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Le sujet : Gaelle et Romain, couple aisé parents de deux grands enfants, vont accueillir Wajdi, qui vient du Yémen. Quelques années plus tôt, ils ont découvert ce pays, et ne peuvent rester sans agir quand ils découvrent le sort de nombreux enfants orphelins.

Le style : Bande dessinée au trait fin, aux belles couleurs, et aux nombreux détails. On retrouve (avec grand plaisir pour ma part) le dessin de Zidrou pour les personnages, particulièrement expressifs. Les deux albums sont très agréables à lire.

Et la couverture alors ? Magnifique dessin de couverture, qui dit beaucoup sur l'histoire, mais on le découvre seulement à la lecture. Je me souviens de la couverture du premier album du premier cycle, qui m'avait donné envie de lire cette BD. Si je ne connaissais pas déjà cette série, j'aurais très probablement eu la même envie.

L'histoire alors ? Ce premier tome se concentre sur l'arrivée de Wajdi dans la famille qui doit l'accueillir. On y découvre le couple, les enfants, les rapports des uns aux autres et la place qu'il sera faite à Wajdi. Et on découvre aussi que l'adoption ici n'a pas été menée dans le bon objectif visiblement. le couple a semble t-il oublié une importante dimension dans l'accueil d'un enfant « de la guerre » : il a vécu la guerre ! A partir de là, les difficultés vont se multiplier.
L'adoption peut prendre de nombreuses formes et chaque accueil d'enfant est différent. Dans cet album, plein de sensibilité, les auteurs nous montrent clairement qu'il est difficile de faire entrer dans sa famille déjà bien installée un enfant différent, qui ne parle pas la langue, et qui amène avec lui ses traumatismes. Et cela nous montre aussi que l'attachement n'est pas automatique, qu'il demande un cheminement de toute part, et parfois très compliqué.

En conclusion, j'ai été particulièrement touché par ce premier volume du second cycle. La lecture m'a fait éprouver différents sentiments, même un peu de colère parfois, et surtout beaucoup de peine pour le petit Wajdi. La fin est particulièrement éprouvante. Les auteurs ont su raconter cette histoire sans parti pris ni faux semblants, et c'est à mon sens une grande réussite. J'étais très heureuse de pouvoir enchainer par le second tome, pour lequel j'espérais une fin plus optimiste. (Voir mon commentaire pour le second tome).

Pourquoi ce livre ? Proposé par Babelio et Bamboo Edition, j'ai eu le grand plaisir de recevoir les deux tomes du cycle avant même la sortie du second. Un très grand merci donc à l'équipe Babelio et aux éditions Bamboo, collection grand angle, pour leur confiance.
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En recevant ce deuxième cycle de "L'adoption", j'avoue que j'avais un peu peur. le premier cycle m'avait tellement plu et ému, comment allaient-ils pouvoir écrire une nouvelle histoire qui me toucherait autant ? Pas possible, me disais-je ! Et bien si, ils l'ont fait.

Dans ce deuxième cycle, c'est une adoption bien différente que nous suivons, puisque qu'un couple de quarantenaires adopte un jeune garçon de 10 ans qui vient du Yémen. Il a connu la guerre, qu'il a dû fuir en marchant des milliers de kilomètres. Il a vu son père mourir, sa mère et sa petite soeur mourir, il a vécu dans les camps de réfugiés, bref : déjà beaucoup de vécu pour un enfant de 10 ans. Et surtout, de quoi vous laisser quelques traumatismes.

Ces informations sur Wajdi (le petit garçon), on les apprend au compte-gouttes, vraiment au fur et à mesure d'un dialogue puis d'un autre. Tout ceci rend ce petit garçon attachant. Ses cauchemars, sa réticence à vouloir se rapprocher de cette nouvelle famille, sa culpabilité vis à vis de sa "vraie" famille, avec ses visions de sa petite soeur qui devrait elle aussi être ici à s'amuser avec cette balançoire...

