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Naoki Urasawa est l'un des mangakas les plus connus dans le monde ! Il revient en force avec cette oeuvre " le signe des rêves : tome 1 " parue en France en août 2018, avec les éditions Futuropolis et en collaboration avec le musée du Louvre.

Takashi Kamoda est entrepreneur dans une petite entreprise de fabrication de sandales au Japon. Voulant impressionner sa femme en lui offrant une croisière à bord d'un paquebot de luxe, naïvement, il prend une décision qui sera lourde de conséquences...
" Je vais faire une fausse déclaration d'impôts. "
Bien entendu, le fisc lui tombe dessus, et il se voit placer sous séquestre pour fraude fiscale. Croulant sous les dettes, sa femme le quitte.
" La femme de l'atelier de sandales a fugué avec le mari du pressing ? "
Il se retrouve seul, avec sa fille. Particulièrement crédule, il croit dénicher l'affaire du siècle à chaque coin de rue. Mais lorsqu'il se rend à l'évidence, Takashi capitule. le récit de sa déchéance est sombre. Kasumi, sa fille, d'une maturité exemplaire, le ramène à la raison et l'empêche de prendre les mauvaises décisions.
" Tu as eu trop d'ennuis accumulés, et tu ne sais plus quoi faire ! "
C'est alors qu'il tombe sur un étrange signe... " le signe des rêves " !
Au détour d'une ruelle tokyoïte, ce drôle de duo se retrouve devant un immeuble délabré dont la devanture est porteuse du même signe. Intrigués, Takashi et Kasumi pénètre dans les lieux. Lorsque soudain, un personnage complètement déjanté et pittoresque se présente comme le directeur de l'institut français !
Prétendant avoir influencé François Mitterrand, il prétend également avoir visité le musée du Louvre à de nombreuses reprises, même les parties interdites au public ! Si son père boit les paroles de cet illustre personnage, Kasumi quant à elle démonte une par une les allégations du directeur.
" Kasumi ! Arrête de toujours pointer des faiblesses ! Ma parole, cette petite a tous les défauts de sa mère ! "
Pour sortir Takashi et sa fille de leur situation délicate, il va leur proposer un étrange marché, qui les conduira à Paris...
" Si je le laisse faire, papa va devenir un voleur..."
L'intrigue se dessine peu à peu, éclairant le lecteur dans le lien qui unit le Japon à la France, le musée du Louvre à Paris.
" le Louvre pardi ! Voilà bien là l'endroit dont j'ai toujours rêvé ! "

Le ton de ce manga est si décalé qu'il prête franchement à sourire. le personnage du directeur de l'institut est hilarant !  À son costume , ses tics de langage et sa dentition grotesque et proéminente, les lecteurs  auront immédiatement reconnu Iyam, personnage populaire de la bande dessinée au Japon.
J'ai adoré les déambulations dans le muée du Louvre ! L'auteur use et abuse des clichés propres à la France. L'auteur a cette particularité d'user d'un humour mordant !
Le choix d'utiliser quasi exclusivement le noir et blanc met en perspective la précision du trait et l'expressivité des personnages. Je suis impatiente de retrouver ces personnages dans le Tome 2 ....
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Voilà un Urasawa que je n'avais jamais lu de par son format.. peu pratique dans le sac en transports en commun =) Mais ça n'allait pas me restreindre lire cette encensement de la vie culturelle parisienne. En effet, on le sent que c'est une commande du Louvre et de Futuropolis. Notre auteur fétiche essaie d'apporter sa touche avec des personnages haut en couleur avec ce japonais maladroit qui rêve de gloire et d'argent et sa petite fille futé. Ils vont être malheureusement embarqués dans des déboires induits par Papa et se retrouver à Paris avec un projet fou à cause de "l'élégant Dents décalés". Une petite dose d'humour, des personnages atypiques et surtout, des graphismes magnifiques de Paris. Et oui, on fait bien briller notre belle ville lumière avec sa pyramide !
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Un peu déroutée par ce premier tome. Un japonais perd son usine pour fraude fiscale et sa femme le quitte. Un oiseau l'emmènera, ainsi que sa fille, vers un trafiquant de tableaux. Personnage un peu énervant qui ne peut faire une phrase sans dire ‘sans façon'. C'est une éloge à Paris, à ses monuments et surtout au Louvre. L'avion les emporte à Paris. Les dessins sont beaux surtout ceux des tableaux et des paysages et la gamine craquante. Vite vers le second tome pour me faire une vraie opinion.
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*Cette critique concerne les deux tomes*

