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sur 377 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
J'ai commencé le roman en piochant au hasard dans ma pile à lire. La couverture me plaisait bien, elle m'annonçait un futur du genre apocalyptique et des héros jeunes adultes. Je n'ai pas voulu lire le résumé, me disant que si Partials était dans ma PAL, c'était pour une raison. Et ce fut une bonne surprise.

J'ai trouvé le début du roman assez lent. L'univers se met doucement en place, nous rencontrons les différents personnages ainsi que le point crucial de toute la trame de cette trilogie. le monde ne se résume plus qu'à une poignée d'humains, une communauté dévastée qui subit encore les effets du virus qui a anéanti les hommes. Une idée qui peut sembler « déjà vu » mais qui dans le traitement est plutôt original. Ce que j'ai le plus apprécié en fin de compte et surtout le pourquoi du comment. Il y a une grosse réflexion tout au long de l'histoire qui nous pousse à nous interroger. Il faut bien entendu s'intéresser un peu la science, car c'est un sujet très dominant dans l'univers de Partial, mais l'éthique scientifique mais aussi morale revient nous titiller à plusieurs reprises. L'homme ne cesse de vouloir faire des progrès, de rendre le corps humain « parfait », d'inventer et de pousser les limites de l'inimaginable, mais à quel prix.

Ici, on en voit bien tous les aspects négatifs. Bien sûr on ne peut pas non plus arrêter le progrès, et il est difficile de se dire que toutes les actions menées dans le roman sont négatives, mais à vouloir trop, on finit par perdre l'objectif principal et à devenir un monstre. Attention cependant, je n'ai pas trouvé que l'auteur était moralisateur. Il laisse juste planer des réflexions par sa trame et c'est toujours quelque chose que j'apprécie énormément dans un roman. Ne pas laisser le lecteur en dehors de l'histoire, le pousser à s'impliquer et réfléchir.

Question personnages, je dois avouer que beaucoup m'ont plu. Kira, notre héroïne, n'est pas mal du tout. Elle ressemble beaucoup aux héroïnes actuelles, fortes et intelligentes. Je ne lui ai pas particulièrement trouvé quelque chose de plus cependant. Elle a d'ailleurs un côté très « colérique » qui m'a un peu agacée. Elle semble toujours être en colère. Peut-être son côté idéaliste qui prend le pas plus que son bon sens à de nombreuses reprises. Mais elle reste une jeune femme a qui on s'attache très rapidement. Ses soeurs adoptives sont plutôt sympathiques même si elles ne sont pas mises en avant trop souvent. Marcus, le petit ami, sort du lot. Son humour et son côté « non-parfait » sont très plaisants. Samm, a contrario, même si j'ai adoré ce personnage est plus dans le côté « parfait ». Vous savez le ténébreux au corps de rêve qui est mystérieux à souhait. Un troisième homme : Jayden. Pas assez présent à mon goût même si il est quasiment là tout du long du roman. J'ai aimé ce personnage dès le départ mais je l'ai trouvé sous-exploité. C'est bien dommage.

Les adultes ne sont pas franchement dépeint de façon très enthousiaste. Il y a le contexte, bien sûr, mais franchement… Faire des femmes des poules pondeuses comme unique solution pour sauver l'humanité, chercher à tout prix à contrôler la population, être aussi buté… Bref, je n'ai pas forcément adhérer et je pense que c'était voulu mais j'avais ce sentiment assez désagréable que seuls les jeunes gens avaient le droit d'être des héros ou tout simplement des gens décents.

