LE MÉTIER DE MOURIR de
Jean-René van der Plaetsen
Malgré ma bonne volonté, j'ai dû interrompre cette lecture qui me donnait le sentiment d'éplucher des curriculum vitæ : il a fait ceci, il est allé là, ses études, ses motivations... et une écriture prometteuse mais décevante :
« C'était une très étrange impression qu'il éprouvait alors : celle d'être aussi fragile et chétif qu'un nouveau-né [...] » p84
« Comment une si jolie femme pouvait-elle exposer sa beauté ainsi ? » p88