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isbn:9782070447954
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Complexe! Je le confesse, après 50 pages à me retourner le cerveau, j'étais prête à abandonner. Trop de noms, trop de non-dits. Je suis allée consulter la page Wiki***** consacrée au livre, j'y ai trouvé le résumé complet, et la liste des personnages que j'ai imprimée. Honnêtement, sans ce support, je n'aurais jamais compris qui étaient les Premiers, ni le découpage chronologique des chapitres. de plus, je ne sais pas si c'est dû à ma vieille édition, mais on passe sans cesse d'une scène à une autre sans que les paragraphes ne soient séparés, c'est très confus.
Une fois tout cela compris et accepté, le fond est vraiment intéressant. Mais ça ne valait peut-être pas tous ces efforts...
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« Une épopée intense et baroque récompensée par le prix Hugo en 1968. » (S. Barets)

Voici une histoire mémorable qui comme indiqué sur la 4ème de couverture mêle « fort habilement mythologie hindoue et science-fiction. »

Maintenant, pour prendre toute la mesure de cette aventure fabuleuse, il faut avoir lu tout le livre (et prendre un peu de recul). Je trouve cela vraiment dommage car il faut un certain temps pour comprendre de quoi il est question.

J'ai trouvé la narration un peu lourde ce qui fait que j'ai lu lentement. Pas pour savourer (comme c'est parfois le cas) mais parce que c'était une lecture un peu difficile.

Au-delà des mots, cela reste cependant une histoire d'une originalité étonnante et je remercie BazaR pour cette pioche estivale.




Challenge défis de l'imaginaire 2019
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1. le Hibook a relu : « Seigneur de lumière » de Roger Zelazny .L'équipage d'un vaisseau spatial humain après avoir conquis militairement une planète y a établi sa domination grâce à la technologie mais aussi des mutations qui ont doté l'équipage originel de pouvoirs quasi divin . Ils composent un panthéon inspiré des divinités hindouistes et maintiennent la population dans une arriération moyenâgeuse . Mais Sam , l'un des Premiers va se dresser contre eux pour offrir à la population le progrès et l'émancipation . Pour cela il va se transformer en avatar du Bouddah et déclencher plusieurs révoltes contre les despotes divins. L'histoire se déroule sur plusieurs niveaux temporels et je lui trouve un charme infini . Zelazny est génial dans sa capacité à jongler avec les mythologies . Sans compter la réflexion sur la corruption qu'engendre le pouvoir et l'humour paradoxal de ces dieux qui se savent être des usurpateurs .
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"Ses disciples l'appelaient Mahasamatman et disaient qu'il était un Dieu. Il préférait cependant supprimer de son nom Maha- et -atman et se faire appeler Sam. Il ne prétendit jamais être un dieu. Comme jamais il ne prétendit ne pas en être un. Les circonstances étant ce qu'elles étaient, admettre l'un ou l'autre n'eût été d'aucun profit. A la différence du silence.
Il était entouré de mystère...."

Cette première phrase est à l'image du roman lui-même, mystique, historique, humoristique et mystérieux.
Sur une planète lointaine dirigée par les figures du panthéon hindou, ou la technologie semble figée dans un éternel moyen-age, si l'on excepte les machines à prière et les centres de réincarnation, Sam, un nouveau Prométhée prépare le renversement des dieux tout au long de ses réincarnations.
Incarnant Bouddha il prépare les esprits à l'abandon des croyances, prônant l'illumination et la non-violence.
Après avoir converti un assassin lancé à ses trousses et qui périra lors d'un duel épique avec Yama, dieu de la mort, Sam devient chef de guerre levant une armée hétéroclite, alliance d'humains de démons et de dieux déchus pour affronter les dieux célestes.
Au fil du roman on découvre qui sont les dieux, les démons et les habitants de la planète, avec en toile de fond, l'utilisation de la religion comme instrument de contrôle. Sans manichéisme et non sans une auto-dérision teintée de cynisme, Sam va utiliser la spiritualité du Bouddhisme et les connaissances de la science pour combattre la main-mise des dieux.
Roman de science fantasy, érudit, poétique, épique ou l'action va de pair avec la réflexion, Seigneur de Lumière prix Hugo en 1968 est un classique de la SF.
Lien : https://mediotopia.com/bibli..
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Je vais finir par croire qu'un roman couronné d'un prix littéraire n'est pas gage de compatibilité avec moi.

Tout le long du roman, je me suis posé la question : quel est l'intérêt de celui-ci ?

Bien sûr Zelazny fait preuve d'érudition : on passe en revue le panthéon hindouiste, il y a des citations des textes sacrés en début de chapitre. Mais le problème est qu'il faut connaitre un minimum cette mythologie pour ne pas se sentir perdu. Ce qui n'est pas mon cas. Zelazny situe ces luttes entre divinités dans un monde futuriste, où la technologie est très avancée. Mais ce futurisme est tellement ténu que ça ne m'a pas accroché.

