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3,68

sur 66 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
C'est un livre très soigné, papier, grosse écriture sont parfaits, les dessins de Myriam Saci naïfs à souhait. Je pense que ma petite-fille aimerait ce livre.

Qui aurait cru que, avant que les humains envahissent la terre, Montceau-les-Mines existait déjà qu'une hermine prénommée Ermelinde y régnait sur un peuple de………….. lapins !!! Vous avez bien lu : des lapins.
Un moment de délice : pourquoi cette ville s'appelle Montceau-les-Mines ? Parce qu'il y a des mines, logique me direz-vous et bien, que nenni mon bon monsieur, mais je ne vous le dirai point…. Devinez, mais prenez votre temps.

Quelques pages plus loin, nous faisons connaissance avec la famille Lapaimbot. Les 3 frères Arthur, chef des gendarmes, Théobald, le glacier et Justin le poète sont tous amoureux de la belle princesse qui se cherche un prétendant. Dur, dur pour arriver à séduire cette Ermelinde car Isidore Tiperanole, le concierge, veille au grain. C'est qu'il est féroce et fait peur avec sa tête de crocodile et son corps de gorille !!! En plus il a peur de s'ennuyer et veut toujours tuer le temps, mais pas seulement… de temps à autre, il aime bouloter un petit lapin, pour passer le temps. C'est ce qu'il fit avec Arthur et Théobald. Justin, le poète, lui, s'arme d'un… morceau de chocolat et part pour le château….. La suite…. Vous prendrez bien le temps de la lire en dégustant un bon morceau de chocolat…. Dégustez ses poèmes.

Cette fable, plus qu'un conte, a plusieurs lectures. Les enfants se laisseront séduire par les animaux et la princesse, lirons les poèmes très simples mais pas simpliste. Nous, nous pourrons leur parler du temps qu'Isidore voudrait tant rattraper.

Je remercie Marion et son livre-voyageur qui m'a fait voyager au pays des enfants et dans le temps.

Cela fera un beau cadeau pour ma petite-fille de 8 ans.

Lien : http://zazymut.over-blog.com..
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Pourquoi j'ai lu ce livre : Il faut beaucoup de courage pour écrire un livre, il en faut encore plus pour l'auto-éditer, alors que dire du courage qu'il faut pour le soumettre volontaire à la critique des autres. Quand Pierre Thiry a pris contact avec moi pour que je chronique sur mon blog son conte, j'ai sauté de joie, surtout que j'avais déjà eu de très bons échos de ce livre sur la blogosphère. Une fois reçu j'ai mit beaucoup de temps pour le lire, et pour le chroniquer, mais je voulais le faire dans les meilleures conditions possibles.

Mon avis : En ouvrant ce livre j'ai eu l'impression de redevenir une enfant, qui lisait un conte avant de se coucher. J'ai beaucoup aimé cette histoire, plein d'humour, et de poésie. On retrouve tous ce qui fait un bon conte pour enfant, des personnages attachants (en plus c'est des lapins ils sont trop mignons), une princesse, et un méchant plus que déroutant (Mi-crocodile mi-gorille, qui a une ambition dans la vie tuer le temps... au sens propre du terme).

J'ai adoré le style de ce conte, le rythme des phrases (qui est donnée grâce aux énumérations notamment), l'humour et surtout la poésie qui se dégage de tous ça (des petits poèmes y sont même glissés).
J'ai beaucoup aimé aussi les thèmes abordés dans cette histoire, comme la poésie bien sur mais aussi le temps qui passe (même si je ne suis pas sur que les plus petits soit vraiment sensibles à ce thème-ci étant donné qu'ils n'ont pas le même rapport au temps que nous).
Je le conseil aux parents qui voudraient lire une histoire du soir originale, drôle et poétique à leurs enfants, et je suis sur que chacun y trouvera son compte, grands comme petits, car ce récit est aussi plein de référence (par exemple à Proust). Par contre je ne le conseil pas forcement en première lecture, même si la forme est adapté (police d'écriture grande, texte bien aéré), car pour moi il est un peu long pour ça.

