Tome 19 avant dernier cette fois ci
Zola s'attaque au sujet de la guerre.
La terrible guerre où les hommes souffrent plus de la faim, des conditions de vie, de la fuite que du combat.
Zola met en évidence à nouveau la bêtise humaine même en traitant d'un thème aussi noble que la guerre en ce temps. Toujours le même art pour décrire la bassesse humaine pour laquelle nous compatissons pourtant cette fois, en lisant le désespoir de ces soldats qui tentent de survivre.
On suit en fil rouge une histoire de Rougon Maquart, celle de Jean, brave paysan connu dans "la terre" qui, ne sachant plus que faire de sa carcasse encombrante s'est enrôlé dans l'armée en espérant y trouver du réconfort et un sens à son existence.
Ce qu'il trouve au milieu de l'horreur, la faim, la défaite... fraternisant avec Maurice ce bourgeois, mais la guerre supprime les classes sociales. Encore une tome que j'admire, l'art de
Zola toujours aussi présent et impressionnant même si les romans de guerres ne sont pas mes préférés..