Astérix, tome 30 : La Galère d'Obélix

Très peu amatrice de BD, j'ai lu celle-ci pour le défi A/B/C. Je ne peux donc comparer avec les autres tomes.
En ce qui me concerne, j'ai passé un bon moment.
Les personnages sont toujours aussi sympathiques, les gags font sourire et les romains sont encore dépassés.
Les dessins sont chouettes et voir Obélix en petit garçon est cocasse.
Et surtout maintenant, nous savons ce qui se passe lorsque Obélix boit de la potion magique.

Goscinnyrix et Uderzorix étaient suffisamment amis pour qu'Albert Uderzo poursuive leur oeuvre commune après la mort de Goscinny, souvent avec brio.
Il est l'auteur du texte et des dessins de cet album des aventures d'Astérix "La galère d'Obélix" publié en 1996, que j'ai bien aimé notamment parce qu'il a été écrit en hommage au grand acteur Kirk Douglas. Ce dernier prend les traits de Spartakis le grec qui a volé la galère personnelle de Jules César avec un groupe d'esclaves parce qu'ils veulent être libres.
Ils vont naviguer jusqu'en Armorique pour tenter de se faire oublier.
Pendant ce temps au village gaulois, Obélix va désobéir en avalant un chaudron de potion magique alors et que le druide Panoramix lui a interdit parce qu'il est tombé dedans quand il était petit et que les effets sont devenus permanents chez lui. Et voilà, il va donc se retrouver tout petit. L'enfant qu'il semble être va être kidnappé par les Romains pour en faire une monnaie d'échange afin que César récupère sa galère.
Spartakis va accompagner les Gaulois pour le sauver et tout ce petit monde va se retrouver en galère jusqu'à la cité légendaire d'Atlantide. D'ailleurs, ils sont fous ces atlantes avec leur élixir de jouvence.
Ce que j'ai bien aimé c'est qu'Obélix n'a pas du tout envie de rester enfant et que les Atlantes ne vont lui être d'aucun secours. C'est son amitié pour Astérix qui va le sauver et ça c'est une belle histoire.
Et puis cela m'a donné envie de revoir Spartacus, le film réalisé par Stanley Kubrick en 1960 adapté du roman de Howard Fast inspiré par la vie du chef d'une révolte d'esclaves dans l'Antiquité. du grand art cinématographique.


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Dans cet opus, Astérix a fort à faire avec un Obélix toujours plus désireux de boire la potion magique du druide Panoramix. Ce sera chose faite puisque le tailleur de menhirs va d'abord devenir une statue avant de retrouver sa forme normale....mais avec quelques années de moins. Obélix redevient un enfant pleurnichard... par moments je plaignais Astérix...Cet album reste à lire, mais sans plus.

Un album réalisé par le seul Uderzo et pour moi meilleur que son premier dans cet exercice.
Point central, nous découvrons les effets d'une nouvelle rasade de potion magique sur Obelix. En effet ce dernier n'a pu résister à en avaler tout un chaudron! Il faut ce qu'il faut pour lui, n'est-il pas?

Les critiques sont assez moyennes…. pour certains le côté brouillon de l'album en serait la cause…
Certes nous partons en mer et allons jusqu'à débarquer sur l'île de l'Atlantide. Certes les histoires de galères qui ne font que couler sont un peu fades, mais le rythme est là.
Le trio Astérix, Obélix et Panoramix fonctionne bien et le client d'oeil à K Douglas dans Spartacis est sympathique.

Un moment plaisant, même si l'humour n'est pas vraiment au rdv.

La potion magique aura alimenté quelques histoires !
Ce tome est cette fois, le croisement de plusieurs histoires :
- La galère De César volée,
- Obélix, désobéissant aux injonctions du druide, boit une marmite de potion. D'abord transformé en granit, il retrouve ensuite sa taille d'enfant.
....sympa à lire !

Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas lu une BD, alors je suis allée fouiller la bibliothèque commune de mes parents, à la recherche d'un Astérix. Face à trois choix, j'ai choisis celui-là car lorsque j'étais plus jeune c'était celui que j'appréciais le moins des trois, et j'aime redonner leur chance aux livres.
Je me suis plongée dedans le soir même, dans le calme de la nuit.
J'y ai retrouvé ce que j'aimais tant dans les BD lorsque j'étais jeune, je me suis sentie rajeunir d'un coup, comme un bond dans le temps, me souvenant de ce que j'étais à l'époque. Et ça fait du bien, surtout en ces temps troublée.
En tout cas, je ne change pas d'avis, des trois tomes c'est celui que j'aime le moins.
Mais il m'a fait plaisir, il m'a fait sourire, j'ai peut-être même un peu rit en le relisant. Les dessins sont vraiment agréables à regarder, les détails sont intéressants.
Les blagues ne sont pas exceptionnelles (ce qui explique sans doute pourquoi il est si peu aimé même des fans de la série), l'histoire est un peu cafouilleuse mais reste intéressante.
Je ne me souvenais absolument pas de ce qui arrivait à Obélix lorsqu'il buvait de la potion magique et ça m'a surprise de m'en rendre compte.
Astérix est une série amusante, et j'ai quelques souvenirs agréables de mon enfance liés à lui, alors j'ai aimé le redécouvrir.
Ce tome n'est pas le meilleur mais reste très correct.

On pourrait appeler cet album « enfin ! », enfin, on va savoir ce qu'il se passe si Obélix buvait de nouveau de la potion magique.
La première partie de l'album est plutôt réussie : petit hommage à Kirk Douglas, des péripéties, du suspense... le récit est donc plutôt bien amené et intéressant.
La seconde partie est par contre décevante. J'ai trouvé un peu facile de faire appel à la magie et au mythe de l'Atlantide, qui n'apporte d'ailleurs rien du tout à l'histoire à part se débarrasser des esclaves libérés. Quant à l'Amiral, ce qui lui arrive n'est pas du tout logique.
C'est dommage, car ce qui plombe (un tout petit peu) l'album, ce sont des parties du récit qui auraient pu très bien être retirés au profit de quelques scènes supplémentaires humoristiques.
Un bon album donc mais qui aurait pu être une vraie réussite avec un peu plus d'application des auteurs.

Un album dont je ne me souvenais absolument pas et qui m'a bien fait rire ! 

Un album où on découvre (enfin) ce qui arrive à Obélix lorsqu'il boit de la potion magique ... 

Un album où Kirk Douglas fait une entrée remarquée, dans le rôle de Spartakis, un grec ...

Un album qui verra nos amis voguer en haute mer ... 

Un album où même des Romains vont goûter à la potion magique ... 
Lien : http://les.lectures.de.bill...

Obélix a désobéi à Panoramix et a bu un chaudron de potion magique ! Il s'est d'abord statufié puis après lui avoir administré un remède, a rajeuni. Et voilà notre Gaulois préféré en culotte courte. Un album distrayant. Petit anecdote, on découvre Spartakis, caricature de Kirk Douglas.

Cet album fait partie de ceux écrits après la mort de Goscinny et donc avec Uderzo au scénario en plus du dessin.

Si les albums où Uderzo est au scénario sont souvent critiqué (parfois à raison), pour La Galère d'Obélix, même s'il n'est pas le meilleur album de la franchise, j'ai trouvé que cela marchais plutôt bien.

Si en fond nous avons une parodie du personnage de Spartacus qui fait plaisir à voir, et qu'au début de l'album nous pourrions croire qu'il va en être un des personnages centraux, il n'en est rien. le véritable personnage principal de l'album est comme le titre l'indique... Obélix.

Après que ce dernier ai bu une marmite pleine de potion magique malgré les contres indications de Panoramix, Obélix va passer par plusieurs états que ses amis vont tout faire pour contrer.

En bref, un album qui n'est pas le meilleur mais qui reste sympa à lire.