Le couple qui l'a adopté est sympathique, mais on sent vraiment qu'ils ne se rendaient pas compte dans quoi ils se lançaient. Ils n'ont aucune idée de ce que Wajdi a pu vivre, et ont presque tendance à le minimiser, malgré les avertissements de la personne en charge de l'adoption. Ils ont voulu faire une "bonne action" en adoptant un enfant venu d'un pays en guerre, mais ne se rendait pas du tout compte de la patience, du temps qui seraient nécessaires avant d'établir un lien de confiance, d'avoir droit à ce premier "bisou" dont la maman rêve temps.

Petit bémol que je donne à ce récit : on ne se rend pas trop compte de la temporalité. On ne sait pas pendant combien de temps elle attend ce fameux bisou justement. On ne se rend pas compte de combien de temps ils ont vécu avec Wajdi avant de prendre cette décision à la fin du tome.

Mais à part cela, ce tome était vraiment intéressant. Il aborde plusieurs pans de l'adoption qui ne sont pas si souvent mentionnés : adopter un enfant plus grand, adopter un enfant venu d'un pays en guerre (et qui l'a vécu), l'échec de l'adaptation dans la famille. C'est une lecture vraiment prenante et le sujet a été très bien étudié. J'ai senti la tristesse de Wajdi et dans une moindre mesure (car je ne suis pas d'accord avec sa façon de faire) celle de la maman qui ne comprend pas ce qu'elle peut faire pour arranger les choses. On la sent perdue cette maman.

Merci à l'éditeur pour l'envoi de cette BD. Ce cycle est au final une très belle découverte, avec une histoire touchante.
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J'avais acheté le premier tome à sa sortie car j'avais complètement flashé sur le personnage du petit garçon sur la couverture... Quelle bonne idée que d'écouter ses pulsions littéraires !

C'est dont très heureuse de découvrir la suite des aventures de cette famille que j'ai ouvert le premier tome du cycle 2.
Les dessins sont toujours aussi charmants, mais le récit est sombre. En tant que jeune maman je me suis projetée tout de suite dans la peau des parents et leurs désillusions suite à l'arrivée de Wajdi sont rudes à lire. C'est prenant ! On se prend vite à détester les parents d'accueil face à leur manque de patience et en même temps on comprend les difficultés de leur situation. La réflexion sur le sujet de l'adoption est vite traitée, c'est une bande dessinée, mais pas abordée non plus de manière trop superficielle, c'est savamment doser pour faire réfléchir sans pour autant ennuyer ni tomber dans le lieu commun. Là, c'est du concret !

Heureusement aussi que j'avais le tome 2 sous le coude, il est impossible de stopper cette aventure à la fin du tome 1, merci à l'éditeur d'avoir permis à mon petit coeur tout serré de se dénouer très vite !

En résumé, une lecture pas très légère mais qui ne s'oublie pas et qui fait réfléchir longtemps après la couverture refermée !
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J'avais beaucoup apprécié « L'adoption », ce diptyque créé par Zidrou et Arno Monin sur un grand-père qui se découvrait une nouvelle petite-fille péruvienne. Construit en deux tomes très différents, il avait su me séduire et m'émouvoir, porté par le dessin doux de Monin. À ma grande surprise, je suis tombé par hasard sur le deuxième tome d'un deuxième cycle. Nouvelle famille, nouvelle histoire en deux opus. C'est sans hésiter que je suis passé à la caisse. le premier ouvrage, intitulé « Wajdi », est publié chez Bamboo pour 68 pages.

