Killing stalking
Série de 6 livres (En cours). Écrite par
Koogi (6),
Killing Stalking est un manhwa yaoi/BL psychologique et violent. En bref, tout à fait ce que j'adore. Les graphiques ne correspondent pas à mes critères artistiques de base, mais je me suis laissée séduire en quelques pages.
La psychologie des personnages est très approfondie, on est clairement sur des caractères tourmentés, déments, et le syndrome de Stockholm/tueur en série est très bien traité tout au long de l'intrigue.
Je regrette le manque de régularité dans l'histoire. Par exemple l' épisode de la fête foraine à bien failli me faire refermer le livre, j'ai bien cru que l'histoire allait tourner en mayonnaise, virer au ridicule comme souvent dans le genre yaoi d'ailleurs. On passe de la violence extrême, au sang, au gore, et puis tout d'un coup, bing, une barbe à papa, un bisounours. Peu crédible.
La fin m'a également laissée sur ma faim. Je déteste les épilogues qui n'en sont pas, à la sensibilité ou à l'imagination du lecteur comme on dit.
Mais globalement je valide.
Commenter  J’apprécie         40
Killing Stalking est un manhwa yaoi/BL psychologique et violent. En bref, tout à fait ce que j'adore. Les graphiques ne correspondent pas à mes critères artistiques de base, mais je me suis laissée séduire en quelques pages.
La psychologie des personnages est très approfondie, on est clairement sur des caractères tourmentés, déments, et le syndrome de Stockholm/tueur en série est très bien traité tout au long de l'intrigue.
Je regrette le manque de régularité dans l'histoire. Par exemple l' épisode de la fête foraine à bien failli me faire refermer le livre, j'ai bien cru que l'histoire allait tourner en mayonnaise, virer au ridicule comme souvent dans le genre yaoi d'ailleurs. On passe de la violence extrême, au sang, au gore, et puis tout d'un coup, bing, une barbe à papa, un bisounours. Peu crédible.
La fin m'a également laissée sur ma faim. Je déteste les épilogues qui n'en sont pas, à la sensibilité ou à l'imagination du lecteur comme on dit.
Mais globalement je valide.
Commenter  J’apprécie         20
Killing Stalking est un manhwa yaoi/BL psychologique et violent. En bref, tout à fait ce que j'adore. Les graphiques ne correspondent pas à mes critères artistiques de base, mais je me suis laissée séduire en quelques pages.
La psychologie des personnages est très approfondie, on est clairement sur des caractères tourmentés, déments, et le syndrome de Stockholm/tueur en série est très bien traité tout au long de l'intrigue.
Je regrette le manque de régularité dans l'histoire. Par exemple l' épisode de la fête foraine à bien failli me faire refermer le livre, j'ai bien cru que l'histoire allait tourner en mayonnaise, virer au ridicule comme souvent dans le genre yaoi d'ailleurs. On passe de la violence extrême, au sang, au gore, et puis tout d'un coup, bing, une barbe à papa, un bisounours. Peu crédible.
La fin m'a également laissée sur ma faim. Je déteste les épilogues qui n'en sont pas, à la sensibilité ou à l'imagination du lecteur comme on dit.
Mais globalement je valide.
Commenter  J’apprécie         00
Enfin on sait ce qui s’est passé avec l’oncle de Bum ! Bon, on s’en doutait complètement, on savait que c’était de cet ordre, mais ici on a le récit raconté – et montré. Et une nouvelle avancée avec Sangwoo.
Un tome toujours aussi perturbant, où on comprend de mieux en mieux la psyché des personnages. J’adore avoir vraiment leur quotidien et comprendre le pourquoi ils agissent comme ils le font. J’en viens à éprouver de l’empathie pour eux… et en même temps, c’est ce qui rend la chose plus perturbante encore. Le fait d’éprouver de l’empathie pour une personne qui tue sans remord. Mais comment ne pas avoir d’empathie pour quelqu’un qui semble avoir un si lourd passé ? De si profonds traumatismes ?
Outre les problèmes de bien et de mal, de nuances de gris ou peu importe comment on les appelle, on peut s’arrêter sur les dessins et l’ambiance. Les dessins sont toujours sombres, l’ambiance est lourde, j’adore les silences qui se font sentir jusque dans le dessin. On ressent vraiment l’atmosphère oppressante, on ressent la tension, l’attente. L’auteur sait vraiment bien créer un sentiment chez son lecteur.
Commenter  J’apprécie         111