Marcel Vigier... Florac... La Glu... encore plus concis pour cette chronique puisque j'ai déjà tout dis sur les précédentes enquête de Florac & La Glu.
La pierre qui bouge est donc une nouvelle enquête de Florac & La Glu. Bon, nouvelle est une façon de parler puisque celle-ci date de 1935.
On y retrouve donc... vous avez trouvé ? Oui, Florac et La Glu.
On reprend donc les mêmes et on recommence. La tête et les jambes, la finesse et la rudesse, Florac et La Glu, sont conviés au pavillon des Volrand qui, chaque nuit, sont réveillés par des bruits étranges dont ils ne parviennent pas à définir la source. Et pourtant, ils ont cherchés partout, les bougres, le couple de propriétaires aussi bien que le couple de jardiniers. Ils ont fouillés les caves, le jardin, les pièces... sans jamais rien découvrir.
Dès le premier soir, Florac, à l'intérieur et La Glu, à l'extérieur, sont témoins de cet étrange vacarme. Alors que Florac inspecte les sols et sous-sols, collant son oreille par terre afin de déceler la provenance du vacarme, La Glu, lui, fouille les extérieurs et surveille les voisins dans la demeure desquels il aperçoit quelque chose d'étrange, lui laissant espérer avoir, pour une fois, une longueur d'avance sur son chef.
Chacun tentera donc de résoudre le problème, de son côté, à partir de ses propres connaissances et grâce à ses propres capacités et, pour une fois, Florac aura besoin de la Glu pour autre chose qu'un apport physique.
Une nouvelle fois le plaisir est présent grâce, notamment, à la touche d'humour apportée par La Glu.
Certes, l'intrigue n'est pas de haute voltige, mais bien ancrée dans l'époque où elle a été écrite et compensée par des personnages hauts en couleurs.
Au final, les enquêtes de Florac et La Glu ont cette plus value d'un duo d'enquêteurs hétérogène dans lequel chacun tient son rôle et apporte ses qualités. L'humour est une valeur ajoutée.