N'ayant pas le pied marin, j'avoue que j'aime les bateaux mais vus du port...
Mais j'aime assez
Charles Williams pour me laisser embarquer dans une aventure nautique....
Sauf, qu'à défaut du mal de mer, c'est l'ennui qui m'a envahit....
Je ne sais pas si cela vient de la traduction, un peu datée, mais le malaise s'intensifia au fil des pages, à me demander si je que foutais là dans ce rafiot en pleine mer...
Il parait que pour un béotien qui veut se prendre pour un de Kersauson, il existe deux moments de bonheur avec son bateau : quand il l'achète et quand il le revend...
Avec "
Calme blanc" c'est la même chose...
Reste à savoir si la nouvelle traduction de Gaillemester redonne du blason à cette oeuvre.