J'aime beaucoup cet album car l'auteur cherche à procurer des émotions, à témoigner de la vie malheureuse des Juifs ; tués lors des génocides. Sur les dessins, nous ne voyons jamais les visages des personnes, de la population, des Juifs et des soldats. Les illustrations sont de couleurs sombres, tristes, on ressent un air anéanti mais surtout la mort.
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Erika n'était qu'un bébé lorsque sa mère, pour la sauver d'une mort certaine, l'a jetée du train à bestiaux qui les conduisaient en déportation en 1944.
Un album présenté comme un témoignage réel, recueilli par hasard par l'auteur cinquante ans plus tard.
Les dessins sont hyper réalistes, en nuances de sépia, hormis la couverture rose du bébé et hormis deux illustrations en couleur au début et à la fin. le train est présent sur presque toutes les pages, lourd, massif, hermétiquement clos, inquiétant.
Une histoire touchante qui montre que la vie perdure malgré les horreurs de l'Histoire. J'ai bien aimé le choix d'aborder la déportation sous cet angle, avec pudeur, simplicité et émotion.
Un album qui permet une première approche mais qui appelle bien sûr de nombreuses questions et approfondissements.
Pour les 9-12 ans
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On peut penser que cet album est encore une histoire sur l'holocauste et la guerre, certes mais pas seulement malgré la brutalité de certains mots et l'atrocité des faits c'est l'album de l'espoir.
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Un bel album à la fois tragique et plein d'espoir. Alors qu'elle est toute petite, Erika est condamnée par la barbarie nazie. Depuis le train de la mort, elle est pourtant sauvée par ses propres parents qui accomplissent un acte héroïque et de résistance. La personne qu'Erika est devenue en tant qu'adulte se questionne sur sa propre histoire et sur cette petite étoile survivante alors que des millions sont tombées. Ces étoiles sont justement au coeur de l'album : elles représentent à la fois la religion juive, le discrimination et la persécution mais également la poésie et l'espoir. Cet espoir est justement porté également par les couleurs : on passe du noir et blanc à la couleur comme si le monde avait quitté la grisaille et retrouvé de la douceur... les nuages gris restent cependant menaçants...
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J'ai trouvé cette histoire touchante et poignante. Erika essaie de s'imaginer l'histoire de ses parents, de ces horribles événements qui sont survenus pendant la seconde guerre mondiale et ses mots employés sont tellement.... puissants. L'histoire est bien racontée, on est vite emporté par l'histoire que nous conte Erika.
Son histoire est triste, car elle se retrouve orpheline et je n' ose imaginer la douleur qu'elle a dû subir pour se construire par la suite, sans sa famille, la douleur à dû être indescriptible. Et pourtant, ce livre est aussi une ode à l'amour car le geste de sa mère, lui a permis de vivre, de la sauver...
Ce livre est bouleversant. Il est beau dans sa forme que dans son fond.
Je trouve cependant dommage que les illustrations ne soient pas plus nombreuses, tout comme le texte. Erika à plus de 70ans, j'aurai aimé avoir plus de détails sur sa vie. Cela dit, c'est une belle fin, qui nous montre qu'elle a tout de même réussi à continuer de vivre en ayant eu de beaux enfants et un mari '' merveilleux''.
Je pense que c'est un bon livre pour abordé la seconde guerre mondiale et ses horreurs, aux enfants.
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Une histoire très poignante, servie par de magnifiques dessins.
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Un texte court mais efficace et de beaux dessins au fort impact émotionnel.
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