Seul petit bémol pour moi en ce qui concerne ce livre, ce sont les illustrations, que je n'ai pas trouvé assez présentes dans le livre, j'aime quand il y en a beaucoup, et qu'elles inondent parfois le texte, quelles le complètent, ici, j'ai l'impression qu'elles ne vont justement que "illustrer" le conte. de plus je n'ai pas vraiment accroché avec le style de l'illustratrice, que je trouve ici un peu trop enfantin. Mais bien sur cela n'est que mon humble avis
Mais cela n'enlève en rien à la qualité de l'histoire.

Pour finir je voudrais remercie, l'auteur de ce conte de m'avoir permis de découvrir ce livre
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Voilà un agréable petit conte qui se lit très vite et qui est plutôt amusant.

Cependant, certaines expressions, certains termes sont peut-être un peu compliqué pour des enfants. Beaucoup d'entre eux ne comprendront pas le double sens qu'a l'expression "tuer le temps", par exemple. Et cette expression a une importance énorme dans l'histoire : Isidore passant son temps à "le tuer" dans tous les sens de l'expression. Mais en lecture suivis à l'école, le conte sera compris par tous.

Les cinq principaux personnages ont leurs caractères propres, forts ; leurs centres d'intérêts personnels.

Quant à l'histoire elle-même, elle est plutôt traditionnelle : trois lapins amoureux d'une princesse. Un soldat qui tente de la protéger par tous les moyens. Ce soldat est Isidore Tipéranole... qui tue le temps.

Comme dans de très nombreux contes, l'histoire se finira bien. La morale, que je ne révèlerai pas est très moderne, tout à fait dans l'air du temps. le style est agréable, l'histoire amusante.

Ce conte est illustré par Myriam Sacy. J'apprécie les couleurs vives de ses dessins, mais les traits en eux-même sont trrop simpliste par rapport au style de l'écriture, à l'histoire... Et c'est vraiment dommage.



En conclusion : ce conte est très sympathique, au travers de mon regard d'adulte...




Lien : http://coffresalivres.canalb..
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Isidore Tiperanole, un gorille à tête de crocodile est le garde du château où habite la belle hermine Ermelinde. Elle est tellement belle que beaucoup de lapins la courtisent. Particulièrement trois frères Arthur, Théobald et Justin. Mais Isidore Tiperanole veille au grain et a pour consigne de ne laisser personne entrer dans le château...
La suite sur mon blog.
Lien : http://histoires-de-livres.o..
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Dans la charmante ville de Montceau les Mines, dans un temps que personne ne connaît aujourd'hui vivaient trois frères lapins aussi différents les uns des autres qu'il est possible de l'être : Arthure Lapaimbot, le gendarme sévère, Théobald, le glacier fantaisiste et Justin, le troubadour poète qui n'existait que pour la rime. Descendants du Garde des Sceaux de cette ville, l'Auguste grand-père qui criait toujours :“Mon sceau l'hermine ! Mon sceau l'hermine !”, ils sont tous les trois amoureux de l'hermine, princesse de la ville, la belle et inaccessible Ermelinde. le château de cette dernière est enchanteur, fait de diamants et de pierre précieuses.

© Myriam Saci (clic sur l'image)

Ils lui écrivent donc des lettres enflammées, destinées à la séduire, missives qui ne lui sont jamais remises… Furieux, ils conçoivent alors un plan de séduction massive en se rendant chacun leur tour au château de la belle dans l'espoir d'être l'élu…

Mais voilà, voilà. Isidore Tiperanole, l'odieux concierge crocodile veille au grain. Armé d'un tromblon, il court après le temps, essayant de le rattraper, de le circoncire. Personne n'y est arrivé n'est-ce pas ? Et sa faille est là. “Quand il aperçut les horloges de la gare et de l'église miniature, il fut persuadé qu'il était en face du temps ; ce temps qu'il voulait massacrer depuis si longtemps.” Qui des trois amoureux transis retiendra l'attention d'Ermelinde sans se faire dévorer par le terrible Isidore ?

