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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Port d'Anvers, novembre 1955. Un cargo, transportant des animaux à plumes ou à poils, a connu une terrible avarie en pleine mer. Aussi, les animaux qu'il transportait ont-ils, pour l'ensemble, très mal supporté cette halte forcée sous 40° à l'ombre, délaissés par l'équipage. La plupart sont morts, de faim ou de soif, et une puanteur insoutenable a envahi les soutes. Seuls les fauves semblent avoir survécu en se nourrissant des autres animaux ainsi qu'un autre animal au pelage jaune tacheté de noir et à la queue aussi longue qu'un tuyau d'arrosage. Ce dernier ne s'est jamais laissé approcher par les humains au cours du voyage. Aussi, lorsqu'il voit débarquer ces hommes en costume, il réussit à les neutraliser avant de s'enfuir...
À Bruxelles, le jeune François van den Bosche, fruit d'une union entre une mère française et un soldat allemand, aujourd'hui envolé, est sans cesse raillé et tiraillé par ses camarades de classe. Heureusement, il trouve du réconfort auprès de ses animaux qu'il recueille abandonnés ou blessés. Un jour, il va en découvrir un absolument extraordinaire...

Zidrou revisite et remet en scène le célèbre marsupial crée par Franquin pour notre immense plaisir ! Mais, attention, le marsupilami, mélange d'ours, de singe et de koala, n'est pas tout à fait le même et n'est pas aussi gentil. Victime de trafic d'animaux exotiques par des hommes peu scrupuleux, le voilà débarqué en Belgique. Heureusement, sur sa route, il croisera un jeune garçon qui le prendra, comme bon nombre de ses comparses, sous son aile. Premier tome d'une duologie, cet album nous propose un scénario tout à la fois cruel, beau, tendre et amusant. Aux scènes de violence, faite aussi bien sur les animaux que sur le jeune François, s'oppose toute l'empathie et la gentillesse que ce dernier éprouve pour tous les animaux abandonnés. Les personnages, du professeur Boniface en passant par Jeanne et son fils, sont terriblement attachants. Graphiquement, Franck nous régale de ses magnifiques planches au trait réaliste et poétique. La palette de couleurs, un brin rétro, sied parfaitement à ce scénario nostalgique...
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Houba! Houba! Hop!*

Le Marsu, version 2.0, est bien loin des souvenirs enfantins que j'en avais, dévorant alors les aventures de Spirou et Fantasio comme on boulotte des krémas.

Le ton se veut ici beaucoup plus sombre.
À la limite de la tragédie.

De le retrouver en terrain hostile, loin de son habitat naturel, capturé par l'humain qui ne lui veut pas que du bien.
Parallèlement et de façon presque mimétique, nous découvrons François, tout jeune bambin aux faux airs de Noé n'aimant rien moins que sauver tout animal en péril.
Tout comme notre marsupial préféré, François évolue également en territoire inconnu.
Souffre-douleur de quelques abrutis, sa maman et ses animaux sont ses seuls repères.
Deux solitudes, deux coeurs en peine que le destin, visiblement dans ses bons jours, allait se faire fort de réunir.

Franck Pé est saisissant.
Son coup de patte précis et vivant, majoritairement sombre, annonciateur de futurs tourments, est un enchantement visuel.
Zidrou au scénario est, à mes yeux de néo-presbyte, un gage de qualité indéniable.

Ce duo, sorte de yin et yang de la bd, parvient à retranscrire un tel niveau d'émotion que cela en devient presque surréaliste.
Le récit au cordeau, expurgé de toute narration superfétatoire, assorti de ce graphisme qui vous porte et vous émeut tout du long, fait juste un sans-faute sur le fond et la forme.
Ah si, seul bémol, le fait qu'il faille attendre un certain temps, à défaut d'un temps certain, avant de pouvoir retrouver cette faune vibrante qui me manque déjà.

* Excellentissime et pis c'est tout !
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Une ambiance aux antipodes des albums de Spirou et Fantasio, avec un côté très sombre, un marsupilami pas du tout drôle et craquant. Mais c'est vraiment bien quand même.
C'est presque glauque à l'ouverture, c'est la tempête sur le port d'Anvers, il y a de la noirceur dans le dessin et dans les cales du navire ça pue, les cadavres des animaux morts à cause d'une avarie en haute mer sont bien sinistres, et la silhouette du marsupilami plutôt effrayante.
Pour le jeune héros, Franz/François, ce n'est pas non plus la vie belle et facile.
Dans la Bruxelles des années 50, être le fils d'un soldat allemand, ce n'est pas tous les jours marrant.
Je ne dis pas qu'il n'y a pas des touches d'humour, un fond très tendre, et l'espoir que les choses vont bien s'arranger pour le héros et sa maman. Je trouve même que la belle palette d'émotions de cet album est un des points forts de sa réussite.
Et je suis complètement séduite par les dessins de Frank Pé, au sommet de son art.
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Port d'Anvers (Belgique).
Fin novembre 1955.

