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3,8

sur 2947 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Faye, un jeune écrivain sénégalais contemporain s'est pris de passion pour un livre culte publié en 1938 et désormais quasi introuvable, le Labyrinthe de l'inhumain, un livre fantôme dont l'auteur TC. Elimane semble n'avoir été qu'un craquement d'allumette dans la profonde nuit littéraire. Accusé de plagiat, il a brusquement disparu. Qui était-il vraiment ? Un plagiaire honteux, un mystificateur, un assassin, un libertin, un mythe.

Je n'ai pas réussi à entrer dans ce livre, cette quête sans fin pour retrouver un auteur maudit ne m'a pas inspiré. Certes l'écriture est belle, mais je me suis complètement perdu dans ce récit, mélange de croyances et de réalité où chaque personnage porte plusieurs noms. L'auteur aborde des sujets intéressants comme la situation des écrivains africains qui rêvent d'un adoubement du milieu littéraire français, de même cette attirance pour la culture des Blancs qui sème le chaos et la désolation parmi les Noirs. Les pages sur la littérature en générale et sur le sens profond d'un livre m'ont semblées très justes, mais cette grande errance tout au long du livre a fini par m'ennuyer et une fois ma lecture terminée, j'ai eu l'impression de m'être égaré dans un roman qui ne me convenait pas tout simplement.

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Long, long, long, mais long...
Trop de personnages, trop volumineux, trop de temps pour le lire. Je suis passé par tous les stades du « j'aime - je déteste ».
Un des derniers chapitres dérape vers la politique, sans rapport véritable avec le sujet. Là il a fallut que je mette en pratique mon stage de formation à la lecture rapide, c'est à dire...en diagonale et en perdant toute la belle subtilité du style de Mohamed Mbougar Sarr. Dommage

Il s'agit donc d'une enquête menée par un jeune écrivain pour retrouver l'auteur disparu d'un livre unique, majestueux. le Livre qui, selon lui, surpasse tout ce qui a pu et qui pourra s'écrire.
L'auteur, africain, gavé d'innutrition, fut logiquement accusé de plagiat.
Et le pourquoi de cet abattage ? Cette vile jalousie du blanc vis à vis de ce qu'il croit être sa créature, qui se croit elle-même devenue blanche, mais qui doit rester noire ; même si elle est plus blanche que blanche.
Me suivez-vous ?
Les français, la colonisation, en prennent pour leur grade. Sous l'apparence de critiques de l'époque, c'est leur racisme et leur bêtise qui est dénoncée.

Voilà pour le sujet du livre.

La quête, le partage et le devenir de l'ouvrage en question est prétexte a verbiage littéraire, abondance de beaux mots, de belles tournures. Les phrases sont très belles, de celles qui font naître un sourire de plaisir, de celles qu'on relit immédiatement pour mieux en saisir la beauté.

Mais j'ai eu rapidement, hélas, le sentiment d'un remplissage littéraire. Remplissage superbe certes mais remplissage alourdissant, répétitions et bis-répétitions.

L'écriture de Mohamed Mbougar Sarr est magnifique. Elle donne toute sa noblesse à notre langue française qui est maltraitée si souvent. Pour cela mon va et vient sentimental se termine sur le « vient » de l'amour de ce livre. Mais sa lourdeur ne me fait pas oublier le « va ! » qui m'assure que je ne le relirais pas. Je vais tâcher de n'en garder que la superbe.