Les situations s'enchainent mais sans repères, il est difficile d'avoir une vue d'ensemble. J'ai fini le roman sans grande conviction. Un jour j'espère entamer le Cycle d'Ambre et j'ose avoir l'espoir que je n'aurai pas la même déception.
Lien : https://lecturesdechiwi.word..
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Un homme tout de rouge vêtu, aidé d'une femme voilée et d'un petit singe, dans un monastère, s'affairent autour d'un corps inanimé et attendent une grande tempête. Leur objectif est de faire passer inaperçue l'utilisation d'une machine électronique qui sera à même de ramener l'âme et la conscience de "Sam", le Maitreya, Seigneur de Lumière, Kalkin le lieur de démon, bref, le Champion qui s'est battu contre les Dieux, âme envoyée par ces derniers, lors de la dernière guerre, dans le nuage électro-magnétique de la planète.
Mais Sam n'est pas forcément ravi d'avoir quitté le Nirvana pour reprendre la lutte contre le panthéon hindou, composé de ses anciens compagnons d'exil avec lesquels il a colonisé la planète. Il a besoin de temps, pour reprendre gout à la vie, à la lutte, trouver une stratégie inattendue pour jeter à bas les dieux du firmaments et donner à tous l'accès à toutes les technologies, comme l'imprimerie ou les toilettes, considérées comme impies par les Dieux et détruites dès que découvertes. D'abord, il doit se souvenir, et après, il le promet : " J'arracherai ces étoiles au ciel et les jetterai à la face des dieux, si c'est nécessaire. Je blasphèmerai dans chaque temple du pays. Je prendrai les vies au filet comme le pêcheur, s'il le faut. Je remonterai dans la Cité Céleste, si même chaque marche est une flamme ou une épée nue, si même le chemin est gardé par des tigres. Un jour les dieux regarderont du haut du Ciel et me verront sur l'escalier, leur apportant le don qu'ils craignent le plus au monde. Ce jour-là commencera le nouveau Yuga. Mais d'abord, il me faut méditer."

