Ce deuxième tome creuse bien davantage que le premier la psychologie des personnages, et notamment de Saji. J'ai été d'autant plus emballée par cette suite, du coup : j'adore me sentir touchée par les émotions et pensées des personnages, avoir l'impression de partager leurs doutes et hésitations, et vibrer avec eux quand ils sont heureux...
Cette suite perd de son ton léger et humoristique pour en devenir plus authentique, à mesure que la relation entre les deux héros gagne en profondeur. L'auteure mène habilement son récit, et amène avec fluidité et simplicité les personnages à davantage s'ouvrir et accepter leurs sentiments.
Beaucoup d'authenticité dans ce deuxième tome : il m'a sincèrement conquise ! Vivement la suite !
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Un tome 2 avec de la jalousie et des non-dits entre les personnages. Shûji est de plus en plus perturbé par ses sentiments et Saji qui essaye de le comprendre.
J'ai aimé ces moments de doutes et l'évolution dans leur relation. Je les ai trouvés à la fois mignons et agaçants, à avoir envie de les secouer parfois.
Un tome vraiment sympa pour l'avancée des sentiments du couple en devenir. Un petit coup de coeur pour Saji dedans qui est tellement attachant. C'est la force tranquille avec de la sensibilité, qui montre toujours le meilleur et une grande maturité.
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On continue de suivre l'histoire de Tanihara et Saji entre moments intimes, quiproquo, non dit… J'ai très envie de savoir comment tout ça va se terminer.
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* "Il te suffit de dire ce que tu penses."
Je l'ai provoqué, mais au final c'est moi qui n'ai pas pu dire ce que je pensais vraiment. Je n'ai pu répondre ni à ses affirmations ni à ses attentes.
Je n'arrive à rien avec ce mec et je sais que je répéterai les mêmes erreurs et je pense que lui aussi. *
* Mal interprété ? Jalousie ? Laisse-moi rire ! Mais alors, pourquoi je réagis comme ça ? Je ne peux contrôler ni mes émotions ni mes actions. Je ne me reconnais plus. Ça ne peux signifier qu'une chose, que je suis... Non, non, non ! C'est impossible. *
- Désolé mais ma maladie ne se guérit pas avec de simples médicaments.
- Ho ?
- Tu veux bien me soigner ?
- C'est bête mais je n'en ai pas envie.
- Ah bon ? Dans ce cas, viens perdre la tête avec moi.