- La vie s'est chargée toute seule de nous séparer... se plaint-il, les yeux dans le vague.
Sortir le week-end, boire et fumer ne me tente pas plus que lécher un cactus !
Cassandre a sa vie maintenant.
Elle est réapparue dans la mienne comme un courant d’air.
Sauf que je n’ai pas besoin d’air, j’ai besoin d’elle.
Parce que lorsqu’on aime quelqu’un comme j’ai aimé Soan, on ne le retient pas. On ne l’empêche pas de réaliser ses rêves.
– Je me suis dit que je prendrais notre relation comme une parenthèse magnifique, un moment auquel je repenserais avec le sourire. Mais je me mentais. Si je t’ai rendu tes baisers, c’est pour répondre à mes désirs de fille amoureuse. Je me rends compte que je suis en dehors de la réalité. Nos vies… nos rêves ne se rejoignent pas. Ils sont parallèles.
Cassandra a sa vie maintenant. Elle est réapparue dans la mienne comme un courant d’air. Sauf que je n’ai pas besoin d’air, j’ai besoin d’elle.
- je te suivrai,parce que ma vie et mes rêves ne valent le coup que si je les partage avec toi. Deux parallèles assez proches pour être ensemble.
cassie: mais c’est rien que moi
soan: Non, c’est pas « rien que toi ». c’est justement parce que c’est toi.
J’accueille toutes ses variantes, toutes ses nuances. Je suis prête à l’aimer en entier. Jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de moi.
Je n'ai qu'une vie. Je veux qu'un seul amour.