La Lisière

Du pur Tackian, avec ses quelques qualités et ses défauts récurrents. L'intrigue, malgré les invraisemblances acceptables dans une fiction, manque complètement de punch, à part dans les trop rares pages de véritables investigations policières et d'action.

L'auteur a situé l'histoire dans les Monts d'Arrée, en Bretagne, et de ce point de vue, c'est réussi, avec l'atmosphère de la lande, de l'océan, des forêts, des rivières et lacs. On a donc de bonnes descriptions évocatrices de l'environnement breton.

Mais, pour l'histoire, Nicko Tackian a choisi de promener son héroïne, Vivian, entre la réalité et le rêve, victime désorientée qu'elle est de la disparition subite de son mari et de son jeune fils unique en pleine lande, suite à l'immobilisation impromptue de leur véhicule. Ainsi, tous les épisodes oniriques de Vivian déconnectent le lecteur du coeur de l'histoire à savoir la disparition de ses proches, leur hypothétique assassinat et la mise en place de l'enquête de police.

La policière, Maëlys Mons, mène bien l'enquête, mais ses investigations sont occultées par toutes les digressions de l'auteur, avec les légendes bretonnes, l'Ankou, qui auraient dû, à mon sens, tenir beaucoup moins de place dans ce roman. Quant au fait qu'elle en pince pour son adjoint, un beau gendarme, cela n'est d'aucun intérêt pour l'ensemble, et pourtant Tackian en rajoute à ce sujet inabouti jusqu'aux dernières pages.

Pas de personnage réellement attachant et pour cause, leur personnalité étant brossée rapidement par l'auteur, le lecteur découvre à mesure tous les tourments de l'humain ce qui donne quelques belles réflexions laissant toutefois une impression de déjà vu.

Toute l'histoire aurait pu tenir en moitié moins de pages, cela aurait peut-être permis de densifier le sujet, en limitant les digressions à celles qui viennent l'enrichir plutôt que l'ensevelir.

Il reste que Niko Tackian a un style, qu'il est facile à lire, agréable quelquefois, ennuyeux trop souvent.

La couverture de ce récit colle à mon sens parfaitement à ce récit avec cette ambiance brumeuse entre mythe et légendes en Bretagne et débute assez rapidement avec une scène ou une famille s'arrête en voiture en forêt et ou rapidement rien ne va se passer comme prévu.

J'ai d'abord eu beaucoup de mal avec le nom d'une de nos protagonistes qui se prénomme Vivian mais qui est une femme, j'ai eu beaucoup de mal à m'y faire et puis rapidement malgré l'enquête j'ai entrevu ou Niko Tackian souhaitait plus ou moins nous faire aller.

J'ai lu plusieurs récits de cet auteur, la plume est toujours fluide et se lit rapidement cependant la trame du scénario est souvent plus ou moins semblable et c'est dommage car certes le cadre change et ici colle parfaitement au récit mais le schéma reste plus ou moins le même.

Si la première fois ou je l'ai lu cela m'a complétement bluffé, désormais j'en ressors déçu car on en revient sans cesse au même.

Et pourtant ici avec les monts D'arrée, le personnage de l'Ankou, la légende avec le chien, le trou etc....

J'aime vraiment ce genre d'ambiance et surtout en automne hiver qui colle avec ce temps froid et pluvieux à lire bien au chaud chez soi.

On navigue comme à l'habitude de l'auteur entre réalité et fiction, entre onirisme , légendes et côté plus enquête policière voir psychologique.

Le début du livre commençait bien pourtant mais entre mythes et réalité, rêve et quotidien, intrigue onirique et enquête réaliste ; je me suis perdue en cour de route ! J'ai terminé le livre mais que ce fut long… l'Intrigue est mauvaise, et les personnages peu crédibles. .....Quant a la fin je n'ai rien compris !

Décidément, cet auteur ne me convient pas.
C'est un roman noir, ça encore c'est bon mais où l'on ne peut pas se fier au personnage.

Vivian est dans la voiture familiale avec son mari et son fils. D'un coup, une ombre passe devant eux. Son mari arrête la voiture. Il descend. Son fils descend aussi de voiture et Vivian les voit pour la dernière fois. Lorsqu'elle sort elle voit du sang sur le sol et un homme la poursuit avec une hache.
Par la suite, elle verra son fils dans ses rêves.
Qu'est ce qui est vrai, qu'est ce qui ne l'est pas...
La lieutenante Maëlys Mons mène l'enquête.

Je n'ai pas accroché à l'histoire, pas plus qu'aux personnages. Il y a beaucoup de noirceur.
Au départ, j'ai pensé que l'auteur jouait sur le côté fantastique puisqu'on parle de légendes d'une région mais ça file assez vite sur un carnage. Un, deux, trois, soleil... :
je vais m'arrêter là avec cet auteur.

Le résumé m'a attirée, ça semblait mystérieux et en prime ça se passe dans ma région natale.
J'ai été consternée à de nombreuses reprises. Les personnages ne sont pas attachants, ils restent au niveau de clichés. C'est dommage parce qu'on sent une véritable attirance pour le mont saint Michel de Braspart.