Ce premier tome est assez lent à se mettre en place, mais dès la seconde partie, les choses se bousculent très vite. C'est une dynamique que j'ai bien apprécié. On prend le temps de bien s'imprégner de l'univers puis on passe aux choses sérieuses. Les révélations se font au fur et à mesure mais on sent que beaucoup d'événements sont encore assez flous et que Partials n'a pas encore laissé échapper la moitié de ses mystères. Un premier tome efficace dont la fin ne m'a pas tellement surprise mais qui a au moins le mérite d'être efficace.
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Fin du XXIe siècle, guerre et technologie ont eu raison, ou presque, de l'espèce humaine. Pour gagner une guerre, les humains ont créé des super-soldats, les Partials, à leur image qu'ils sont incapable de vaincre. Un virus, connu comme ayant été relâché par les Partials, a annéanti la quasi totalité de l'espèce humaine, et le peu qui se retrouvent immunisés voient tout de même leurs jours comptés car le virus empêche toute reproduction humaine, les bébés sont bien trop fragiles pour y résister. le combat de Kira : trouver un remède à ce virus, même si médecins et chercheurs encore en vie ont passé ces dernières années à le chercher sans succès.

Dans un contexte de fin du monde, entre ennemis invincibles, gouvernement rigide et virus incurable, on se retrouve en compagnie d'adolescents qui vont tout faire pour changer le monde. Les dystopies sonnent un peu toutes pareil ces dernières années. Mais après tout quand on a un mélange qui fonctionne, pourquoi ne pas l'exploiter à fond ? L'histoire ici n'est pas très originale, et on se doute plus ou moins de ce qui va se passer, dans les grandes lignes. Malgré tout, on passe un moment distrayant, même si la psychologie de certains personnages est difficile à cerner.

En très bref, si vous êtes amateur du genre, vous pouvez tenter votre chance avec Partials. L'action est moins extravagante que dans bien d'autres dystopies, un peu plus réaliste, si ce terme peut vraiment s'appliquer à ce genre.
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Dans partial, on est dans un monde post-apocalyptique qui est plutôt original et prometteur : des êtres génétiquement modifiés se sont rebellés et ont détruit une grande majorité de la population associé à une épidémie qui tue l'ensemble des nourrissons. L'idée était bonne, le groupe que l'on suit est attachant et pourtant c'est long c'est assez laborieux. Passé la première moitié, ça s'améliore mais faut arriver à passer les 250 premières pages. Tout le long j'ai oscillé entre "il ne se passe rien je vais arreter" et "ah ça y est c'est parti vite vite on continue". C'est don un tome en dent de scie. Une fois fini, la grande question est lire ou ne pas lire la suite. Cette indécision est une première qui illustre bien l'aspect inégal de l'oeuvre.
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Rien ne m'attirait dans Partials. La couverture me fait fuir, le bandeau liant ce titre à Hunger games encore plus et je n'ai rien compris au résumé. La littérature jeunesse est abreuvée de dystopies pour adolescents. Un monde effondré, un virus qui menace l'humanité, une quête pour la survie. Les futurs peu glorieux, les désastres écologiques, les invasions extra-terrestres, la machine qui a surpassé l'humanité, il devient difficile d'innover.

Parlons d'ailleurs de ce genre récent en littérature appelé Young adults (YA) – Jeunes adultes. Depuis la saga Twilight de Stephenie Meyer, l'offre a explosé. Vampires, zombies et rouge à lèvres. le lectorat visé a les hormones en ébullition et, il serait facile de le croire, un QI largement en-dessous de la moyenne. L'offre surpasse la demande et nivelle par le bas. On pourrait presque se demander si on amalgamerait pas les jeunes adultes avec des jeunes cons. Pourtant, si le constat est sans appel : les jeunes lisent moins, les jeunes lecteurs assidus et passionnés existent ! Peut-être pourrait-on, comme on éduque à la santé, les prévenir de certains dangers et les aider à démarquer le pur produit commercial de l'oeuvre littéraire ?

Revenons à Partials. Si l'emballage a tout d'un livre à classer dans la catégorie Jeunes adultes, voici une dystopie qui se démarque légèrement. Dan Wells n'innove rien pour autant mais propose une héroïne attachante et une intrigue captivante en évitant pas mal de clichés. Si je reproche souvent aux auteurs l'inévitable triangulation entre les personnages (Bella, Edward, Jacob / Katniss, Peeta, Gale), Wells ne la surligne pas en restant concentré sur l'intrigue. Il façonne ainsi une héroïne au grand H comme je les aime et satisfait le lecteur au compte goutte qui, par conséquent, tourne les pages avec avidité.

