Buffy contre les vampires - Saison 8, tome 1 : Un long retour au bercail

On retrouve plutôt bien l'univers de la série. Les dessins sont très représentatifs des acteurs qui avaient prêté leur image aux personnages de Joss Whedon. Et j'avoues que cela m'a fait plaisir de ne pas trop m'éloigner du visuel que j'aime tant.

Je crois que le vrai problème vient du scénario. C'est tellement fouillis qu'on est un peu perdu. J'ai parfois eu du mal à suivre le raisonnement des auteurs et cela donne quelque chose de très nébuleux.

J'ai été heureuse de retrouver les personnages que j'aime. C'est plus le fond qui m'a déçu. C'est un peu tiré par les cheveux et je me poses quand même la question de l'utilité de cette huitième saison. Je continuerais juste par amour pour la série.
Lien : http://chroniquesmerveilleus..

Si il y a une chose qui m'a frappée avec ce premier tome, c'est que la team s'est bien lâchée! C'est assez évident que toutes les fantaisies, impossibles ou compliquées (voire trop chères) à réaliser pour une série TV se sont toutes retrouvées ici! Si je ne suis pas une grande fan du style graphique, j'ai néanmoins été séduite par l'ambiance, très fidèle à la série et j'ai été très heureuse de retrouver les personnages qui m'ont accompagnée durant mon adolescence dans de nouvelles aventures abracadabrantesques.

Les codes de la série ont eux aussi été maintenus, avec une mise en place progressive, des révélations choquantes et un Big Bad qui s'annonce retors. le seul changement qui s'annonce à mon sens, c'est que l'histoire va prendre une tournure beaucoup plus "Science-Fiction" que fantasy et cette impression se confirme vraiment avec le "retour" de Warren, aussi répugnant soit-il.

Pour être tout à fait honnête, j'avais imaginé que Buffy allait enfin en profiter pour se reposer un peu et que Kennedy allait prendre le contrôle des opérations mais que nenni! Je ne dis pas que ce que j'avais imaginé pour les personnages était forcément en adéquation avec leur personnalité mais ça aurait été sympa de les laisser souffler un peu... non? Personne? Bon d'accord...
Lien : https://cassyown.com/2022/04..

Quel plaisir de retrouver la tueuse de vampires accompagnée de ces fidèles amis avec Alex et Willow. le brave Alex chef d'une équipe de tueuses prêtes à tout et Willow puissante sorcière, deux atouts indispensable dans la lutte contre les méchants. On retrouve la petite soeur qui est une clé qui porte le prénom de Dawn. Elle se comporte toujours comme l'adolescente qu'elle est en faisant sans cesse des caprices. Il faut dire que là, elle vit une situation un peu particulière car elle est transformée en géante. Ce qui ne l'empêche pas de se dire qu'elle est mal aimée par sa grande soeur. Elle est pareil que dans la série : insupportable. Mais qu'importe car le grand Joss Whendon continue à prendre soin de son bébé. Ce qui explique que l'esprit de la série soit respecté. L'action ne manque jamais. C'est une chance que les forces du mal peuvent prendre bien des aspects et avoir beaucoup de ressource. Car Buffy et son équipe ne vont plus faire face à un seul ennemi encore inconnu. Mais deux avec Amy, ancienne sorcière transformée en souris et son petit copain qui veulent se venger. Cela promet des tomes énergiques qui vont se dévorer à toute vitesse. Surtout que cette saison est la suite de la série qui se termine avec la destruction de Sunnydale. Côté graphisme, Georges Jeanty reste dans le classique du genre type superhéros. Nous sommes très très loin de la beauté et de la perfection de Jamie McKelvie comme dans The Wiked+ The Divine. On ne peut pas tout avoir. Toutefois cela n'empêche de dévorer ce premier tome et d'avoir hâte de lire la suite.

Un long retour au bercail :
Alors que la saison 9 s'apprête à arriver dans nos vertes contrées, je me suis décidé à relire l'ensemble de la saison 8.
La saison 7 se terminait alors que Sunnydale disparaissait sous la terre et que Buffy est ses amis s'enfuyaient très loin après avoir activé toutes les tueuses dans le monde. Maintenant, Buffy est à la tête d'une petite armée et ce n'est pas au goût de tout le monde et encore moins de la phallocrate armée américaine. Une femme capable de raser une ville, forcément ça donne envie de l'éliminer...ou pas ! Bref, nous retrouvons Buffy en Ecosse avec la plupart des autres personnages et il s'en est passé des choses !

Ce qui m'avait un peu surpris lors de ma première lecture, c'est les libertés prises par Joss Whedon. A croire que le format de la bande dessinée lui permet de réaliser ses désirs les plus fous. C'est comme ça que l'on se retrouve avec une Dawn géante et pas mal d'autres surprises dans les tomes suivants.
J'avoue avoir été complètement dérouté la première fois, mais je me suis probablement habitué au fil des huit tomes car avec cette seconde lecture, ça passe un peu mieux.

Les dessins sont assez inégaux dans l'ensemble mais globalement on parvient à reconnaitre les personnages. La seule chose véritablement excellente c'est l'ensemble des couvertures élaborées par Jo Chen. Un vrai travail d'artiste. Dommage que l'ensemble des planches n'est pas fait l'objet d'un tel travail, mais j'imagine que ça aurait été trop couteux en temps !