Vivian et son mari Hadrien mènent une vie sans histoires avec leur fils Tom.
Ce soir-là, ils se rendent chez la mère d'Hadrien pour y déposer Tom. Dans les Monts d'Arrée, Hadrien s'arrête pour vérifier la voiture après un choc. Tom descend aussi.
Vivian attend ,mais ne les voit pas revenir. Elle s'inquiète, appelle, personne ne répond. C'est alors qu'elle est poursuivie par un homme armé d'une hache...
S'ensuit une enquête, des évènements inexpliqués, des rencontres qui soulèvent d'autres questions. Vivian vit un enfer, ponctué d'étranges rêves.
C'est un vrai suspense sur fond de Bretagne, avec l'Ankou rôdant autour des vivants. J'ai trouvé beaucoup d'invraisemblances dans ce court roman.
Entre autres, les personnages manquent d'émotions, à mon avis.

Pff...

Bon ben deuxième déception de la semaine, avec un auteur dont le livre Respire ne m'avait pas convaincue l'année passé.

Pourquoi ? L'intrigue part un peu dans tous les sens, avec de la divination et trop de mystique pour moi. La fin est une aberration à mes yeux et je ne me suis pas attaché à Vivian.

C'est un raté, ça arrive parfois !

Belle lecture à tous.

Ici, un fils et son père disparaissent, la mère réchappe de peu à l'Ankou, figure légendaire, fantasmagorique. Dès lors, des recherches sont lancées et la mère de famille se retrouve confrontée à l'inexplicable. Pourtant, tout cela fait sens au final mais j'ai trouvé le tout un peu long.

Le rythme de l'histoire est plutôt lent, oscillant entre rêve et réalité. Beaucoup d'interludes avec une immersion dans les rêves de Vivian qui revit le jour fatidique de la disparition de sa famille. J'ai trouvé que cela n'apportait rien à la trame principale, à part l'impression de faire du surplace. Quant au dénouement, il m'a semblé un peu trop gros et ma foi, un peu bâclé !

Une lecture en demi teinte donc !
Lien : https://loeildem.wordpress.c..

"La lisière"... 😱
... fontière entre les lumières de la ville et les ténèbres de la forêt.
... frontière entre la réalité et les rêves.
... frontière entre la vie et la mort.

Vivian et Hadrien forment un couple en apparence banal. Et avec leur fils adolescent Tom, une famille ordinaire. Jusqu'au jour où le père et le fils disparaissent sous les yeux de Vivian, dans les monts d'Arrée.
L'enquête peut alors commencer afin de tenter d'élucider cette histoire qui n'est ni banale, ni ordinaire... 🕵

L'univers de ce roman est sombre, glauque, presque malaisant. Certains passages sont gores juste pour apporter de l'hémoglobine, mais certainement pas un plus pour l'histoire. Et finalement, le tout combiné, c'est trop. Trop cliché, trop "copier-coller" : la forêt hantée, les monstres des légendes bretonnes, l'animal noir indéfini, la sorcière, des doigts coupés, du cerveau répandu, sans oublier la drogue, la psychiatre et bien évidemment, l'Ankou, la grande faucheuse. Quel maelstrom !

Sinon, intrinsèquement, l'histoire est bien construite et cohérente, mais dans la réalisation, je trouve que les différents éléments manquent de liant. Et parfois, il est difficile de s'y retrouver entre les parties réelles et les parties rêvées. C'est un peu brouillon.

Quant aux personnages, ils sont plats, neutres. Je ne me suis attaché à aucun d'entre eux. Et tout le long du roman, j'ai eu beaucoup de mal à me faire au prénom Vivian en tant que prénom féminin. Basiquement pour moi, Vivian est masculin et Viviane est féminin.

En résumé, je n'ai pas adhéré à ce roman. Tant pis ! ☹

Bienvenue dans les mont d'Arrée, terre de brume, de tourbe, de croyances et de légendes. Alors que le dernier ouvrage de l'auteur, Respire, m'avait laissé de marbre, ici j'ai été happée dès les premières pages. Cette ambiance mystérieuse a piqué ma curiosité. Malheureusement, mon enthousiasme a faiblit au fil des pages.
Avec La Lisière, Niko Tackian sort du pur thriller et étoffe son intrigue de questions sociétales et d'une pointe de fantastique, voire de mysticisme. Rien de dérangeant. Cependant les nombreuses descriptions et digressions m'ont sorti de l'ambiance sombre et vive qui m'a séduite au début de l'ouvrage. Malgré une écriture soignée l'auteur m'a perdu. J'ai mis du temps avant de partager cet avis car je n'arrive pas complètement à cerner ce qui m'a bloqué dans ma lecture. D'où cet avis très brouillon d'ailleurs, qui ne fait pas honneur au travail fourni par l'auteur.
Pourtant La Lisière n'est pas un mauvais roman, loin de là. Je suis passée à côté de cette lecture car j'avais d'autres attentes, mais je serai au RDV pour les prochains écrits de N. Tackian :)
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