Voilà, nous avons désormais droit au jeune beau héros qui se drogue sans vergogne. Il est vrai qu'il va abandonner la drogue au profit de l'aventure du fait de son métier de reporter à la Tintin. J'ai bien apprécié la liberté de ton. Les dialogues détonnent un peu ce qui ne fait pas de mal. le dessin est très vif et assez expressif.
Le second tome nous entraîne dans l'Afrique des marabout après avoir visité l'Inde des gourous dans le premier volume. Je n'ai pas très bien compris le dénouement de ce récit mais j'avoue avoir passé un bon moment de divertissement. C'est effectivement une bd assez ancrée dans notre époque. Fun et assez captivant. Sexe, drogue et rock'n roll au menu.
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Une belle déception : j'avais commencé la série par le tome 2, qui me semble plus homogène.
En reprenant ce tome, j'ai revu également ma copie sur la série. le scenario est tiré par les cheveux, Viny K part à l'autre bout du monde car il a rencontré la mère d'une parfaite inconnue dans une organisation de drogués anonymes. Cette mère cherche sa fille….et c'est Viny K. qui va s'y coller !
Il va donc retrouver l'inconnue, à l'autre bout du monde, au sein d'une secte, accroché à la Croix de Jésus.....
BOF !
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Oscillant entre la fiction et l'autobiographie, […] l'histoire qui part d'Europe pour pister un gourou serial baiseur au fond de l'Inde n'est ni crédible ni délirante […].
Lire la critique sur le site : Actualitte
Une si jolie petite gueule porte on ne peut mieux son nom : la première des stupéfiantes aventures a de la gueule, du charme et du chien.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
Ce début de série enthousiasme donc par son ton libre, son hommage humble envers les classiques de la bande dessinée, et son anti-héros épatant, à la fois tête-à-claques et âme en peine. Hautement recommandable.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Je suis sans nouvelles de ma fille.
Elle s'appelle Lolita. Elle est toxicomane. Je sais qu'elle venait dans votre association depuis peu.
Elle avait même arrêté. Elle me disait sans arrêt qu'elle était clean. Je ne comprends pas.
Ecoutez madame, c'est pas "Perdu de vue" ici. Je suis désolé mais nous nous occupons de personnes qui ont un problème de drogue.
Tout est drogue à qui choisit pour vivre l'autre côté.
Dans le 135e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Dernier week-end de janvier que l’on doit à Bastien Vivès, édité chez Casterman. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
– La sortie de l’album Colorado train que l’on doit à Alex W. Inker et aux éditions Sarbacane
– La Sortie de l’album L’impudence des chiens, album que l’on doit au scénario d’Aurélien Ducoudray, au dessin de Nicolas Dumontheil et c’est édité chez Delcourt
– La sortie de l’album Très chers élus que l’on doit au scénario conjoint d’Élodie Guéguen et Sylvain Tronchet, au dessin d’Erwann Terrier et c’est édité chez Delcourt
– La sortie de l’album Léo en petits morceaux que l’on doit à Mayanna Itoïz et aux éditions Dargaud
– La sortie du cinquième tome de la série RIP, un album intitulé Fanette que l’on doit à Gaet’s pour le scénario, Julien Monnier pour le dessin et c’est édité chez Petit à petit
– La réédition de l’album Une saison à l’ONU que l’on doit au scénario de Karim Lebhour, au dessin d’Aude Massot et c’est édité chez Steinkis
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