Changement de famille, changement d'angle d'attaque pour ce nouveau cycle ! le nouveau couple est un couple de séniors bourgeois ayant deux enfants adultes ou presque (la jeune fille étant au lycée). Les motivations de leur adoption manquent clairement de discernement : il y a l'envie d'aider, une raison humanitaire en quelque sorte, et celle, moins avouée, de remplacer un enfant décédé. Quant à l'enfant, Wadji, c'est un garçon de 10 ans, yéménite, qui a fui la guerre et a perdu sa famille dans les combats.
Le paradigme de départ montre d'emblée les problèmes à venir. Wadji a enduré tant de souffrance qu'il est extrêmement méfiant. Toujours sur la défensive, il refuse que l'on le touche, d'enlever son manteau, etc. le traitement de ce personnage qui ne parle presque pas et particulièrement réussi. Les auteurs ne font pas la fine bouche sur l'enfant et celui-ci se montre farouche, voire violent. Cela laisse sa nouvelle famille, d'un univers très privilégié, complètement démunie. le traitement de ces derniers, dans ce premier tome, manque un peu de finesse et on n'est pas très loin de la caricature par moments (on pense à la soeur, complètement hors sol).

Malgré les réserves sur cette nouvelle galerie de personnages, il faut avouer que chacun a sa réaction propre selon ses « attentes ». Comme la couverture le montre, l'histoire se concentre sur la mère et l'enfant, mais la nouvelle soeur de Wadji a toute sa place dans le processus d'acceptation. Et comme pour le premier cycle, ce tome se termine sur un basculement, une cassure qui donne tout son sens au diptyque.

« L'adoption » doit beaucoup au dessin d'Arno Monin. D'abord, son trait est beau et doux, très agréable à regarder. Mais surtout, il apporte par la subtilité de ses expressions et par les cadrages toute la nuance essentielle à un sujet pareil. de plus, la mise en scène est toujours très intelligente, usant des cases muettes, des pages entières sans dialogue qui en disent d'autant plus. C'est vraiment un beau travail en termes de bande-dessinée, où le langage du médium est utilisé au mieux pour les besoins de l'histoire. Il n'y a jamais d'esbroufe : tout sert le propos.

On ne va pas se mentir : ce deuxième cycle démarre un cran en-dessous du premier. Les personnages, primaires ou secondaires, sont moins fins et l'humour est moins présent. Cependant, il aborde une réalité plus dure également et s'intéresse davantage à l'enfant qu'à la famille. En cela, il complète bien la thématique de l'adoption.

Lien : https://blogbrother.fr/ladop..
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Les Guitry adoptent.
Le petit Wajdi, dix ans, orphelin yéménite, source supposée intarissable d'un futur bonheur inaltérable.
Oui...mais non.
Si pour Romain, le parcours s'annonçait d'entrée de jeu clairement chaotique, pour Gaëlle, l'ombre lointaine du moindre nuage de couleur anthracite n'était même pas envisageable.
Mais c'était occulter les traumas du gamin, son cortège de fantômes et un nouveau monde dans lequel enfin trouver sa place.

Traiter d'un sujet difficile tout en usant d'une certaine légèreté, l'Adoption (cycle II) séduit sans jamais tomber dans le pathos ni la caricature.

Le scénario de Zidrou déroule un récit cohérent ultra plaisant, porté par le coup de patte aéré et expressif d'un Monin très inspiré.

L'histoire est plombante, sa lecture ne le sera jamais.
Usant de mille subterfuges visant à alléger le propos, le tout se veut une superbe entrée en matière et une puissante invitation à découvrir fissa le fin mot de ce nouvel espoir en trompe-l'oeil.

Un grand merci à Babelio ainsi qu'aux éditions GRAND ANGLE pour l'envoi de ce diptyque très réussi.
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La famille Guitry est une famille aisée De Nantes. Suite à des vacances ils décident de "rendre à la vie" et d'adopter une petit garçon yemenite, Wajdi.
Après plusieurs années et beaucoup d'argent investis dans ce projet, Wajdi arrive enfin chez eux. Cependant, le petit gaçon n'est pas comme ils l'imaginaient.