Le poète semble mieux armé que ses frères contrairement aux apparences… La cruelle princesse cèdera-t-elle au charme de l'un des trois ? Je vous laisse découvrir ce joli conte pour enfants en leur expliquant malgré tout les jeux de mots, les références à Proust ou à Corneille, faciles mais pas compréhensibles par les plus jeunes. Les illustrations de Myriam Saci ne m'ont pas émue, surtout celles de la princesse Hermine, je ne l'imaginais pas aussi “contemporaine”, mais ce n'est que mon humble avis. le conte, quant à lui peut être transporté dans n'importe quelle ville afin que les petits enfants s'identifient plus facilement.
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Voici le moment de vous parlez d'un livre pas comme les autres, un conte pour petits et grands rêveurs ! Pas un conte de fée comme on a l'habitude d'en lire, mais une historiette des plus incroyables dans laquelle de curieux personnages vous embarquent dans un monde farfelu et original.
On y raconte qu'il y a fort longtemps, les animaux vivaient comme vous et moi, dans des villes dynamiques où emplois, hobbies et vies de famille faisaient partis du quotidien de tous les habitants. Mais alors que chacun d'entre eux avait une existence certes simple mais bien remplie, trois jeunes lapins aux destins insolites, souhaitaient obtenir quelque chose que nul n'osait espérer. Ils étaient pleins d'espoir quant à ce désir inavoué, seulement, aucun de ses trois illustres romanesques à l'ambition tenace n'avait une vague idée de ce qui les attendait. Même après avoir bravé tous les dangers, pouvaient-ils espérer en ressortir indemnes ?

Lien : http://www.wix.com/delphine_..
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Où l'on découvre enfin la véritable origine du nom de cette ville (ce n'est pas du tout ce que vous croyez!), au temps où les citoyens aux longues oreilles étaient gouvernés par une royauté matriarchale mustélidée dans un contexte où le mot crise ne pouvait évoquer qu'un mal de dents, tant la prospérité étalait ses signes extérieurs de richesse dans les rues et les jardins de la cité : pour les amateurs de fantastique, nous sommes à la fois dans l'utopie et l'uchronie.
Bien entendu c'est l'amour qui va semer le désordre dans notre histoire : 3 frères amoureux de la princesse, dont on pressent que la beauté cache un secret, et dont la vertu est protégée par une chimère crocodilo-gorillesque, monstre sanguinaire qui a juré de tuer ...le temps. Pour lutter contre le body guard de la princesse, nos lapins utiliseront avec plus ou moins de bonheur une arme fatale : la poésie.. Les règles sont respectées, comme dans les trois petits cochons du conte, le plus malin arrivera à ses fins, après quelques péripéties édifiantes.

C'est un conte qui s'adresse à un public très jeune, avant l'âge de la lecture autonome (certains mots nécessitant peut-être des explications : Garde des sceaux, régurgiter), et l'auteur n'a pas oublié le narrateur adulte auquel il adresse quelques clins d'oeil (Oh rage! Oh Désespoir! Que n'ai-je tant vécu...).On y retrouve les éléments classiques du conte initiatique (les épreuves, les rites de passage pour aboutir une nouvelle vie) dans un contexte traditionnel avec des allusions à notre société contemporaine.

Les dessins simples et de style naïf sont totalement en harmonie avec le ton utilisé dans l'écriture, viennent illustrer le propos en apportant une note colorée et agréable.

Je soumettrai sans tarder ce conte à l'avis de ceux qui dans mon entourage appartiennent à la population cible, pour juger de l'effet produit.