Ce que l'on peut reconnaitre c'est que la saison 8 s'inscrit dans la continuité de la série, avec ce crescendo dans l'intrigue… Au moins, cela nous permet de continuer l'aventure. Pour autant, est-ce que la saison 8 aurait ressembler à ça en version télévisée ? Pas sûr…

La chaine :
L'histoire se centre sur l'un des sosies de Buffy qui opère sous la terre. Son existence est évoquée au tout début de "Un long retour au bercail" et c'est intéressant de découvrir son histoire. le sujet est très bien traité. On découvre comment sont recrutées les nouvelles tueuses activées, leur parcours et leur mission. de plus, les créatures rencontrées sont plutôt jolies, je pense notamment à l'espace de limace ou d'escargot et puis à la fée. C'est assez rare de croiser ce genre de bêbêtes dans l'univers de Buffy tout de même.

Bref, une introduction pas trop mal pour cette huitième saison, mais qui peut désarçonner aux premiers abords.

DE LA BOMBE ce livre !!!!!!!!!!!!!!!=)

Quel plaisir de découvrir cette saison 8, les dessins sont très beaux et j'ai hâte de lire la suite des aventures de BUffy.

Fan de la série télévisée, j'ai vu les épisodes plusieurs fois et je possède même les 42 premiers livres sortis. J'ai attendu pour les comics car, fan ou pas, le dessin ne me plaisait que moyennement et je trouvais que la fin était bien trouvée, avec cette ouverture sur l'avenir qui laissait le spectateur libre de laisser son imagination vagabonder. C'est donc bien des années plus tard que je me lance dans cette aventure. Fini le petit écran et bonjour le papier. Ici, on oublie le budget et donc les limitations de casting, d'effets spéciaux et tout ça. Et cela se sent. On se retrouve quelques semaines après que Sunnydale soit devenue un cratère géant. Des centaines de tueuses ont été appelées à travers le monde et le Scooby-gang tente de les rassembler. Il est fini le temps où la Tueuse était seule pour affronter les forces du Mal. Là, on parle d'une véritable armée. Et Joss Whedon s'en donne à coeur joie. On retrouve les ingrédients qui ont fait le succès de la série mais je dois avouer avoir un peur de ce que cela va donner sur le long terme. Sans être complètement conquise, j'ai été agréablement surprise par ce premier tome et je vais continuer afin de découvrir ce qu'il va arriver à ce groupe d'amis qui a bercé mon adolescence.

Bon, même si je suis très loin d'être conquis, il y a des moments où j'ai quand même pris beaucoup de plaisir à découvrir la suite des aventures de notre tueuse. Même s'il y a pas mal de points décevants, j'ai malgré tout cette grande envie de découvrir la suite...
Lien : http://plaisir-des-livres.bl..

Grande fan de la série TV Buffy contre les vampires, je me suis jetée sur la saison 8 lorsqu'elle est parue sous format comic. J'avais hâte de lire la suite !
Je me suis cependant arrêtée au tome 5 de cette saison, déçue. Et, si je continue à regarder avec grand plaisir la série TV - qui, au final, se finissait comme il faut, avec une fin ouverte mais pas trop, donc qui laissait des possibilités sans frustrer - j'ai cessé de suivre les comics.
Pourquoi ?
D'abord, je ne retrouvais pas l'esprit de la série. Il y a trop de monde, trop de personnages. Trop de gros monstres. Trop de légèreté - et les moments graves qui parsemaient la série, entre deux instants plus légers ?
Ensuite, on retrouve progressivement nombre de personnages. Même ceux censés être morts. Ce qui donne l'impression d'une vaste re-présentation de tout le monde, juste pour faire plaire aux fans, sans aucune continuité avec la série-mère.
Sauf que non, ça ne passe pas. ça passe d'autant moins que cela crée une énorme incohérence. Avec Warren, censé être mort, qui, dès le tome 1, est annoncé comme sauvé par Amy qui l'a ensorcelé pour qu'il vive sans peau ! Une incohérence de taille, quand on sait que dans la saison 7 la Force (qui ne peut prendre l'apparence que de personnes décédées, même brièvement) prendre sa forme à certains moments. Or, si l'on en croit le comic, il n'est jamais mort...
Retrouver les mêmes ennemis, les mêmes personnages, les mêmes morts-pas morts, ça fait beaucoup trop "réchauffé". Il paraît que la saison 9 est d'un niveau nettement meilleur, mais personnellement, vu comme la saison 8 m'a déplu, je préfère en rester à la série TV.
Dommage, car c'est vraiment une de mes séries cultes.

Autant je n'ai pas aimé la saison 8 en version dessin animé qui ressemble à un très mauvais manga en VO, autant j'ai apprécié la BD qui, elle, est en version française. Au tout début de ce premier volume de la saison 8 nous trouvons un récapitulatif des 7 saisons précédentes, puis nous replongeons dans l'univers de Buffy. Des monstres, de la magie et une armada de tueuses. Les dessins sont vraiment bien réalisés et donnent envie de dessiner... Après certaines choses semblent étranges, comme si le lecteur avait manqué un épisode entre la fin de la saison 7 et le début de la saison 8... En fait, cette saison 8 en BD est un plus pour les inconditionnels de la série mais elle n'était pas indispensable.