J'avais beaucoup aimé le 1er cycle s'attachant à Qineya. Plus précisémment le 1er volume mais je l'avais également trouvé déséquilibré dans son ensemble.
Pour ce 2n cycle j'ai également beaucouo aimé le 1er volume.

Les dessins sont doux, expressifs avec une colorisation très agréable.
Encore une fois, le personnage de Wajdi est très beau, touchant. Comme pour Qineya.
Le propos est intéressant, surtout dans son décalage entre la vie de Wajdi, jusqu'à présent et son arrivée en France et la façon dont il est percu par sa nouvelle famille et leur entourage.

J'espère que le 2nd volume fera équilibre avec ce 1er tome !
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Si vous avez lu le cycle 1, n'y cherchez pas une suite car ce n'est pas le cas. Nous sommes simplement face à une série qui traite de différentes situations d'adoption et celle-ci est une nouvelle histoire.

Gaëlle et Romain Guitry, couple bourgeois dont les deux enfants sont presque adultes, décident d'adopter Wajdi, Yéménite de 10 ans qui n'a jusqu'alors vécu que l'horreur de la guerre dans laquelle il a perdu ses parents et sa soeur.
Son arrivée chez les Guitry ne ressemble pas à celle qu'ils avaient imaginée : le petit Wajdi ne parle pas un mot de français, il refuse tout contact physique et ne possède pas les « bonnes manières » auxquelles les Guitry et leur entourage s'attendent.
Face à ce petit bonhomme distant, Gaëlle se retrouve vite dépassée et vient à se demander s'il ne serait pas possible d'annuler l'adoption…

Les dessins d'Arno Monin sont toujours très sympathiques, expressifs et colorés, mais je n'ai ressenti aucune empathie pour cette famille d'adoption qui recueille un enfant qui a vécu la guerre en pensant que parce qu'ils le gâteraient alors l'enfant leur apporterait uniquement joie et amour. Cette thématique abordée est intéressante et lance le débat de l'adoption comme bonne action et comme fait que l'on puisse ouvrir son foyer à un enfant comme on achèterait une plante verte avec un ticket de retour magasin en cas de défauts ou d'insatisfaction. Cette histoire est une fiction qui me file un peu froid dans le dos quand je pense que cette situation doit parfois se produire dans les cas d'adoption réels.

J'attends le tome 2 pour voir si cette famille va réussir à penser à Wajdi avant elle-même, ce petit bonhomme si tristement attachant et qui en a déjà beaucoup trop vécu pour son âge.
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Wajdi arrive dans sa famille d'adoption. Originaire du Yémen, il a, du haut de ses 10 ans, déjà perdu toute sa famille. Les Guitry l'accueillent alors que leurs propres enfants sont déjà adultes à part leur dernière qui est encore élève au lycée. Wajdi ne comprend pas encore le français et les traumatismes qu'il a vécu ont laissé des traces. Une porte qui claque, un bruit sourd, réactivent chez lui des souvenirs angoissants. Perdu, il est toujours aux aguets. Ce premier volume montre bien le décalage qu'il y a entre, d'une part, Wajdi, qui doit gérer son nouvel environnement alors que sa famille naturelle est encore très présente dans son esprit et les Guitry qui aimeraient que la magie opère tout de suite. Chacun évolue à son rythme et la déception et l'incompréhension remplacent vite la joie et l'enthousiasme du début. Jusqu'au jour où la mère de famille baisse les bras et fait part de son souhait de ne pas garder Wajdi. Elle se sent en échec et ne voit pas d'autre issue possible. Mais Wajdi l'entend et comprend la situation. Il décide alors de fuguer.
Dans ce premier volume, les auteurs montrent bien la réalité de l'adoption qui prend parfois des chemins sinueux. La réussite ne va pas de soi et n'est pas toujours au rendez-vous. Les premiers mois peuvent s'avérer être une source de déception, de part et d'autre. Il est parfois difficile de se comprendre quand les attentes ne sont pas les mêmes.
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L'histoire touchante d'une rencontre entre Wadji, orphelin yemenite de 10 ans et sa nouvelle famille. Gaëlle et Romain décident de l'accueillir chez lui, mais bientôt, les fantômes du passé vont remonter. Wadji, méfiant et hanté de ses démons, va leur donner du fil à retordre. Bien plus qu'ils ne l'auraient pensé.

