Un livre qui pèche par ce qu'il prêche : un trop plein de surréalisme et d'avant-garde, à l'image peut-être de son traducteur qui revendique le choix des poèmes dans une préface très intéressante néanmoins.
Je l'ai lu sans déplaisir, et même avec une certaine joie, car j'aime Leonid Dimov,
Nichita Stanescu,
Ana Blandiana et
Mircea Dinescu. Mais j'ai été assez déçue par le long poème de
Mircea Cartarescu par exemple. La belle surprise vient de la présence de Dan Laurențiu dont je n'avais pas encore, je crois, lu de traduction en français.
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