Vous l'aurez compris, Partials remplit très bien son office. Si j'ai tourné la dernière page frustrée d'apprendre qu'il s'agit encore d'une série, j'ai été ravie d'apprendre que la sortie du tome 2 a déjà été agendée pour mars 2014. Une date plus éloignée dans le temps m'aurait fait oublier bien trop de détails pour vouloir continuer.
Lien : http://www.audouchoc.com/art..
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artials est encore un oublié de ma PAL, acquis il y a plusieurs années, à l'époque où je lisais beaucoup de dystopies, peut-être parce que c'était le genre littéraire du moment, entre Hunger Games et Divergente et qu'on ne voyait plus que ça partout.

J'en ai lu énormément… et je crois que je m'en suis lassée, ce qui fait que je n'ai pas apprécié Partials, à sa juste valeur si j'en crois les autres avis très positifs que j'ai pu glaner à son sujet.

Pourtant, ce roman a d'indéniables qualités. La plume est bonne, le contexte médical est ultra-travaillé et on sent vraiment une envie de réalisme de la part de l'auteur. Les personnages sont composés en contrastes, il n'y a pas de romance trop présente, et l'intrigue présente une réelle complexité, toute en rebondissements et en motifs cachés.

Mais ce qui a joué en sa défaveur sont pour moi les trop nombreuses longueurs qui alourdissent le propos. Rien que le début est très long : il faut plus de cent pages à l'intrigue pour vraiment démarrer. Puis il arrive des moments où nous sommes noyés sous les propos médicaux. C'est très bien de travailler sur la véracité de son propos, mais quand cela se fait aux dépens de l'intérêt, c'est vraiment dommage.

Du point de vue des personnages, je n'ai pas non plus réussi à m'attacher à Kira, que j'ai trouvée froide par moments. de façon générale, il ne se dégage pas beaucoup d'émotions de ce récit et pourtant il y a matière. J'ai aussi du mal à accepter les situations qui mettent en scène des adolescents à des postes à forte responsabilité ou considérés comme experts dans un domaine aussi complexe que la médecine. J'ai toujours l'impression qu'on réduit l'âge des personnages uniquement pour faire accepter la mention young adult du roman, alors que dans le cas de Partials, c'est un récit très mûr que Dan Wells nous propose, un roman qui pourrait sans problème être classé dans le rayon SF adulte si les personnages n'avaient pas 16 ans.

Pour toutes ces raisons, Partials ne restera malheureusement pas dans ma liste des séries à lire, malgré des thèmes bien détaillés et intéressants dans leur idée.
Lien : http://dorisbouquine.canalbl..
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Mon ressenti : Voici un livre que je n'aurais jamais lu de ma propre initiative, c'est une dystopie (wikipédia : est un récit de fiction dépeignant une société imaginaire organisée de telle sorte qu'elle empêche ses membres d'atteindre le bonheur). J'ai déjà lu un livre de Maxim Chattam dans ce genre " un autre monde". Ce sont souvent des sagas, sur plusieurs tomes.

On se retrouve parachuté dans le futur, tout est détruit, il reste quelques humains regroupés sur Long Island, sans ressource, ils cherchent parmi les grands magasins déserts, des vêtements, des conserves, des médicaments pour survivre. le pire c'est qu'aucun bébé ne peut vivre après sa naissance, ce qui entrainera l'extinction de la race humaine. le gouvernement est totalitaire, impose aux très jeunes femmes d'enfanter malgré le destin fatal des nouveaux nés.

Une jeune fille, Kira, refuse de s'avouer vaincue, un caractère fort, elle décide de trouver un remède chez leurs pires ennemis : les partials !

Commence une grande aventure, avec de nombreux rebondissements !

Qui est le vrai ennemi ? Qui a inventé ce virus qui tue les nouveaux nés ? Les partials peuvent-ils les aider ? Sont-ils tous si méchants ? Doit-on vivre longtemps sous l'emprise de ce gouvernement qui décide de tout ?