Cet enfant a besoin de temps pour accepter sa nouvelle vie et sa nouvelle famille. On découvre les interrogations et les doutes de ces nouveaux parents adoptifs, on comprend la crainte de l'enfant dans ses yeux, on voit l'incompréhension chez les différentes personnes qu'il rencontre.

Un beau roman graphique sur la rencontre entre un enfant et sa nouvelle vie, sa nouvelle famille, mais surtout entre deux cultures, entre passé et présent.
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Qui dit nouveau cycle dit nouvelle histoire, nouveaux personnages mais toujours sur le même sujet : l'adoption internationale. Ici, nous faisons donc connaissance avec Gaëlle et Romain qui ont pris la décision d'accueillir chez eux Wajdi, un garçon yéménite de dix ans qui a grandi dans l'horreur de la guerre.

Gaëlle et Romain sont devenus parents très jeunes, leur fils vole de ses propres ailes au Canada pendant que leur fille, qui vit encore chez eux, est étudiante. de par leur situation professionnelle (et leurs manières), on comprend assez tôt qu'ils vivent aisément. Gaëlle et Romain ont donc les moyens et le temps d'offrir à Wajdi une vie plus épanouie. Mais s'ils s'étaient préparés à ce que Wajdi ait forcément besoin d'un temps d'adaptation, ils ne s'étaient en revanche pas imaginé que ce serait aussi difficile. Car Wajdi, qui n'a connu que la violence de la guerre, qui a vu mourir son père sous les bombardements, qui a perdu sa mère et sa petite soeur quelque part entre le Djibouti et la Lybie, est un petit garçon très en colère, qui ne supporte pas les contacts physiques, refusant même d'enlever son imperméable et sa capuche en toutes circonstances, et qui n'a qu'un seul mode de réaction : la violence. Gaëlle et Romain, totalement dépassés, en viennent à se demander s'ils n'ont pas fait une erreur...

Barrière de la langue, difficultés d'intégration et d'adaptation, violences et souffrances du passé, traumatismes et cauchemars font de Wajdi un garçon incompris, coléreux, distant, sauvage. Comment ne pas s'attacher à ce petit bonhomme qui en a déjà trop vu et trop vécu pour son âge ? Si les parents adoptifs ne m'ont pas tant touchée que ça (je les trouve quand même sacrément "prout-prout"), Wajdi m'a en revanche beaucoup émue.

La fin de ce tome est à fendre le coeur. Je n'ai plus qu'à espérer un dénouement bien plus heureux dans le volet suivant...

Côté graphisme, c'est comme pour le premier cycle : il n'y a vraiment (presque) rien à y redire. Les dessins sont très réussis, beaux, colorés, plein de vitalité, très expressifs, éloquents. J'y ai tout de même relevé une incohérence en ce qui concerne la taille de Wajdi qui, du haut de ses dix ans, arrive seulement à la taille des adultes. À moins que ces derniers soient tous très grands et Wajdi petit pour son âge, ce n'est pas cohérent à mon sens. Normalement, on n'a pas besoin de s'accroupir devant un enfant de dix ans pour être à sa hauteur...

Aussi, j'ai apprécié le petit clin d'oeil fait en la personne de Mama Boubou et de son restaurant "Le Sénégal", lieu où les "Gégés" du premier cycle ont pour habitude de se retrouver, de manger et de refaire le monde.

Reçu et lu dans le cadre d'une masse critique privilégiée, je remercie Déborah de Babelio pour la sélection et les éditions Bamboo pour l'envoi de ce très bel et touchant ouvrage.
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