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Je n'avais pas très envie de le lire ce roman.
Les avis étaient trop clivants ; très élogieux d'un côté, dépeignant un roman fantastique voire un chef d'oeuvre, très critiques presque méprisants d'un autre côté décrivant un roman pompeux, soporifique et même incompréhensible.
Et puis, j'ai dû le lire dans le cadre du jury du livre de poche 2023 et je me suis située entre le deux camps.
C'est l'histoire d'un homme qui part sur les traces d'un écrivain qui, accusé de plagiat, a disparu et n'a plus rien écrit après son premier roman.
Cette quête est presque un conte.
Il faut se concentrer mais le va-et-vient entre les époques et les lieux est compréhensible presque envoutant.
Il est questions de racisme, de quête d'identité, de pauvreté, de colonisation, de blessure d'enfance et de fantasmagorie.
L'écriture est dense, sensible et exigeante.
Il y a aussi beaucoup de lourdeurs et d'errances qui desservent le récit.
Les personnages sont franchement peu attachants.
Une lecture donc intéressante mais qui ne m'a pas conquise ; j'ai éprouvé trop peu de plaisir pendant celle-ci.
Ni un chef d'oeuvre ni un fiasco me concernant.
Lu dans le cadre du prix des lecteurs du livre de poche 2023.
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J'aurais dû lire La plus secrète mémoire des hommes, il y a quelques mois déjà, puisque je l'avais acheté fin 2021, après le Goncourt, qu'il venait de, brillamment, remporter.
Mais voilà, comme tous lecteurs, je me laisse déborder et le livre d'actualité fini par ne plus l'être.
Était-ce une mauvaise chose que de laisser l'oeuvre faire son chemin avant de donner mon ressenti ?
Je vais être clair, ce n'est pas mon Goncourt préféré. (Je parle de ceux que j'ai lus et je précise que je ne les lis pas tous).
Attention, soyons clair là aussi, il y a des choses que j'ai aimées dans ce livre et il y en a d'autres, moins.
J'ai aimé l'écriture de Mohamed Mbougar Sarr, je m'en suis régalé même parfois.
J'ai aimé son Afrique et ses Africains.
Je me suis vu au milieu de ses villages.
J'ai écouté leurs paroles et les ai observé.
Parce que l'auteur est un conteur.
Mais par contre, il m'a perdu à certains moments.
Diegane Latyr Faye, son narrateur, est un jeune écrivain sénégalais qui découvre, de nos jours, l'existence d'un livre écrit en 1938 : le labyrinthe de l'inhumain de T. C. Elimane.
Ce livre, qui a été encensé avant de déclencher un scandale, aurait disparu. Tous les exemplaires ayant été détruit.
Diegane veut savoir.
Ce livre et son auteur, mythes ou réalité ?
La quête (l'enquête) commence.
D'Afrique en Europe, en passant par l'Amérique du Sud, Faye va récolter des témoignages et tenter de rétablir la vérité.
C'est là que je me suis égaré.
J'ai perdu mes repères.
Je ne savais plus dans quelle partie du monde je me trouvais, ni à quel moment. Surtout, je ne savais plus qui parlait et à qui cette personne s'adressait.
Ce qui est contradictoire, c'est que je prenais du plaisir à cette lecture, tout en m'interrogeant et essayant de retrouver le rôle de chacun.
C'était perturbant.
Ayant, dans la vie, un sens de l'orientation catastrophique, je rassure l'auteur, je pense que mon égarement n'est dû, qu'à une mauvaise interprétation et perception de son travail et n'a donc rien à voir avec la qualité d'un ouvrage qui mérite sans doute les éloges qu'on lui fit.
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Comment classer cet ouvrage : Rentrée littéraire 2021 ou Francophonie?

Mohamed Mbougar Sarr, né à Dakar est-il un romancier sénégalais comme le présente l'article de Wikipédia ou un écrivain de cette rentrée littéraire parisienne? Ce serait un détail si cette distinction n'était pas un des thèmes de ce roman. Diegane Faye est un écrivain africain vivant à Paris qui a publié un petit roman au tirage confidentiel. Il s'attache à faire sortir de l'oubli TC Elimane, écrivain maudit, qui a publié en 1938 un chef d'oeuvre disparu dans des circonstances étranges.   Marème Siga , "l'ange noir de la littérature sénégalaise"  lui confie un exemplaire du livre introuvable, lecture éblouissante. L'écrivaine, cousine d'Elimane, ne l'a pas connu ;comme Diegane, elle se consacre à sa recherche . Elle a eu une relation passionnée avec une poétesse haïtienne, amante d'Elimane. 


La plus secrète  mémoire des hommes mêle les voix de ces trois narrateurs.trices, et reconstruit l'histoire de la famille d'Elimane dans un village sérère du temps de la colonisation, de son père qui disparaît dans la Grande Guerre, tirailleur sénégalais, du scandale littéraire causé à la parution du livre d'Elimane, de l'errance de ce dernier jusqu'à 2018 quand Diegane retourne au Sénégal en pleins troubles sociaux. Longue histoire qui se déroule pendant plus d'un siècle sur trois continents. 

Histoire embrouillée parce que je n'ai pas toujours identifié les narrateurs : il m'a fallu parfois plusieurs pages  pour deviner qui a pris la parole : Siga? Diegane? la poétesse? parfois le père de Siga. Je me suis perdue  à plusieurs reprises. le style très dense, touffu parois sans ponctuation ni respiration n'aide pas franchement le lecteur. Si j'ajoute encore que le narrateur principal, l'écrivain, est souvent prétentieux, verbeux et peu sympathique, cela n'incite pas à continuer la lecture du pavé (448 pages seulement mais cela m'a paru bien plus).


Et pourtant c'est un roman très intéressant d'une part pour la réflexion sur l'écriture et la décolonisation, et pour l'aspect historique. Par ailleurs, la vie au village, les coutumes anciennes sont très agréables à lire. Si je n'ai pas accroché avec les personnages masculins que j'ai trouvé antipathiques, les femmes au contraire sont des personnages forts.
Lien : https://netsdevoyages.car.bl..
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S'il y a un livre dont on ne peut ignorer l'existence c'est celui-là. En effet il figure quasiment dans toutes les sélections des grands prix littéraires de l'automne.