Vous le savez peut-être (ou peut-être pas), mais le Louvre et Futuropolis ont créé une collection de bandes-dessinées se déroulant dans le musée en question, et signées d'auteurs prestigieux, parmi lesquels quelques mangakas. Nous comptons notamment Les Gardiens du Louvre de Jiro Taniguchi, Rohan au Louvre de Hirohiko Araki, Les Chats du Louvre de Taiyo Matsumoto, et le Signe des rêves de Naoki Urasawa qui nous intéresse ici. le but est que chaque auteur s'approprie le musée et écrive une histoire qui correspond à son style. de ce point de vue, il ne s'agit pas exactement de travaux de commande car il y a une liberté totale de ton, permettant à la collection d'être très éclectique (d'autant plus que plusieurs nationalités sont représentées). Concernant le Signe des rêves, Urasawa a pu visiter le Louvre de fond en comble pendant une semaine en 2017 afin d'accoucher de cette histoire, qui a été publiée en deux volumes luxueux en 2018 en France (et pré-publiée dans un magazine au Japon). Mais c'est en ce mois de juin qu'une édition en format manga a vu le jour, permettant de découvrir l'oeuvre à un tarif plus attractif de 15 euros (contre 20 euros pour chacun des deux volumes de l'édition originale). C'est d'ailleurs de cette édition que je vais vous parler, qui malgré son bas prix est très réussie, un peu plus grande qu'un manga classique pour un total de 272 pages.

Contrairement à ce que le résumé et la nature du projet peuvent laisser penser, on passera finalement assez peu de temps dans le musée, ce qui n'est vraiment pas un soucis en soi. le coeur du récit étant clairement dans le personnage de Iyami, mystérieux et séduisant malgré sa dentition étrange. La postface du manga explique que le personnage d'Iyami est important dans la culture japonaise en général, et j'avoue que je ne le connaissais pas du tout. Je vous recommanderai de lire le petit texte qu'on trouve en fin d'ouvrage après lecture de l'histoire car il est très intéressant, et éclaire tout en épaississant à la fois le mystère autour du personnage. En effet, si Iyami profite de la détresse de Takashi et sa fille pour les embarquer dans une histoire rocambolesque autour de la Dentellière, nous ne serons jamais vraiment certains des motivations autour de son opération. de même, le personnage est du début à la fin du manga très mystérieux, tout comme le fameux Signe des rêves qui donne son titre à l'histoire. Et c'est justement ça qui m'a beaucoup plu.

L'histoire tourne autour d'une sorte de casse savamment préparé par Iyami, mais il semblerait que celui-ci ne soit qu'un trompe l'oeil, tout comme un autre élément thématique et scénaristique du manga : la charge politique contre Donald Trump. Très tôt dans l'histoire, on nous parle d'une personnalité politique qui a remporté la présidence des États-Unis dont la ressemblance avec Trump est frappante, quand bien même elle est une femme. Cette ressemblance est accentuée par l'évocation du désir de la présidente d'ériger un grand mur pour séparer les États-Unis du Mexique. Urasawa reviendra plusieurs fois sur cet élément, qui donne au récit une teneur politique évidente, et assez peu subtile finalement. Mais je pense que c'est volontaire de la part de l'auteur car comme je l'ai dit, elle me semble être présente ici pour masquer quelque chose de bien plus fin. Je n'en dirai pas davantage pour ne pas dévoiler l'implication de cet élément dans l'intrigue globale cependant.