J'ai découvert Zelazny il y a un peu plus de 25 ans, et jusqu'à il y a quelques petites années, Seigneur de lumière était pour moi SON chef d'oeuvre. Je pourrais essayer d'être objective. de dire par exemple que ce livre à reçu le prix Hugo en 1968. Qu'il reprend des thèmes chers à l'auteur, comme une certaine forme d'immortalité (de l'âme, se transmettant de corps en corps via des machines), l'exploitation très réussie, comme toujours, d'une "mythologie" (hindoue) pour en faire une "fiction" (SF ? Fantasy ? je n'en sais rien, et franchement, l'étiquette, je m'en contrefiche comme de ma première liquette !). Ce livre évoque également le pouvoir, que l'on a, que l'on développe, que l'on utilise. Bref, je pourrais écrire une looooooongue critique sur tous ces aspects très rationnels de ce livre.
Mais ce n'est pas vraiment ce que j'ai envie d'en dire ! Moi, ce que j'aime par exemple, dans ce Seigneur de lumière, c'est la problématique du choix (être ou ne pas être un dieu, telle est la question !), et de ses conséquences, de l'éthique, de la responsabilité que l'on porte lorsque l'on dispose d'un peu plus de connaissance ou de forces que les autres. J'aime cette façon qu'à Zelazny de nous parler de ce que c'est qu'être humain, en proie au doute, à l'égoïsme, au côté sombre de chacun, à la latitude que l'on a d'y succomber ou pas (que la force soit avec vous !). Les échanges sur ce sujet entre Sam et Yama, ou entre Sam et les Rakashas sont passionnants à cet égard.
J'aime également ce passage au cours duquel Sam se rend compte qu'en prêchant une vieille doctrine à laquelle il ne croit pas vraiment, il amène Rild l'assassin à devenir le premier et le vrai "Eveillé". J'aime la façon dont Sam, pour "effacer" des souvenirs de prêtres safran, souvenirs qui ne devront pas apparaitre lors du sondage sur les machines à Kharma, choisit de présenter l'esthétisme comme valeur primordiale au sein de la vacuité, de l'illusion du réel, démontrant ainsi que la réalité de chacun n'est pas la même que celle des autres.
Il y a un peu d'humour dans ce Seigneur de Lumière, et certains paradoxes bien ciblés peuvent faire naitre une certaine ironie dans l'esprit du lecteur : par exemple, Nirriti, ancien aumônier, choisissant de représenter la religion catholique, marche à la guerre à la tête d'une armée de zombies (pour une religion "de la résurrection", ça me parait un comble !). Ou encore, et bien sur, pour mener à bien sa destruction du panthéon, Sam choisit d'incarner la "religion" la plus inattendue : le bouddhisme.
Mais Seigneur de Lumière, ce n'est pas que des dialogues bien sentis ou des blablas mystiques ; les scènes de combats sont magnifiques, il y a des morts, des vols, des possessions, des exécutions, des factions secrètes, et une ligne téléphonique directe vers Brahma, qui ne peut être qu'un homme (car si ceux qui jouent aux dieux sont interchangeables, ce qu'ils représentent est en revanche immuable).
Bref, Seigneur de Lumière est un texte magnifique qui nous donne envie de mieux connaitre l'hindouisme et son panthéon. Plutôt accessible pour un Zelazny (qui n'est pas un auteur facile, loin s'en faut !), les "incipits" des 7 chapitres de cette histoire permettent d'amorcer le contenu du chapitre qui va suivre et de se positionner "dans le temps" (certains chapitres relatent la lutte menée par Sam avant son exécution, les autres évoquent les actions menées après que Yama, Ratki et Tak la Lance étincelante (personnage magnifique !) l'ont ramené du nuage électro-magnétique). Et puis, c'est un livre qui "nourrit", qui amène à réfléchir parfois, qui nous rappelle que chacun, à sa propre échelle, doit faire ses propres choix et en assumer les conséquences. Et aussi, que le merveilleux est en ce monde. "Mais regardez autour de vous... La Mort et la Lumière sont partout éternellement, et elles commencent, finissent, luttent, veillent dans le Rêve de l'Etre Sans Nom qu'est le monde, mots brûlants en le Samsara, pour créer peut-être de la beauté."
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il faut sans doute être féru de mythologie hindoue pour tout comprendre , qui plus est les réincarnations artificielles, la terre à plusieurs lunes , etc , n'aident pas vraiment à cerner tout ça .
Mais ça se laisse lire agréablement.
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C’est de la Science-Fantasy : c’est même à la fois très Science Fiction et très Fantasy. Une fois qu’on a compris de quoi il retournait, c’est vraiment très plaisant que de glisser de la SF à la Fantasy et vice-versa, ainsi les Yakashas sont-ils de véritables démons où une forme de vie autochtone alien ?
Les deux lectures sont possibles d’ailleurs dans ce Planet Opera qui relit magistralement l’hindouisme et le bouddhisme, car la technologie peut-être indiscernable de la magie aux yeux des profanes, et l’illusion est bien maintenue dans une sacrée bonne partie du roman. D’ailleurs le personnage principal ne se prive parfois pas de brouiller les cartes.
Cela a été écrit en 1967, mais c’est plus moderne, et à la fois plus frais et plus profond que bien des trucs sortis ces dernières années.

C’est aussi fort agréable de découvrir derrière le masque des divinités hindoues des psioniques surpuissants se faisant passer pour des dieux mais qui étaient autrefois de simples humains partis à la conquête des étoiles (Nirriti le Noir, aumônier de l'Étoile de l'Inde, se retrouve à la tête d'une armée de zombis totalement soumis qui s'agenouillent à la moindre occasion pour l'accompagner dans la prière). Le pouvoir infini corrompt infiniment et ces faux dieux infiniment puissants et infiniment corrompus nous offrent aussi une plongée dans les profondeurs de nos egos respectifs, à l’image du Francis Sandow de "L’Île des Morts" et du "Sérum de la Déesse Bleue" du même auteur qui nous expliquait que pour obtenir des pouvoirs divins il faut se prendre pour un dieu.

Comme Dilvish, Corwin, Merlin, Kai Wren et même Snuff le chien, Mahasamatman, « Sam » pour ses amis, est un héros ambigu mais profondément humaniste, ici doté en plus d’une farouche volonté d’éradiquer un système injuste. Ce demi-dieu rebelle, ce Prométhée moderne va une nouvelle fois affronter ses pairs, pour aider l’humanité en menant cette fois-ci une révolution sociale inspirée du bouddhisme.
Et on retrouve donc avec plaisir un Dallas Fantasy avec ce panthéon hindou où chacun possède ses amitiés et ses inimitiés, ses amours et ses haines… d’où une longue lutte faite d’intrigues retorses, d'alliances contre-nature, de trahisons en veux en voilà et de batailles dantesque entre super-héros cosmiques à grands coup d’Attributs (ADM portatives) ! Bref l’épique côtoie l’éthique grâce au style original et quasi inimitable de Roger Zelazny.

