Quatrième tome de notre Odyssey. La traque de Rypleh se poursuit pour notre petite équipe avec notamment Lanfeust et ses quatre épouses.
L'intervention d'un demi troll dans l'aventure est une bonne idée. Ce dernier fait une sorte de pendant à Hébus bien qu'il paraisse que ce demi troll ne sera pas présent dans les tomes suivants. Nous avons aussi l'irruption dans cet album d'une nouvelle méchante dans un magnifique ton de bleu et dons nous savons peu de choses à ce jour.
Le graphisme est toujours d'excellente qualité, les blagues un peu lourdes et les références musicales comme celles de l'aventurier d'Indochine ne manquent pas de saveur.
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On progresse ...
L'ombre qui menace Troy a désormais un nom, et une super-méchante remplace un grand méchant : c'est l'avènement de Lylth l'éternelle.
Quatrième tome plutôt trépidant, luxuriant. Dans un décor peuplé de créatures surprenantes, le demi-troll Zakhöl poursuit Lanfeust sans relâche jusqu'à la confrontation finale.
L'exploration du monde de Troy semble infinie, de nouvelles contrées se dévoilent à chaque tome. Mais c'est un monde en sursis ... la magie est de plus en plus instable et Lanfeust est toujours à la recherche de Ryplëh - toujours cet humour qui me fait personnellement beaucoup rire - qui est le seul à pouvoir l'innocenter du meurtre de Nicolède. Et dont on subodore que peut-être il pourra les aider à identifier cette ombre que même M'otha, le Magohamot himself semble craindre ...
Vivement la suite !
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La traque continue. Lanfeust et Hébus, qui sont à la recherche de Ryplëh, le seul à même de disculper Lanfeust, sont poursuivis inlassablement par le demi-troll sanguinaire Zakhöl. Pour ajouter du piment, notre héros est maintenant accompagné par son harem constitué par 4 jeunes et jolies épouses dotées de talents spéciaux...
Comme dans le tome précédent, c'est le grand retour de la fantasy d'humour, de gags foireux voire osés (beaucoup de sexe ou d'allusions sexuelles à peine voilées dans cet album), de clins d'oeil (la chanson "L'aventurier" d'Indochine...), mais aussi de combats assez sanglants, de créatures délirantes... et l'apparition d'une grande méchante à la fin. On en salive d'avance, et c'est parti pour le tome suivant.
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Du Lanfeust classique : aventure et humour sont au rendez-vous. L'épisode de Lanfeust avec des pastèques laisse penser que c'est un clin d'oeil à Val Kilmer dans le film Willow :) le dessin est super, les décors grandioses, les dragons extra.
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Comme d'habitude on retrouve un récit aux dessins extra et à l'humour intense. J'ai particulièrement apprécié le détournement d'une chanson d'Indochine. Ce fut un grand de moment de bonheur.
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Le TER, Trans Euxinien Retour, a été créé en l'an 27 de la Pintade huppée par un entrepreneur hardi, Flomuge Le Fol. Et depuis, ses descendants font monter et avancer les trains.
- Contrôleur : Monsieur ! Il ne faut pas lancer les autres voyageurs hors du train ! C'est interdit !
- Hébus : Ah ? Désolé. C'est écrit nulle part.
- Eh bien ! défends toi maudit rejeton de l'enfer !
- Ce ne sont que des bébés, ils ne représentent aucune menace.
- Ah ?
- Dommage, je trouvais ça bien de sauver la vie des frères de ma fiancée ... Tu es sûr qu'ils n'étaient pas un tout petit peu en danger ?
- Personne n'a vu le vénérable Gynostre ? On le cherche depuis des heures !
- J'ai un mauvais pressentiment ...
- Oui, ça va nous mettre en retard pour dîner !