Pour en revenir au coeur de l'histoire, c'est-à-dire le personnage d'Iyami et le Signe des rêves, ils sont des éléments comme je l'ai dit très mystérieux, et la fin du récit ne nous donne pas un éclairage réel sur leur véritable nature. Ou plutôt, on nous donne plusieurs pistes d'interprétations possibles. Et c'est selon moi la qualité majeure de ce récit. Dans la postface, Urasawa explique qu'il trouve le qualificatif de neuvième art pour la BD à la fois flatteur et un peu triste, dans le sens où toutes les formes d'expression artistiques se valent selon lui (ce avec quoi je suis tout à fait d'accord par ailleurs). Cet élément a contribué à éclairer mon interprétation de l'oeuvre, qui semble dresser un parallèle entre Iyami/le Signe des rêves et le manga que l'on tient en main (ainsi que plus généralement, les oeuvres que l'on est amené à contempler, quelles qu'elles soient). En tout cas, c'est ainsi que j'ai interprété cette histoire : chaque oeuvre dit finalement ce que l'on souhaite y voir, même s'il peut y avoir des signes qui orientent notre vision des choses. Ainsi, Takashi, la petite Kasumi, Iyami, mais également Michel (un pompier parisien très important dans l'histoire) voient une chose différente dans le Signe des rêves, mais cette chose reste toujours fondamentale pour chacun d'entre eux. Et cet élément qui est selon moi le coeur du récit se trouve rattrapé par l'aspect politique avec la représentation iconographique de Trump, qui est à la fois un élément central de l'histoire, une représentation politique en trompe l'oeil et la mise en abîme de cette représentation. Dit comme ça, c'est peut-être très nébuleux, mais retenez simplement qu'Urasawa parle avec une grande intelligence de l'aspect symbolique des oeuvres et donne à cet aspect symbolique un rôle central à son histoire. Et faire tout cela en seulement 272 pages relève pour moi du tour de force pur et simple, mais je mentirai si je disais que je suis étonné de voir quelque chose d'aussi brillant de la part de l'auteur de Monster et Pluto.

En résumé, sous des airs de projet de commande dont le cadre pourrait brider la créativité et le talent de l'auteur, le Signe des rêves se révèle au contraire être une oeuvre d'une intelligence folle, réussissant à mêler harmonieusement différents niveaux de récits à un propos pointu sur l'art et l'interprétation des oeuvres, tout en intégrant son propos à l'intrigue même. SI l'on ajoute à ça la virtuosité caractéristique de Naoki Urasawa en terme de dessin et de caractérisation des personnages, on se retrouve au final face à une petite pépite qui dépasse largement le cadre du simple exercice de style pour toucher à la grâce pure. Je m'attendais à une curiosité en lisant ce manga, j'en ressors avec un petit chef d'oeuvre qui rend totalement honneur au Louvre, lieu qui par essence accueille les chefs d'oeuvres.
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Une fois n'est pas coutume, je vais vous parler d'un manga. Je ne pense pas l'avoir déjà fait ici mais il n'empêche que je suis tout de même amatrice du genre.

Si ce premier article est dédié à Naoki Urasawa, c'est que ce mangaka fait partie de mes préférés. Auteur, notamment, de Monster ou de 20th Century Boy, des bijoux selon moi.

Le signe des rêves, sorti aux Editions Louvre (ça claque faut avouer), commence au Japon pour partir en Frââânce, au cœur de Paris, dans le milieu de l'art et plus précisément, au Louvre, oui oui !
Dans ce premier volume, il s'agit certainement d'une présentation et d'une mise en place de l'action prochaine, et comme d'habitude, je succombe et me laisse emporter... Naoki Urasawa m'a à chaque fois...