Attention toutefois à la narration sophistiquée car il y a 3 trames temporelles bien distinctes dans le roman et l’auteur ne prévient pas quand il passe de l’une à l’autre : grosso modo : le monde d’avant, la 1ère rébellion de Sam, la 2e rébellion de Sam. On peut suivre la narration de l’auteur mais pour ceux que cela pourrait rebuter, on peut aussi suivre les chapitres dans l’ordre chronologique du récit : 2, 3, 4, 5, 6, 1, 7.
Le style ne fait pas trop dans la fioriture en dépit de nombreuses citations et références orientales. Et c’est tant mieux car sinon l’imagination débordante de l’auteur serait inabordable, lui qui déjà ne réussit pas toujours à extirper une vision bien claire de son imaginaire. Mine de rien les pages se tournent sans que l’on s’en rende compte tant on a envie de savoir comment Sam va s’en sortir…

Et encore une fois (ou plutôt déjà à l’époque !) un énorme subtext progressiste :
- hier comme aujourd’hui élite surpuissante mais enfermée dans ses tours d’ivoire dirige la destinée de peuples à la limite la misère
- en transférant leur psyché d’un corps artificiel à un autre, les colons acquiert l’immortalité et conservent indéfiniment leurs position dominante
(Dans notre monde réel, on parle désormais d’allongement de la vie à 150 ans, mais à un prix prohibitif qui le réserverait aux plus riches…)
Et dans le processus ils acquièrent des pouvoirs psioniques surpuissants en accord avec leur personnalité souvent narcissiques… (Sam l’Enchaîneur domine l’électromagnétisme, Kubera peut insuffler des émotions aux objets inanimés, Yama & Kali peuvent tuer d’un seul regard les pékins moyens)
- on accorde la grâce de la réincarnation à ses adorateurs les plus courtisans : quiconque n'a pas le bon karma, c.a.d. ne se conforme pas aveuglément et servilement au système, est réincarné en animal
Bref le conformisme le plus stupide et la courtisanerie la plus éhontée se marient bien pour faire office d’erzatz d’ascenseur social
- pour se préserver d’une éventuelle concurrence toute forme de technologie utile est condamnée sans une once de pitié y compris dans le domaine des WC…
- on maintient ainsi les peuples dans l’ignorance pour mieux préserver sa position, comme le font les dictateurs de tous les lieux et de toutes les époques (C’est d’ailleurs la principale thématique du final de l’adaptation animée de "Valérian & Laureline", véritable chaînon manquant entre "Doctor Who" et "Star Wars")
Bref pour qu’une vie meilleure s'installe chez les humains, il faut faire choir de son piédestal des élites qui verrouillent toujours le système dont elles profitent éhontément. Mais ce n’est vraiment pas une mince affaire !


En 1979 était prévue une adaptation cinématographique avec Jack Kirby « The King of Comics » ("Captain America", "X-Men", "Fantastic Four", "Hulk", "Thor", "Avengers", "X-Men"…) comme conseiller artistique. Comment cela aurait pu grave le faire !!!
Et pour être complet, sachez que ce film mort-né a été récupéré par la CIA comme couverture pour infiltrer l’Iran en plein révolution islamique pour trouver en marge du zozogate une solution à des expatriés américains en fâcheuse posture. D’ailleurs cette histoire est devenue le film "Argo".


En conclusion 4,5 étoiles arrondies à 5 étoiles, car on suit la quête d’un dieu progressiste qui se lance dans une théomachie à plusieurs temps pour rompre les chaînes d’une humanité asservie aux caprices d’une élite narcissique. Ce "Seigneur de Lumière" est vraiment brillant : arrivé au dénouement on ressent un terrible sentiment de manque. Pourquoi le roman ne fait pas 200 ou 300 pages de plus ? (mais j’ai lu que le prescripteur d'opinion nebalestuncon (sic) parlait d’expérimentation littéraire datée, d’emphase, d’ennui, de manque de fond, d’un écrivain surestimé… tous les goûts sont dans la nature mais mdr quand même).
On retrouve "Seigneur de Lumière" dans l’anthologie "Seigneurs de Lumière", une petite bible Zelazny à posséder absolument, merci bien Lunes d’Encre !
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Roger Zelazny mêle habilement l'anticipation et la mythologie indienne. Dans le futur, des colons ont quitté la Terre pour un nouveau monde où ils ont la possibilité, grâce à une technologie, de changer de corps tout en conservant le même esprit. Les premiers d'entre eux ont développé des aptitudes surhumaines et se sont faits passer, auprès de la population, pour des dieux ; d'ailleurs, ils ont emprunté à la mythologie hindouiste leurs noms divins. Cependant, l'un d'eux, Sam, tel un bouddha de S.F., veut mettre fin à cette domination.
Zelazny crée un roman d'un intérêt remarquable, s'appuyant sur une connaissance élevée des principes de la mythologie hindoue et du bouddhisme. Derrière les batailles et les dieux, des idéologies et une réflexion sur le pouvoir politique, voire théocratique. L'art de la narration n'est pas en reste : Seigneur de lumière est un roman riche et mouvementé, et finalement passionnant.
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