Quand je retourne à ma table, je suis habité par des pulsions multiples et diffuses comme par des êtres invisibles et bienveillants qui attendraient leur heure pour se montrer. Mon live n'est jamais terminé. Le sera-t-il jamais ? Éternelle question. Chaque fois que j'écris, arrive le moment redoutable où je ne sais plus si je dois continuer, modifier, corriger encore et encore, tendu de tout mon être vers l'achèvement idéal.