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A ma grande honte, je n'ai découvert le travail de Naoki Urasawa qu'en début d'année, durant l'exposition qui lui était consacrée au Festival de la BD d'Angoulême. Par la suite, j'ai lu Monster et bien que je n'ai pas encore terminé la série à ce jour, cela reste un gros coup de coeur. du coup, je n'ai pas hésité une seconde en voyant cette nouveauté.
Cette bande dessinée fait partie de la collection "Musée du Louvre" pour laquelle seize auteurs dont quatre mangakas ont déjà participés (notamment Taniguchi qui a écrit Les Gardiens du Louvre).

Le dessin de Naoki Urasawa est toujours parfait : de beaux décors, des personnages très expressifs et de splendides reproductions de personnalités et d'oeuvres réelles (j'ai été impressionnée de voir François Mittérand dans ces planches). A travers le récit des personnages, nous partons à la découverte de Paris et du Louvre; et vue le nombre de détails et leur exactitude, l'auteur a dû parcourir les lieux plus d'une fois. On sent à la lecture de cet ouvrage qu'il a été créé par un grand amateur d'art.

Il se passe peu de choses dans ce premier tome car Urasawa prend tout son temps pour installer le décor et l'ambiance. Malgré cela, je ne me suis pas ennuyée le moins du monde. Je pense qu'on retrouvera toute la tension et l'intensité qui composent systématiquement les histoires de Naoki Urasawa dès le prochain tome. Celui-ci est en tout cas une belle mise en bouche.
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Naoki Urasawa est un auteur que j'apprécie particulièrement. Si je n'ai pour le moment pas encore lu toute son oeuvre (ça viendra...), le mangaka arrive à me captiver quelque soit le sujet qu'il aborde et je trouve son trait tout simplement magnifique.

Ici, nous allons suivre une jeune fille et son père que la cruauté de la vie n'a pas épargné et qui vont se retrouver dans un sale coup pour essayer de sortir la tête de l'eau. Leur aventure les mènera en France, et plus particulièrement au musée du Louvres, ce qui fait toujours plaisir pour un public français.
Série courte en deux volumes, ce n'est pas la meilleure oeuvre de l'auteur, mais on passe un agréable moment et si vous aimez Urasawa je ne peux que vous conseiller cette lecture.
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Une bande dessinée bien étrange on y découvre d'abord une famille en crise : un père qui fait de mauvais choix, un couple qui bat de l'aile, une petite fille bien perspicace ! Mais quand père et fille font la connaissance d'un bien étrange personnage leur vie pourrait bien basculer !
S'il ne devait rester que 2 mots : étonnant, original !
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En bonne fan de Naoki Urasawa, je reviens vous parler de sa dernière oeuvre en date parue en France en collaboration avec le musée du Louvre : Mujirushi : le signe des rêves. Dans la lignée de ce qu'on fait d'autres de ses confrères (Jirô Taniguchi , Hirohiko Araki, Taiyou Matsumoto), Naoki Urasawa signe un titre qui lui ressemble et qui en même temps est avant tout là pour faire l'apologie d'un lieu emblématique de notre pays : le musée du Louvre, et ça se ressent…

En effet, nous ne sommes pas en présence d'un titre majeur du mangaka mais plutôt d'un exercice de style où il cherche comment mêler les thèmes qu'il aime tant à l'exigence de ce projet de commande. On se retrouve ainsi avec un titre un peu bâtard où l'on a bien le style Urasawa mais en version ultra rapide, concise et superficielle, le tout dans un cadre rempli de clichés sur la France, Paris et le Louvre encore une fois.

Si je comprends le dernier point car il est question de donner envie au potentiel touriste japonais, je suis un peu plus déçue par le premier. Urasawa ne fait preuve d'aucune originalité. Il fait ce qu'il sait faire, certes il le fait bien, mais on est en droit d'attendre un peu plus. Les dessins et la narration sont soignés, normal pour un auteur avec une telle carrière, mais l'histoire est bateau et bien trop facile.

