelle elle est bâtie.
Les rencontres étranges s'enchaînent, l'ambiance glauque est parfaite, entraînant Jamie, et nous par la même occasion, dans une confusion des plus totales.

Mais quand les explications (plus que des révélations) tombent, je suis totalement larguée !
Je me suis accrochée tant bien que mal, mais j'ai fini par laissé tomber. Je n'ai pas saisi tous les mystères de Wildfell, ce qui ne m'a pas dérangée plus que ça, en revanche, ne pas savoir ce qu'il advient de Jameson est particulièrement cruel à mes yeux et me laisse une impression d'inachevé.

Par curiosité vous pouvez lire cette Ghost Story, mais n'en attendez pas trop selon moi. Par contre, si les histoires de miroirs hantés vous intéressent, je vous recommande un film plutôt pas mal, The Mirror, sorti en 2013.
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Je reste sur ma faim après cette lecture. Je ne m'attendais pas à être autant baladée entre ce qui était réel et ce qui ne l'était pas.

L'histoire de fantôme ici m'a laissée dubitative. Je m'attendais à plus d'actions "paranormales" plutôt qu'à une histoire de sorcière.
Certes l'auteur à très bien ficelé tout tout ça mais il m'a manqué un petit plus pour accrocher. Il est clair que je me suis ennuyée, surtout à cause des longueurs que l'auteur nous a distillé.

Je ne conseillerai pas cette lecture à des gens qui aiment les frisson car ici, pour moi, il n'y en a clairement pas.
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Je suis un peu partagée par cette lecture. C'est un bon roman mais on m'avait promis une ghost story angoissante, ce qui n'est, selon moi, que partiellement réussi.

L'auteur évoque une palette de thèmes très intéressants et plutôt bien abordés: l'amour, la mort, la folie, Alzheimer, l'inceste, le rôle des parents, la solitude, le harcèlement, la quête de soi, le genre, etc. Mais peut-être aurait-il mieux fallu qu'il se restreigne dans les thèmes choisis afin de pouvoir, selon moi, mieux les exploités et mieux les approfondir. Parce que, voyez-vous, si ce roman se lit bien malgré quelques longueurs, j'ai comme un petit goût d'inachevé dans la tête. Comme si ce livre était le début de quelque chose. J'ai pourtant adoré la fin mais celle-ci m'a paru être le début d'une autre histoire qui aurait pu être vraiment très prometteuse pour une ghost story. Je reste donc sur cette faim/fin qui ne va pas me hanter mais qui me laisse quelques regrets.
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Une bonne histoire de fantômes comme je les aime, teintée de mélancolie, avec en toile de fond des tragédies, des existences tristes et des événements dramatiques.

Le prologue donne le ton de cette histoire de fantôme fidèle aux classiques du genre avec la mort mystérieuses d'un couple d'amoureux, aux abords d'un lac et en pleine nuit, dans les années 60.

Une bonne histoire de fantômes comme je les aime, teintée de mélancolie, avec en toile de fond des tragédies, des existences tristes et des événements dramatiques.

Le prologue donne le ton de cette histoire de fantôme fidèle aux classiques du genre avec la mort mystérieuses d'un couple d'amoureux, aux abords d'un lac et en pleine nuit, dans les années 60.

On entre ensuite dans l'histoire proprement dite avec le narrateur, Jamie. J'ai adoré la première partie, sur l'enfance d'un garçon solitaire et qui a du mal à trouver sa place parmi les enfants de son âge. Un petit garçon qui a tissé un lien très fort avec son père et qui est devenu l'ami d'une petite fille nommée Amanda, qui parle par sa bouche et qui vit dans le miroir de sa chambre. Je me suis trouvée immergée dans l'atmosphère de ce chapitre, où l'innocence d'un enfant est confrontée aux problèmes de couple de ses parents, aux brimades des autres et à la difficulté de s'intégrer. On s'attache à cet enfant qui s'efforce de ne pas décevoir ses parents, dont les émotions sont à fleur de peau et qui devra faire face à la cruauté des autres.
Ce que je préfère, dans les histoires de fantôme, c'est quand les fantômes en questions sont présents de manière subtile, à peine détectable, et c'est ce qu'on a ici. L'important est de suivre ces moments de la vie d'un petit garçon, et le surnaturel ne se manifeste que par des touches de mystère, d'événements incompréhensibles et parfois effrayants. Pour le petit Jamie, le surnaturel dans sa vie prend donc la forme d'Amanda, petite fille qui apparaît dans le miroir de l'enfant mais qui semble capable d'influer sur le monde réel, en s'en prenant violemment à ceux qui font du mal à Jamie, par exemple.

Dans la deuxième partie, Jamie est adulte, et le roman prend une nouvelle dimension, toujours aussi portée sur la sensibilité, avec le père de Jamie qui souffre de la maladie d'Alzheimer. C'est assez symbolique, dans un roman où la mémoire a une grande place : les papillons de nuit qui semblent être les émissaires des fantômes dans ce roman, sont dits capables d'apporter l'oubli, et Jamie a lui-même tout oublié de ses rencontres avec son amie imaginaire à partir du jour où il a brisé le miroir.

Le récit s'accélère brusquement au moment où Jamie achète la fameuse demeure de Wild Fell. le roman prend une tournure de plus en plus inquiétante, même effrayante, lorsque Jamie s'aperçoit qu'il est peut-être le jouet de fantômes qui l'ont manipulés pour le faire venir jusqu'ici. Peu à peu, tout se trouve expliqué, de l'enfance de Jamie avec son amie Amanda jusqu'aux secrets horribles enfouis dans la mémoire de Jamie, en passant par la vérité sur les derniers occupants de Wild Fell. La toute fin prend une dimension presque horrifique avec la confrontation entre Jamie et ses fantômes.

En conclusion, Wild Fell est une bonne histoire de fantômes, mais pas que. En effet, je l'ai trouvée un peu à part, grâce à ce côté très humain et sensible, qui donne du réalisme aux personnages et les rends touchants.
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L'écriture était magistrale, toute en fluidité et maturité. L'auteur mélange à merveille les voiles du passés aux lumières du présent et nous offre, au travers du miroir de l'irréel, une vue terrifiante sur les abîmes par-delà la mort. Si vous cherchiez une "ghost story"​​​​​​​ gothique et pourtant résolument moderne, la voici qui est toute trouvée!
Lien : http://www.chroniquesdachero..
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