Le bateau qui vient d'accoster a connu une avarie en pleine mer. Une partie de son chargement a connu bien des misères. Les très nombreux animaux qu'il transportait dans sa calle sont morts. La puanteur est phénoménale à cause de tous ces cadavres en décomposition. Tous les animaux sont morts ? Tous ? Non ! Un animal d'une férocité redoutable a survécu… Une bête indescriptible. Singe ? Léopard ? Ours ? Un croisement improbablement entre espèces ? A coup sûr, un MONSTRE…

Critique :

Le Marsupilami tel que vous ne l'avez jamais vu ! Fini, le gentil et comique marsupial destiné à faire rire les enfants ! Tremblez jeunes gens ! Evanouissez-vous jeunes filles ! Une bête dangereuse, incontrôlable, s'est échappée.

Et qui va la recueillir ? Un marmot qui ne cesse de ramener chez lui toutes les bestioles à plumes ou à poils qu'il rencontre et qui sont souffrantes, blessées, ou trop vieilles et condamnées à l'abattoir. François. Il s'appelle François. François van Den Bosche, un nom tout ce qu'il y a de plus belge. Belge ? Vraiment ? Vous êtes sûrs ? Alors, pourquoi ses charmants compagnons, dont le premier de classe, l'appellent-ils van le Boche ? pourquoi est-il le souffre-douleur de trois de ses très estimés compagnons de classe ?

Il faut que je vous avoue que sa mère a commis, vers la fin de la guerre, l'irréparable. Elle a aimé un soldat allemand ! Un sale Boche ! Depuis, elle est considérée par les bonnes âmes comme un être impur. N'est-elle pas mère-célibataire ? Et qui c'est que c'est qui a semé la petite graine, hmm ? Une moins que rien ! Tout le monde le sait ! Cette petite dévergondée et son mioche ne méritent pas de…

Pour gagner modestement sa vie et nourrir son fils, elle vend des moules au Marché au Poisson.

Vous en raconter davantage serait criminel, alors affrontons courageusement, les femmes et les enfants d'abord, tous ceux qui vont vomir cette bande dessinée. Leurs arguments ne manqueront pas : « Quelle trahison ! Comment est-ce possible ? Que fait l'ONU ? Pourquoi l'OTAN ne bouge pas ? Virez le gouvernement ! Et le Pape ? Pourquoi il ne dit rien, le Pape ? Encore un coup des islamo-gauchistes d'extrême-droite ! Comment a-t-on pu transformer le gentil Houba ! Houba ! Marsupilami, en être démoniaque qui fait peur aux enfants (et à beaucoup de grands) ? Qu'est-ce que donc que ce langage peuplé d'astérisques qui renvoient à des sous-titres parce que l'auteur recourt à une langue barbare ? Pourquoi autant de cases sans le moindre dialogue ? Qu'est-ce que ce format débile si éloigné du véritable format BD franco-belge ? Et ces couleurs ! Non, mais ! Vous avez vu ça ? Des bruns… Des gris… Des marrons ! Beurk ! Beurk ! Beurk ! »

Je ne suis pas payé pour défendre les auteurs, mais, ne tirez pas ! Moi, j'ai adoré ! D'abord, ce langage barbare, c'est du bruxellois ! Quand j'étais enfant (c'était il y a quelques décennies) tous les enfants et une majorité d'adultes s'exprimaient ainsi « en français » à Bruxelles. (Répétez après moi : Brusssselles et pas BruXXXXelles !) Zidrou a rendu crédible une histoire qui se déroule essentiellement en Belgique, et plus particulièrement à Bruxelles au milieu des années cinquante.

Le format, peu pratique, il est vrai, pour le glisser dans sa bibliothèque aux côtés d'autres BD est celui qui a semblé graphiquement le mieux adapté à l'oeuvre originale que Zidrou et Frank Pé ont réalisée. de temps à autres, il y a de très grandes cases avec des dialogues minimalistes… Mais à quoi bon causer quand l'image est tellement forte qu'elle se suffit à elle-même ? Les premières planches sont dignes des films les plus noirs avec cette pluie, la nuit, qui, rien qu'à la vue des images, vous donne froid dans le dos et vous transperce comme le fait la pluie glaciale d'automne qui annonce l'arrivée de l'hiver. C'est glauque… Parce que l'histoire est glauque ! Tant le sort de ces animaux que celui du marsupilami dont on continue de tout ignorer, que celui de ce garçon et de sa maman, abandonnés à leur triste sort. Pourtant, en dehors de François et de sa mouma, il y a d'autres personnages lumineux dans ce récit… Heu… Aurais-je vraiment mis « personnages » au pluriel ? Ah ! Veuillez m'excuser… le « s » est en trop ! Il y a un personnage d'une rare gentillesse dans ce monde de brutes : monsieur Boniface, l'instituteur de François. Il est … Heu… C'est sa vie privée, si vous voulez en savoir plus, lisez « LA BÊTE » !