Voilà les plus grandes questions que l'on peut se poser en liant ce premier tome.

Côté négatif, les détails médicaux, dont on se passerait facilement !

Je ne vous raconterais pas la suite du livre mais ce que j'ai aimé dans tout ça, c'est les questions qui me sont venus à l'esprit ! Notre société actuelle ne glisserait t'elle pas vers ce chemin où tout est dicté, où les lois nous disent ce qu'on peut ou ne peut pas faire dans notre quotidien !

On ne réfléchit plus par nous même, on nous mâche tout pour nous facilité la vie ou peut être pour nous amener là où il faut !
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"[...]Comme vous pouvez vous en douter, je l'ai fini il y a peu de temps. Et je n'ai pas été déçue. Mais je dois l'avouer, ce n'était pas ma première impression.

Quand on voit un tel bouquin avec une telle couverture on ne peut que se dire, "Wouah, ça va être encore un livre extra." Et quand en prime il y a marqué "La dystopie la plus passionnante depuis Hunger Games" là on saute dessus. C'est donc, comme vous vous en doutez, ce que j'ai fait.

J'étais bien trop impatiente de le commencer, et de rentrer dans ce monde encore une fois détruit (et oui en ce moment je suis ''branchée'' dystopie).
Alors c'est avec un tel enthousiasme que j'attaque le livre.
Les premiers chapitres passent, sans trop d'action. Mais je me dit que ce n'est que le début et je laisse donc le temps à l'auteur de nous mettre dans le ''bain'' et de nous exposer la situation.
Je continue, continue....toujours peu d'action. J'ai donc commencé à être déçue, sans pour autant l'abandonner. Je ne voulais pas lâcher le bouquin sous prétexte que le début était plutôt long. J'ai encore une fois continué ma lecture, mais j'avais plutôt du mal à comprendre la situation initial. Plein de mots que je ne comprenais pas : Partials, RM, le Peuple de la Voix...

Mais au fil des pages, l'auteur s'explique peu à peu. Des termes tout d'abord incompréhensibles deviennent peu à peu une habitude et un langage courant.
Car en effet, Dan Wells use beaucoup de mots à assonnances médicales et scientifiques mais il n'est pourtant pas difficile de le comprendre. Son écriture est fluide, facile à lire.

Je l'avoue, le début est très long à commencer. Mais cela en vaut le détour. C'est en effet à la deuxième partie, même un epeu après, que tout débute. L'action est nettement plus présente, et l'addictivité est assurée.
Après une première partie plutôt difficile, l'auteur à su trouver les mots et a réussi à nous emporter dans cette histoire.

Les personnages, ne sont pas trop attachants, on les apprécie juste à leur juste valeur. A part Samm bien sur... Lui c'est tout autre chose. Il faut l'avouer, il est plutôt difficile à cerner, tout comme Haru par certains moments. Et surtout, à la fin, mes certitudes se sont effondrées. "Alors, c'était donc vrai ? Ou bien..."
En bref, je n'étais plus sure de rien.

Quant à la fin, elle est tout simplement extra. de l'action, des plans, des imprévus, du sang.... En tout cas, avec un dénouement pareil vous êtes sur que je pars acheter le deuxième tome.[...]"

L'article complet sur mon blog !
Bonne lecture !
Lien : http://lepeupledureve.blogsp..
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Pour ce livre, on part sur une dystopie comme d'autres. Certaines choses ne sont pas très originales et ne révolutionnent pas le genre dans le schéma suivi dans l'intrigue. de ce fait, je me doutais d'avance de certains éléments, de certaines révélations, qui n'ont pas toujours été surprise à cause de ce schéma.
Cela reste néanmoins sympathique à lire, bien que ce ne soit pas sans grande surprise. C'est une lecture divertissante, avec comme toute dystopie, de l'action, du dynamisme, des combats.