Nous suivons une nouvelle fois une enfant dont le père l'amène d'une galère à une autre à cause des mauvais choix qu'il fait. Vous avez une impression de déjà-vu ? Allez relire Happy ! ^^ En effet, Naoki Urasawa recycle la figure du père peu fiable voire carrément looser et magouilleur, pour le confronter au regard perspicace d'une fillette bien trop mature pour son âge. Si le duo fonctionne au final assez bien, il n'a rien d'original et on en vient très vite à plaindre cette pauvre gamine balloté des conséquences d'une mauvaise idée à l'autre.

Ce duo-père fille va vivre des aventures on ne peut plus rocambolesques complètement surréalistes, mais en soi ça ne m'a pas gênée, c'est aussi ce qui fait le sel des dernières séries de l'auteur. Au contraire, j'ai trouvé original dans un manga de voir des héros en passe de réaliser une belle escroquerie, ça change. La seule chose qui me dérange, c'est que vu le principe de l'oeuvre, il est impossible pour le mangaka de vraiment développer son oeuvre et son propos et qu'on s'en tient ainsi à des lieux communs et une intrigue développée beaucoup trop rapidement pour être creusée. Il manque clairement des pages pour un auteur comme Urasawa qui aime s'étaler sur des tomes et des tomes. On ne retient ainsi qu'une impression de vacuité et de facilité excessive, dommage.

Dernier point noir que je ne peux pas m'empêcher de soulever, c'est la mauvaise idée d'utiliser un personnage humoristique créé par le dessinateur d'humour Akatsuka Fujio dans les années 1960. Il est juste insupportable par ses tics de langage qui ont vraiment pourri ma lecture sur un bon tiers du tome, au point que j'essayais de les sauter sans y parvenir… Horrible !

Bilan, le signe des rêves est bel et bien une oeuvre de commande où Urasawa ne se foule pas trop. Il réutilise ce qu'il sait faire vite fait bien fait sans apporter ce qui pourrait en faire une oeuvre originale à retenir. On a donc un titre bien fait mais sans âme pour le moment. Dommage vu le prix et la qualité de l'objet livre, dont au passage j'ai fait le choix d'acquérir la première édition et non le coffret regroupant les 2 tomes qui doit sortir après car celui-ci est honteusement cher au vu du contenu…
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Un nouvel Naoki Urasawa pour ma collection !
Ouvrage créé dans le cadre d'une série de BD ayant pour thème le musée du Louvre, Naoki Urasawa, fidèle à lui-même, a ressuscité un héros de son enfance dans une histoire contemporaine.

Nous découvrons ainsi Takeshi, un type un peu paumé, et sa petite fille, Kasumi, plus futée que lui. Takeshi croit voir partout un signe qui rappelle le drapeau français (ou une sacrée dentition). Son atelier a fait faillite, sa femme vient de l'abandonner, Takeshi est perdu et n'a plus qu'à suivre ledit signe jusqu'à une étrange maison, un "centre français" avec un drôle de type francophile, un poil mythomane, qui va lui faire une étonnante demande. Takeshi et Kasumi partiront pour Paris, direction le musée du Louvre pour tenter de remplacer un tableau.
On retrouve le style de Naoki Urasawa : ses trames emberlificotées, ses hommages aux héros de son enfance, ici Iyami de Osomatsu-kun, des héros attachants et badass comme Kasumi, la fillette ou Michel, le pompier. C'était un réel plaisir ! Les dessins sont superbes et la reconstitution du Louvre parfaite. A découvrir si vous êtes un inconditionnel de Urasawa. Mais, il faut noter qu'il est largement en dessous de Monster, 21st Century Boys, Billy Bat, Pluto, ses chefs d'oeuvre.
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