Frank Pé a un rare talent pour la caricature, les expressions du visage. C'est tout simplement exceptionnel et les couleurs me semblent très bien adaptées au contexte historique et sombre du récit.

Beaucoup ne partageront pas mon avis, je m'en fous, j'ai adoré et j'attends une suite car l'histoire se termine sans se terminer et il semble clair qu'il y aura un « à-suivre » puisque les auteurs ont jugé bon de préciser « Fin de l'épisode » !
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Une très belle histoire entre un petit garçon martyrisé par ses camarades de classe et une bête non identifiée, qu'il a trouvée agonisante.
L'histoire se passe à Bruxelles en 1955 et l'ambiance de l'époque est très bien décrite.
Le marsupilami devient ici une créature mystérieuse, effrayante mais très touchante, et le personnage du petit garçon qui recueille sans cesse des animaux blessés chez lui est adorable.
Une bande dessinée forte en émotions, avec des dessins magnifiques et une intrigue qui tient en haleine.
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A l'instant où j'ai vu que cette BD était disponible sur le site NetGalley j'ai eu envie de la lire , en passant je remercie le site et les éditions Dupuis pour la rapidité de la réponse .
J'en reviens à l'essentiel , ce roman graphique qui revisite l'histoire du Marsupilami créé par Franquin , j'ai envie de dire ' notre ' marsupilami , tellement cet animal fait partie de l'histoire belge , j'en avais un quand j'étais petite , pour être exacte , il appartenait à ma soeur aînée et était en plastique , années 70 oblige .
Le début de l'histoire est comme dans les BD de Franquin , des animaux arrivent en bateau pour rejoindre un zoo , rappel de cette époque terrible où les zoos recevaient des animaux venus de contrées lointaines dans des conditions épouvantables.
Un étrange animal apparaît , un étrange singe avec la particularité d'avoir une immense queue jaune , nous lecteurs nous savons qui il est .
Mais pas celui que l'on connaît , il s'agit d'un animal agressif , apeuré qui se méfie des hommes jusqu'à sa rencontre avec un petit garçon François ou Franck , car ce petit garçon a un papa allemand et subit moqueries , brimades de la part des autres enfants .
Il y a un tout petit peu de douceur dans cet univers très sombre , on peut voir avec beaucoup d'émotions le regard plein d'espoir de François quand il s'occupe du marsupilami ou des autres animaux qui habitent chez lui , c'est une véritable ménagerie mais où les animaux sont aimés comme des membres de la famille .
La famille n'est pas bien grande , la mère et le fils , il y a l'instituteur bienveillant qui est amoureux de la maman qui on le devine va jouer un grand rôle .
Une fin dramatique pour ce premier tome avec une belle lueur d'espoir .
J'attends la suite avec impatience , je suis heureuse de voir la nouvelle génération qui ose prendre des risques , je remercie les auteurs pour ce bonheur de lecture , ce pari osé mais réussi.
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Alors là, si un jour on m'avait dit que je dirais ce qui va suivre d'un album du Marsupilami franchement je n'y aurais pas cru…
Un vrai coup de coeur, une merveille à la fois au niveau du scénario qui m'a entièrement aspiré dans son histoire et au niveau des illustrations qui m'ont bluffé au point parfois de rester un long moment à admirer certains dessins.
Nous sommes ne Belgique, au milieu des années 50, un cargo arrive avec à son bord des animaux « exotiques » pour fournir les zoos du royaume. Peu auront survécu à la traversée. Un animal, ressemblant à un singe s'échappe, il est jaune et possède une queue démesurée.
Au même moment, nous découvrons François, un jeune garçon qui vit seul avec sa maman. Dans leur petite maison, ils vivent entourés d'animaux blessés, abandonnés que récupère ce petit garçon. Comme eux, il se sent rejeté car il est le fruit de l'union de sa mère avec un soldat allemand retourné au pays. Dans cette vie de rejet, de repli sur soi, la seule lumière humaine est Monsieur Boniface, le professeur de François, sensible au charme de sa maman, un peu gauche, il est attendrissant.
La bête, ce titre, à lui seul résume la vision qu'ont Pé et Zidrou du Marsupilami avec lequel ils rendent hommage à Franquin. Un animal sauvage, musculeux, menacé mais au sein duquel, nous nous rendons compte que cette agressivité et en réaction aux traitements humains subis. Mais c'est aussi cette vision qui m'a complétement séduit.
Je remercie grandement Netgalley France, les éditions Dupuis et les auteurs pour ce magnifique album. J'ai lu le service presse en numérique mais je ne manquerai pas de m'offrir cet album et celui qui suivra car je ne peux imaginer une bibliothèque d'un amateur du 9ème art sans cet ouvrage.
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Qui ne connaît pas le marsupilami, cet animal facétieux s'exprimant par des « houba, houba » et délivrant des coups de poing bien senti à des gens qui l'indisposent ! Cette magnifique BD lui rend hommage mais l'histoire racontée est bien sombre et le marsupilami décrit ici bien sauvage et désespéré.

