Citations sur 100 ordonnances naturelles pour 100 maladies courantes (16)
Un enfant sur 130 est autiste. La maladie frappe trois garçons pour une fille.
Elle est de plus en plus répandue dans le monde occidental. Aux États-Unis, le nombre d’enfants autistes s’est multiplié par 5,56 entre 1991 et 1997. Cet accroissement rapide écarte une cause génétique et oblige à chercher une modification de l’environnement, (pollution aux métaux lourds, dysbioses intestinales, abus d’antibiotiques…). Les troubles ont augmenté de 700 % en 20 ans.
Les plantes vasodilatatrices dont l’action se fait directement sur la paroi vasculaire, sous le contrôle du système nerveux autonome, du système hormonal et métabolique.
Les plus efficaces sont : l’Olivier, le Gui, l’Ail, le Rauwolfia (réserpine).
Les autres sont : l’Aubépine, l’Oignon, la petite Pervenche, la grande Berce (semence) et le Céleri.
Les huiles essentielles sont douées d’une énergie extraordinaire ; ces quintessences végétales possèdent une concentration et une complexité moléculaire hors norme. Elles suscitent un intérêt biochimique et thérapeutique innovant. Aujourd’hui, elles rivalisent d’efficacité avec les substances médicamenteuses de synthèse au point de pouvoir les dépasser dans plus d’un domaine d’activité. L’avenir de l’aromathérapie scientifique est le futur de la médecine. Les patients qui ont appris à utiliser les huiles essentielles sont très enthousiastes quant aux effets constatés dans tous les domaines et notamment dans celui de l’infection. Actuellement, ce sont les seules molécules naturelles capables de neutraliser les virus et les bactéries résistantes.
L’homéopathie a su développer des remèdes simples pour les situations qui ne le sont pas moins et on n’a pas besoin d’avoir fait de longues études pour savoir les utiliser au quotidien !
L’homéopathie obtient parfois des résultats étonnants et souvent extrêmement rapides ! On ne compte plus les études scientifiques qui prouvent sa supériorité sur de nombreuses molécules allopathiques. Elle fait partie intégrante du protocole de traitement de certains hôpitaux, obtient des résultats sur des maladies (même graves) devant lesquelles la médecine officielle baisse parfois les bras, prend une importance considérable dans le système de soins des pays en voie de développement qui voient là une alternative peu coûteuse et efficace, comparée aux médicaments trop chers pour eux.
Face à de nombreuses maladies, la médecine officielle piétine. En dernier recours elle propose la sempiternelle cortisone, les bêtabloquants, les statines, les interférons dont on connaît les incontournables effets secondaires.
C’est ainsi que la médecine moderne, malgré ses progrès, est loin d’avoir résolu tous les problèmes de santé. Elle se montre en particulier très mal adaptée et surtout trop puissante pour réaliser la prise en charge des maux du quotidien, des maladies neuro-dégénératives, des infections virales et bactériennes. Si bien qu’un engouement du public apparaît sur un mode crescendo pour une démarche globale, plus humaine, moins agressive, représentée par la « médecine alternative » et qui se développe de façon croissante : l’automédication.