Son auteur, fort sympathique au demeurant, est invité un peu partout, en particulier dans les émissions à forte audience, et dans les salons du livres renommés, et il est presque unanimement encensé sur la toile.

Je suis presque étonnée de m'être laissé faire aussi facilement…

Il faut reconnaître que ce garçon est brillant, son livre remarquablement bien écrit, et redoutablement construit. Et pourtant….

Et pourtant, je reste plus que partagée à l'issue de ma lecture, dont la facilité m'a -agréablement- surprise. Je m'étais d'ailleurs préparée à quelque chose de plus ardu à lire. Ce qui m'a laissée un peu sur le bord du chemin, c'est l'histoire en elle-même.

Le début est assez classique, le narrateur, est un jeune africain étudiant auteur à Paris. Il est totalement subjugué par un livre paru il y a quelques années maintenant dont on a perdu la trace de l'auteur. C'est donc à sa recherche que le jeune Diégane part, entouré de jeunes auteurs comme lui, de deux femmes à la fois mystérieuses et curieuses.

Il se dit ici ou là que ce roman se veut être une réflexion sur la littérature, la place de l'écrivain…. Je ne suis pas allée jusque- là, et quand bien même, ce n'est pas ce que j'attends d'un roman…

Je crois avant tout que l'auteur tente de régler quelques comptes avec la colonisation … soit….

C'est sans doute à la faveur d'une construction originale qui mélange les formes, et surtout prend beaucoup de liberté avec les choix narratifs, que je suis parvenue à ne pas trop trouver le temps long durant ces quelques 500 pages durant lesquelles j'ai pu oublier le fil d'une histoire un peu trop tarabiscotée pour moi. Esprit cartésien s'abstenir….

Car au fond qu'ai-je retenu de tout cela ? Peu de chose. Certes, l'ouvrage est brillamment littéraire, sans doute beaucoup trop à mon goût. Que faire d'une démonstration de style sur une histoire beaucoup trop perchée, dans laquelle on finit par se perdre, et à laquelle on ne fait plus attention ?

Voilà l'ouvrage parfait qui plaira sans doute aux intellos, qui permettra à certains de briller dans les diners en ville, sans doute un peu trop sur-vendu à mon goût. Certes il ne dépareillera pas dans ma bibliothèque, mais honnêtement, je regrette un peu mon achat, j'aurai préféré simplement l'emprunter….

