C’est donc ici que se termine le combat contre Jiren et, ma foi, la fin de ce combat est surprenante et rafraîchissante. Je ne m’y en attendait pas et ça m’a permis de me raccrocher à l’envie de continuer la suite de la lecture. La profondeur que le personnage de Freezer acquiert rend celui-ci vraiment intéressant. Il serait bien de le revoir plus tard dans la série.



Après le tournoi du meilleur univers, nos héros vont retrouver un autre gros méchant très puissant. La fin du tome se fait sur une première rencontre entre Goku, Végéta et celui appelé Moro. La dernière case laisse présager un début de tome 10 assez plaisant à lire et on saisira – on l’espère – la portée de la puissance de Moro.

Il s'agit du tome 2 de Dragonball Super. Je n'ai pas ru l'occasion de lire le tome 1. Je me suis donc plongé dans ce tome qui nous propose de nombreux combats au sein d'un tournoi.



Je n'ai pas une grande expérience des mangas. Je suis lecteur de Jiro Tanigushi et j'ai adoré plusieurs de ses livres. Mais c'est un univers particulier, différent de ce que j'ai découvert dans Dragonball Super. J'ai retrouvé le sens de lecture d'autres mangas et il a fallu que je m'habitue à ce sens de lecture.



Ce volume propose une suite de combat dans ce qui semble être une tradition de ce genre de manga. Les personnages peuvent avoir des super pouvoirs et les mobiliser pour gagner tel ou tel combat. Il peut y avoir des touches d'humour.



Le graphisme est représentatif du style manga, avec les onomatopées pour la violence des combats mais aussi des traits pour indiquer le mouvement et la vitesse.



Vous l'aurez compris, je n'ai pas accroché mais j'essaierai de relire une autre production de Akira Toriyama. Je sais qu'il est le créateur de Dragon Ball et qu'il est considéré comme un des plus grand mangakas. Je vais donc chercher d'autres productions où il fut le dessinateur et pas seulement le scénariste car je déteste rester sur une mauvaise impression.



Auteur donc à retrouver dans un autre contexte.

Un bon tome, vraiment. L'un des meilleurs jusqu'à maintenant. Des combats, des combats, des combats. Au fur et à mesure du tome, il ne reste plus beaucoup de guerriers.



Le problème que pose Jiren est intéressant. Goku semble être à bout de ressources et nous avons le droit à une leçon de morale lumineuse de Tortue Géniale – appelé Papi ou Kamé Sennin dans le livre. Vraiment, ce bout du tome est un coup de coeur. On voit Goku se remettre en question et, honnêtement, s'est refraîchissant. Un gros plus à ce tome pour cela.



La fin du tome nous laisse entrevoir un combat épique dans le tome 9. Mais, on va réfréner notre excitation pour ne pas être déçu comme on l'a été avec le début du tome 5 après une fin de tome 4 épique.

C'est ici que le tournoi commence. Les scènes de combat sont enlevantes et on se prend rapidement à vouloir connaître le sort de chacun des combattants. La présence de Freezer est à la fois maléfique, mais rafraichissante. Il n'est pas soumis aux mêmes règles morales que les autres protagonistes, ce qui rend ses coups sournois agréablement plaisants à voir.



Jiren va poser un gros problème à Goku et je suis curieux de savoir si celui-ci sera en mesure de trouver la solution par lui-même ou il y aura une nouvelle solution magique.



Le caractère de Beerus est de plus en plus drôle. Le fait qu'il se trompe constamment dans le nom de Krilin et les expressions faciales de celui-ci sont des bijoux.



Un bon tome dans l'ensemble qui nous fait retrouver le goût de poursuivre l'aventure après deux tomes moins alléchants.

Goku se met les pieds dans les plats rapidement en proposant un tournoi entre les univers. Le gagnant de ce tournoi permettra à son univers de survivre alors que les autres disparaîtront. Les réactions de Beerus réprimandant Goku sont très drôles.



C'est ensuite la recherche des dix meilleurs guerriers dans chaque univers. On voit des combattants intéressants qui laissent présager un tournoi difficile pour nos héros. Le plus intéressant de ce tome est la fin alors qu'on retrouve avec plaisir des personnages de la série originelle. Il y en a un qui occupe un emploi particulièrement inattendu alors qu'un autre représente une énorme surprise. Mais, que voulez-vous, il manquait un guerrier à l'univers 7. Par ailleurs, sa présence peut potentiellement amener des choses intéressantes dans le prochain tome. À voir.



Un tome plutôt tranquille dans lequel il ne se passe pas vraiment grand-chose. Il met la table pour les prochains.

Non, non, non, non!



La fin du tome 4 redonnait une impulsion à l'intrigue et des difficultés considérables à nos deux héros. Des difficultés qui laissaient entrevoir une finale épique entre Goku, Vegeta, Zamasu et Goku Black.



Dès le début du tome, on est happé par la suite du combat titanesque opposant les quatre protagonistes (Zamasu et Goku Black ne formant qu'un suite à l'utilisation des potalas). On pense que Goku et Vegeta peuvent prendre le dessus puis survient un événement inattendu. Un défi de plus pour nos héros – et ça aurait fonctionner si seulement cet événement ne se serait pas répété à l'infini. Et, comme si les auteurs n'avaient pas su comment se sortir de ce chemin, une solution magique survient. Cette facilité est dommage et amoindri considérablement la qualité de l'histoire.



Même Beerus est critique de ce travail en mentionnant à Goku et Vegeta : “Je parie que vous n'y êtes pas arrivés par vos propres moyens”.



Le reste du tome voit Goku quémander un énième tournoi.



Les dialogues sont bons et cette pointe d'humour caractéristique de Dragon Ball fonctionne toujours. Une chance! Espérons que le tome 6 relève la barre.

De retour avec Black Goku. Toujours aussi intéressant de voir la progression de cet arc. Les combats et la montée de l’intrigue sont enlevants tout en gardant ce soupçon de naïveté qui fait que Goku est Goku, surtout lors de l’application du Mafuba. On sent à un certain moment dans l’histoire une facilité pour poursuivre le récit et c’est dommage. Je n’en dis pas plus pour ne rien dévoiler de l’intrigue, mais on sent que les auteurs sont arrivés, à un certain moment, à un cul-de-sac et qu’ils ne se sont pas creusé la tête plus que ça pour s’en sortir.



Oh et Bulma qui appelle Goku « p’tit son » est carrément énervant. De ce que j’ai lu dans d’autres critiques sur Babelio, notamment celle de Rhia (critique du 7 juillet 2018 si vous voulez la retrouver), ce serait une traduction littérale de son-kun. Les efforts sont proches de zéro dans ce cas-ci.



Oh (encore), Tortue Géniale s’appelle Papy. Je croyais que Goku allait voir Gohan, son grand-père, et quand j’ai vu Tortue Géniale j’ai dû revenir en arrière pour être sûr d’avoir bien lu et de ne pas avoir raté une bulle.



Néanmoins, j’ai vraiment hâte de lire le prochain tome qui promet la conclusion de cet arc. Les combats de la fin sont haletants et on veut vraiment savoir comment ça se termine.

Toujours un plaisir de retrouver les protagonistes de Dragon Ball. Dans ce tome 3, j’ai bien aimé le chemin que prend l’intrigue qui, me semble-t-il, est prometteur pour la suite. Il est agréable de revoir le Trunks du futur qui, je me souviens, était mon personnage préféré quand il est apparu dans la série originale. Le clin d’œil à Mario Kart est sublime!



Si j’ai eu du mal à entrer dans les deux premiers, l’arc du Trunks du passé m’a complètement rendu accro.