En attendant, j'ai passé un sympathique moment de lecture, et je remercie chaleureusement Pierre Thiry, l'auteur pour m'avoir proposé de découvrir son univers
ainsi pour la sympathique dédicace jointe à l'exemplaire
Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Premier surf, avant même de lire : une carte géographique pour situer précisément Montceau-les-Mines : je sais vaguement où c'est, je me doute bien que c'est loin de la mer, sinon, cela s'appellerait Montceau-les-Bains !
Je découvre donc pourquoi Montceau-les-Mines s'appelle ainsi ! Et non, ce n'est pas à cause des mines de charbon ! Et nous voici embarqués dans une histoire où les animaux sont rois (comme chez Jean de la Fontaine), où la morale est sauve (idem) et où cela se termine bien ! D'ailleurs, il y a trois lapins (comme dans le conte des trois petits cochons ?) (et non, Pierre Thiry n'a pas eu ainsi l'idée de cette histoire).

Ce qui m'a gêné... la police de caractère monstrueuse (je ne suis pas si vieille !). Mais cela a plu, au contraire pour Grand Ange (utile dans son cas) (de même : les noms des personnages... trop longs pour Grand Ange et plus encore pour Petit Ange qui n'arrivait pas à les déchiffrer tout seul). Et les dessins : trop enfantins et trop colorés. J'aurai préféré des dessins plus "aquarelle". Grand Ange (presque 8 ans) a cru que c'était un enfant qui les avait dessiné, il les a trouvés " jolis ". Cependant, il a fallu montrer des images d'hermine aux Anges (Petit Ange, un peu plus de 5 ans et demi) qui avaient du mal à visualiser ledit animal.

Grand Ange a aimé cette histoire jolie. Les lapins vivent des plein d'aventures. Les poèmes de Justin le lapin sont rigolos. Plus que la poésie [de Robert Desnos] que je suis en train d'apprendre.

Il y a aussi dans cette histoire des clins d'oeil pour les parents : le journal local qui s'appelle "le coup du lapin", Isidore Tiperanole court après le temps (comme le lièvre de mars d'Alice) et Marcel Pétarademps le retrouve (le temps)...

Un livre court qui plaît (et qu'on peut relire tous les soirs..........!!!!!) aux Anges !

Lien : http://loiseaulyre.canalblog..
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Ayant lu et ayant beaucoup apprécié Ramsès au pays des points-virgules il y a quelques mois (il voyage actuellement aux quatre coins de la France), Pierre Thiry m'a proposé son deuxième ouvrage édité, Isidore Tiperanole et les trois lapins de Montceau-les-Mines, et je l'en remercie.
J'ai choisi ce petit titre pour démarrer le Read-A-Thon de samedi dernier et je ne regrette pas, c'était une très bonne façon de se mettre en jambes… 66 petites pages qui ont égayé ma journée !

Derrière ce titre à rallonge - format qui semble séduire l'auteur et qui ne manque pas d'attirer l'attention des lecteurs - se cache un petit conte illustré pour enfants. Un crocodile, des hermines, des lapins parlants ; voilà les héros de l'histoire.
Le public visé est effectivement plus jeune que celui de Ramsès (de 10 à 110 ans, rappelez-vous), les références à d'autres oeuvres littéraires un peu moins présentes dans celui-ci, mais j'ai trouvé l'ensemble plus « abouti », moins « brouillon ». C'est un point qui avait été soulevé par plusieurs lecteurs de Ramsès et, bien que cet aspect ne m'avait pas personnellement gêné lors de ma lecture, je reconnais qu'il est présent ; ce qui n'est pas le cas dans Isidore Tiperanole. Les éléments fantasques ne sont pas pour autant absents de ce conte, bien au contraire, mais sont plus « cadrés ».
Pierre Thiry nous prouve une nouvelle fois son amour des mots et des jeux avec ceux-ci, notamment avec le personnage de Justin, le lapin poète qui nous offre quelques-unes de ses compositions - et place même une petite référence à Marcel Proust au passage (« Mon ami l'écrivain Marcel Pétarademps A retrouvé ce temps perdu, ce fameux temps… p. 49). On découvre également l'explication amusante du toponyme « Montceau-les-Mines » ainsi que les coutumières phrases moralisantes habituellement annoncées dans les contes et les fables (ici sur le Temps, par exemple).