Une lecture agréable donc, mais pas plus que cela ….
Lien : https://leblogdemimipinson.b..
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Ce livre est une mosaïque: roman policier, conte africain, plaidoyer vaguement menaçant au ressenti envers le jury du Goncourt, sentences célestinesques sur le sens de la vie, explication de ce qu'est la littérature, de ce qu'est un écrivain en général et un écrivain africain d'expression française en particulier. le tout ne fait pas, à mon sens, le biblicide tant recherché par beaucoup d'auteurs. Les styles sont variés et l'écriture aussi (ne manquent que quelques pages sans ponctuation). L'auteur confirme la première impression laissée par "De purs hommes" à savoir que l'écrivain n'a aucune propension à l'humour ou à la sensibilité dans sa narration, que les scènes de sexe, jamais vulgaires ni pornographique sont plutôt récurrentes (sans humour, elles sont au final, plutôt mièvres) et enfin, qu'il a un talent remarquable pour manier les mots qui sont des jouets dans sa plume. Hélas, pour mon goût, il mêle des mots surannés ou inusités avec des vocables ordinaires aussi modernes qu'éphémères qu'on serait en droit d'attendre de la part d'un auteur ultra mineur: "Elle rentra chez elle en Uber", "Je trouvais l'adresse avec le GPS", "Sur mon Whatsapp" etc...
Je ne pense pas lire d'autres romans de cet auteur en conclusion et lorsque mes connaissances et amis me demanderont conseil je dirais: c'est très bien écrit et facile à lire.
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Chroniquer La plus secrète mémoire des hommes n'est pas une chose simple.
Voici le roman d'un jeune auteur africain de 31 ans : Mohamed Mbougar Sarr.
Livre qui a obtenu le Prix Goncourt.
Mais Goncourt signifie-t-il grand livre?
C'est un roman brillant par son écriture, exigeant dans sa lecture, et qui fait l'éloge de la littérature.
C'est l'histoire d'un écrivain africain, T.C Elimane, qui en 1938 à écrit le Labyrinthe de l'inhumain. Elimane fût appelé le Rimbaud nègre. Puis on a perdu sa trace.
En 2018 un jeune auteur africain, Diegane Latyr Faye découvre le Labyrinthe de l'Inhumain et se met à la recherche des traces de T.C Elimane et essaye de comprendre le pourquoi de sa disparition.
Sa recherche va l'entrainer de Paris au Sénégal en passant par Amsterdam et l'Argentine. le tout sur la durée du 20ème siècle et du début du vingt et unième.
Comme je le dit en début de chronique , c'est un roman brillant par son écriture et exigeant dans la lecture. Mais ceci peut se retourner contre son auteur.
Le livre est brillant mais y a t il un intérêt primordial à employer régulièrement des mots inconnus de la plupart d'entre nous .
La lecture est exigeante mais pourquoi la rendre encore plus exigeante en ne nommant pas les personnages qui interviennent ni les lieux. Qui parle, où sommes nous ? Avec Siga d', avec l'Haïtienne , dans une chambre à Paris , Amsterdam ou Dakar.
Le "Je " appartient à chaque personnage , On croit être avec le même narrateur mais ce n'est pas le cas.
Ou comment rendre confuse la lecture.
Et c'est dommage car l'histoire de T C Elimane n'est pas totalement fictionnelle.
C'est l'écrivain malien Yambo Ouologuem et son livre le devoir de violence qui ont inspiré le fictif Labyrinthe de l'inhumain
Sont développés dans La plus secrète mémoire des hommes les thèmes du plagiat, de la place de la littérature, de la colonisation et de la Shoah.
Ce sont toujours des points de vue qui amènent une réflexion. Comment ne pas voir dans Diégane Latyr Faye , Mohamed Mbougar Sarr ?
Ecrire ou ne pas écrire , tel est le dilemme de TC Elimane, Diegane Latyr Faye et Mohamed Mbougar Sarr.
Filigrane d'un roman pour lequel la confusion m'a empêché d'appréhender toute l'inventivité de l'auteur.
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En 2018, Diégane, jeune écrivain Sénégalais vit à Paris et s'intéresse à un ouvrage et à son auteur publié en 1938, intitulé « Le labyrinthe de l'inhumain » qui a été très remarqué, au point qu'on a surnommé son auteur, T.C. Elimane  « le Rimbaud nègre ». Des critiques ayant identifié des emprunts du texte à d'autres auteurs, il est accusé de plagiat et le succès de son livre sera éphémère, tous les exemplaires, ou presque étant retirés du marché, malgré la grande qualité que lui reconnaissent ceux qui considèrent que l'utilisation pour partie de textes existants n'empêche pas la création d'une oeuvre originale. Marème Siga, une cousine de Diégane lui en confie un exemplaire rescapé et la recherche de l'auteur devenu fantôme commence. Cette quête, sous forme d'énigme policière avec la participation essentielle de Marème Siga et de la poétesse Haïtienne nous conduit en Hollande, en Argentine, avec un retour final au Sénégal. le début de ce roman, très bon, avec un style brillant, beaucoup d'humour est prometteur, mais la confusion s'installe dans les propos, l'identification difficile des personnages (pourtant peu nombreux), les situations et la légèreté initiale se transforment, soumet à la tentation d'abandon de la lecture mais aussi à sa poursuite, pour voir si cela s'améliore. Ouf, enfin terminé !
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Que c'est difficile parfois de commenter un livre...
Heureusement que j'ai été encouragée par d'autres lecteurs grâce à une lecture commune sinon je n'aurais jamais terminé ce roman, pourtant prix Goncourt.

Quelques impressions en vrac...

J'ai apprécié la quête de l'écrivain et rencontrer plusieurs personnages. J'ai apprécié l'enquête et les errements. J'ai aussi apprécié de découvrir des bouts de vie. J'ai surtout apprécié la construction faite de mise en abîmes, de retours, de changements de conteurs... c'est intéressant.
J'ai un peu pensé au livre " l'ombre du vent" qui m'avait laissé ce même sentiment de quête qui se perd en elle-même.
Le style est aussi très beau et il y a quelques beaux passages.

Ce qui me donne une transition.... le style, pour beau qu'il soit, m'a paru souvent emphatique, trop travaillé, trop scolairement littéraire. Je n'aime pas les phrases qui font 4 pages et il y en a!

Le personnage principal, copie de l'auteur ou pas, m'a aussi semblé très jeune, et sa recherche littéraire, son monde littéraire qui auraient dû me captiver m'ont laissée spectatrice, et je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages.

Mais c'est plus au final les déboires sentimentaux et sexuels des protagonistes qui m'ont clairement perdue. Je n'en ai pas compris l'intérêt et ce côté racoleur dans les romans modernes me déplaît fortement.

Bref, un roman d'un auteur à suivre, car plein de promesses, mais que j'ai trouvé long et difficile à lire et qui ne m'a pas procuré un grand plaisir de lecture.
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