Il y a un point que j'ai personnellement aimé mais que certaines personnes, je pense, pourraient moins apprécier. Il y a le pan scientifique, notamment sur le virus de ce roman, qui est développé et travaillé. Ainsi, l'auteur s'attarde sur le fonctionnement du virus, ses différents aspects, son évolution possible, ... Bref, il prend le temps de décrire le virus qui prend place dans son roman. J'ai aimé que ce soit travaillé, montrant une recherche de crédibilité de la part de l'auteur, et qui je trouve, donnait justement plus de crédibilité à l'histoire et au personnage qui est plus ou moins une scientifique. Mais comme dit plus haut, il est plus que probable que ce ne soit pas au goût de chacun.

Les personnages sont dans l'ensemble plutôt sympathiques à suivre, mais encore une fois, pas réellement d'attachement pour eux pour autant.
le personnage principal n'est pas particulièrement original par rapport à ceux d'autres dystopies, avec le fait de découvrir que finalement, l'ennemi n'est peut-être pas l'ennemi, de vouloir se rebeller contre le gouvernement, de se jeter à corps perdu dedans, sans prendre forcément compte du danger, ... Rien de novateur là-dedans, même si, comme dit plus haut, le personnage n'est pas mauvais pour autant. En revanche, j'ai trouvé bien qu'on soit avec un personnage principal racisé dans le roman, et c'est clairement précisé dans le roman.

La fin donne envie d'en savoir plus sur le moment, de découvrir ce qu'il adviendra des personnages, et leurs choix, mais je ne suis pas certaine que cet intérêt dure dans le temps.


En résumé, un dystopie sympathique à lire, mais qui ne révolutionne pas le genre. On a un schéma qui ressemble à celui de d'autres dystopies, tant au niveau de l'histoire que du protagoniste. La fin a suscité de l'intérêt sur le coup, mais à présent, je ne suis pas certaine d'avoir l'envie de lire la suite.
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J'ai été attiré par ce livre, en lisant son résumé, le futur dévasté dans lequel la survie dépend de la naissance d'enfant viable, pour cela toutes filles de dix-huit ans doit être enceinte.
Une trame qui m'a emballé; Donc l'histoire c'est une jeune fille de 16 ans, Kira, apprenti en médecine (une héroïne du style Divergente), qui veut bouger le monde pour la survie. Elle ne veut plus de ce système, d'être obligé de tomber enceinte pour voir son enfant mourir, elle veut aller chercher un de ceux qui les ont exterminé, pour trouver un remède au RM(virus).
Une histoire qui donne lieu au premier abord à de l'action et de ne pas lâcher son livre jusqu'à la fin.
Or le style est -pour ma part- catastrophique. C'est des pages et des pages de détails superflu, qui plombe l'ambiance du livre. On a l'impression de suivre un GPS: " second rocher couvert de kudzu, où l'arbre de trois mètres, qui appartenait au jardin des anciens propriétaires, prenez à droite, vous verrez l'immeuble avec ces vitres brisés, qui en compte dix, tournez à gauche...."
Et encore je n'exagère même pas, rien que pour le passage où elle est ses amis vont à Manhattan, on a une centaines de pages sur comment ils y arrivent (on pourrait aller là-bas et se situer et faire le chemin nous-même). Dès qu'ils y étaient, j'ai cru que j'allais devoir relit 100 pages sur leur retour. Bref trop, trop de détails. Idem pour la partie recherche. Si vous voulez connaitre le RM, vous serez servi, on a çà découpe dans le moindre détails, je me suis revue en cours avec l'angoisse de l'intéro: "que se trouve-t-il entre le spore et le globule!?"
L'auteur a voulu trop nous donner d'information sur des détails, que l'on cherche le moindre dialogue pour pouvoir avoir l'action souhaitez, et il y a peu de dialogue.
L'idée et l'objectif du livre est bien trouvé (même si c'est du genre L'Epreuve, Divergente, Hunger Games), par contre il existe encore deux autres tomes, et vu le pavé de 523 pages de détails qui aurait pu largement se réduire à 200 pages sans, je vais attendre pour la suite qui j'espère n'aura pas ce même style.
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Je trouve que c'est un bon livre, histoire est interressante par contre elle est lente a commencer et c'est peut-être moi mais je trouve qu'il y a trop de description des lieux.
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