L'intrigue commence à Bruxelles dans les années 50 et un jeune garçon –François- qui vit seul avec sa mère, ostracisé par ses camarades de classe car il est le fruit d'un amour coupable entre sa mère et un allemand, a l'habitude de recueillir des animaux abandonnés, le dernier en date étant un marcassin. Quand il découvre le marsupilami, celui-ci est agonisant, à moitié mort de faim, il a été arraché à sa jungle, transporté dans des conditions épouvantables dans un bateau dont il s'est échappé en arrivant à Anvers. C'est une bête méfiante, se sentant traqué et qui a du mal à comprendre les intentions de ce jeune garçon qui s'attache à lui. Et veut le montrer à sa classe… Cette initiative déclenche une série de représailles violentes contre la bête, contre François ; et nous laisse sur notre faim car il s'agit d'un premier tome. J'attends avec impatience la suite.
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Alors que sa soute est remplie d'animaux en tout genre, qui sont le fruit du braconnage, un cargo tombe en rade, 21 jours durant, au large des côtes brésiliennes. Lorsqu'il arrive enfin à rejoindre le port d'Anvers, toute la cargaison a péri, à l'exception de deux panthères et d'un étrange marsupial au pelage jaune tâcheté de noir et à la queue aussi longue qu'un tuyau d'arrosage… Celui-ci parvient à s'enfuir et est recueilli, à moitié mort de faim, par François, jeune garçon de huit ans qui a fait de sa maison le refuge favori de tous les animaux estropiés des environs! Mais l'arrivée de “Lange Staart” (longue queue) dans cette petite ville de la banlieue bruxelloise va bouleverser l'ordre établi et susciter bien des inquiétudes…

Quel plaisir de retrouver le Marsupilami, cette fabuleuse créature imaginée par Franquin et qui a bercé mon enfance au son des “Houba houba”! Comme beaucoup d'enfants j'imagine, j'ai longtemps été fascinée par cette créature aux airs de peluche mais qui cache une force surhumaine et prête à tout pour défendre et aider sa famille et ses amis. Avec cette nouvelle adaptation proposée par Zidrou et Frank Pé, terminées les joyeuses facéties, on découvre ici un Marsupilami sauvage, arraché à son habitat naturel et rendu méfiant par la cruauté des hommes. C'est indéniablement plus sombre, plus adulte et, pour mon plus grand plaisir, j'ai eu l'impression que le personnage avait évolué en même temps que moi!

Entre le Marsupilami et François, né d'une mère belge et d'un père allemand dans un contexte post-seconde guerre mondiale, c'est la rencontre de deux solitudes, deux coeurs meurtris par la violence des hommes. L'alchimie est immédiate. C'est tendre, touchant, dénué de tout préjugé et de toute crainte et, malgré une atmosphère plutôt pesante, c'est ce qui ressort de cette lecture. Zidrou joue à merveille sur le registre de l'émotion, nous offrant une histoire incroyablement immersive et que l'on ne quitte qu'à regrets!

Par ailleurs, la bande dessinée est superbement illustrée par Frank Pé, qui parvient à créer une atmosphère pleine de tension et de menaces, tout en préservant le côté rétro et nostalgique de l'histoire. Les personnages sont extrêmement expressifs, les couleurs ont perdu le clinquant de la version originale pour déballer la palette de jaune, de beige et de marron, offrant une ambiance plus réaliste au scénario. Bref, j'ai été conquise par ce premier volume qui redonne vie à un personnage culte de mon enfance et qui le fait avec brio! J'attends la suite avec impatience!
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Un écolier harcelé par ses camarades, parce qu'il a un nom allemand, que c'est après-guerre et que sa mère... D'ailleurs son Instit a le béguin pour elle. La meilleure compagnie qu'il trouve est celle des animaux qu'il recueille et qui ont tous une particularité comme ce cheval alcoolique qui font rire le lecteur. Et un jour, il découvre un marsupilami...
De magnifiques planches aux couleurs chaudes de l'époque. Vivement la suite...
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