Je regrettais le trop petit nombre d'illustrations dans Ramsès, je félicite l'auteur d'avoir fait appel à une jeune illustratrice - lyonnaise, qui plus est ! - pour Isidore Tiperanole. J'ai cru comprendre que certains lecteurs auraient aimé un livre encore plus illustré - pour les jeunes enfants - et je rejoins cette idée. Cela dit, les quelques dessins déjà présents sont en nombre tout à fait convenable.
Je félicite Myriam Saci pour ceux-ci. J'ai particulièrement apprécié les illustrations des lapins (Arthur par exemple), en revanche, un peu moins celles des personnages « en contexte » (avec un décor, paysage, derrière eux).
A noter quelques petites coquilles au niveau de la typographie (et parfois au niveau de l'orthographe, mais c'est très rare), mais on pardonne facilement à un livre auto-édité !

Cette petite histoire possède juste ce qu'il faut de farfelu pour parler aux enfants et aux grands rêveurs, quelques références littéraires qui amuseront les plus grands et cet amour de la langue dont Pierre Thiry avait déjà fait preuve dans Ramsès au pays des points-virgules. Un nouveau pari réussi !
J'en profite pour remercier une nouvelle fois l'auteur pour sa gentillesse et sa prévenance.
Lien : http://bazar-de-la-litteratu..
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Un livre pour enfant ? Lorsque Pierre Thiry, l'auteur de ce petit livre de 68 pages m'a envoyé un mail pour me proposer ce service presse, je me suis dit que ce serait l'occasion de lire un roman pour jeunes enfants.

Comme d'habitude, un petit mot de l'aspect physique du livre. J'ai beaucoup aimé la couverture toute douce et de bonne qualité ; de même que les pages à l'intérieur qui sont épaisses et parfaites pour être entre les mains d'enfants. Ensuite, l'illustration de couverture m'a tout de suite plu. L'illustratrice se nomme Myriam Saci et vous pouvez la retrouver sur son blog Mya, c'est moi !.
L'écriture est logiquement grosse avec une police facile à lire.

Le fond de l'histoire est plutôt sympathique : il s'agit d'un conte mettant en scène des animaux (lapins et hermines) et une histoire de princesse et d'amoureux. Des thèmes qui plaisent sans contexte aux jeunes enfants. D'après ce que j'ai retenu de la moralité, s'il doit en avoir une, c'est que les mots (ici sous forme de poésie) sont vecteurs d'apaisement, font mieux passer les idées et les sentiments par rapport aux gestes ou aux attentions matérielles. Je trouve ça évidemment super de vouloir enseigner cela aux enfants ! Parfois des mots ou des tournures de phrases pourront être un peu compliqués à comprendre pour des enfants. Ceci dit, je pense encore que la meilleure façon de le savoir est encore d'en proposer la lecture à des blogueurs étant eux-mêmes parents et pouvant faire lire de petit conte à leurs bambins ! Quant à moi je pense envoyer le livre à mes neveux pour leur demander ce qu'ils en pensent !

Un petit bémol : à part l'illustration de couverture que je trouve vraiment belle, j'ai été globalement déçue par celles présentes dans l'ouvrage... Un enfant aimera certainement, mais ici, c'est l'adulte qui critique et je ne suis pas emballée du tout par ces dessins malheureusement.

Quoiqu'il en soit, je peux dire que ce fut une lecture agréable et dont j'aimerais savoir ce qu'en pensent des enfants !
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