Trigger warning : violences, vi0ls et autres joyeusetés de ce genre...
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LES MACCOY de
Alexiane Thill.
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Au vu des TW, j'ai mis beaucoup de temps à écrire cette chronique mais la voilà !
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Contexte : Et si les clans d'Ecosse n'avaient jamais disparu ? Et s'ils continuaient à diriger les Highlands à l'insu du reste du monde ? Quand Phèdre arrive à Édimbourg pour respecter les dernières volontés de son père, elle se retrouve malgré elle entraînée dans ce monde de clans et de querelles sanglantes qui lui est inconnu.
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Ressenti : J'avais tellement hâte de le lire ! le résumé me tentait de ouf et j'en avais entendu de bons retours malgré quelques avis mitigés très vagues. J'ai compris pourquoi ! C'est un sujet très dur à aborder mais je ne peux pas cautionner ce genre de livre. Les romances toxiques, de base, ce n'est pas mon truc mais ok, ça peut passer, à la rigueur... Mais là ! A ce niveau-là ! Non ce n'est pas possible. Je m'explique. Déjà dans les premières scènes, on assiste au meurtre d'une jeune femme pour les raisons suivantes : c'est une femme et comme elle n'est plus vierge, elle n'est plus digne de vivre. Pardon ? Bon ok, on peut relativiser en se disant que c'est pour donner le ton de cet univers etc. Je continue donc ma lecture et après on voit quoi ? Un vi0l, purement et simplement. Et le pire, c'est que ce dernier est perpétré sur l'héroïne principale par le love interest et que le discours d'après est celui d'excuse. D'excuse ? Comment ça on excuse un vi0l ??? Non en fait ! Déjà en lisant la scène (qui est très crue et ne manque pas de détails), j'étais vraiment mal mais quand en plus l'héroïne commence à excuser ce comportement en mode "non mais je comprends, tu n'as pas pu te retenir", là j'ai halluciné ! Comment on peut encore écrire ça de nos jours ? Je suis désolée mais pour moi, ça ne passe pas. La violence physique, psychologique et sexu3lle qui est perpétré à l'encontre des femmes tout au long du roman m'a mise hors de moi. D'où le fait que je ne peux pas cautionner ce genre de roman, la suite est peut-être bien et oui il en faut pour tous les goûts, mais qu'importe c'est un gros non pour moi.