Killing stalking, tome 2

Plus d'un mois s'est écoulé depuis ma découverte de Killing Stalking... et comme l'indique ma photo de profil, je suis obsédé par Sangwoo et son monde. (Je jure solennellement que je ne suis pas un psychopathe !)

En réalité, les personnages vicieux tels que Sangwoo et Bum m'ont toujours intrigué. Et c'est dans ce manga que je trouve en quelque sorte « mon bonheur ».

Je dois bien avouer que je n'ai pas réussi à tenir les prochains tomes, et j'ai finalement fini par lire l'intégralité du manga sur Internet. Je dois dire... WOW ! Je ne m'attendais vraiment pas à ça, et j'ai pleuré comme une madeleine. Mais parlons de ce tome 2, que j'ai tout de même commandé et relu avec le plaisir de tenir les pages entre mes mains.

Les dessins sont juste incroyablement magnifiques, les couleurs sont parfaitement dans le thème de cette histoire forte en émotions. Ici, nous retrouvons Bum et son calvaire d'être séquestré. Il ne sait pas s'il souhaite s'enfuir ou rester, mais j'ai été aussi touché par Sangwoo que l'on découvre un peu plus, loin de l'homme malsain qu'il paraît être, il semble souffrir d'un manque affectif important, mais aussi d'une sorte de peur de l'abandon. Deux personnalités opposées sans savoir lequel des deux est véritablement Oh Sangwoo, c'est ce qui me tient en haleine durant ce manga.

Chaque fin de tome se termine d'une façon clairement horrible, non pas dans le sang, mais dans le suspens. Il me donne envie d'en savoir plus (c'est pourquoi je n'ai pas attendu pour continuer sur Internet, malheureusement et heureusement pour mon cerveau qui était torturé par l'intrigue).

Je me suis rarement pris d'affection pour un manga à ce point, encore moins pour un personnage. Mais je suis du genre à vouloir sauver ce qui ne peut pas être sauvé. Je vais le dire clairement : cette histoire est un chef-d'oeuvre, très bien pensé, avec beaucoup d'amour et de souffrance à la fois. Et surtout, elle part d'un rien et bouleverse un tas de vie. J'ai trouvé ça super intéressant.

Pour ceux qui veulent se lancer au bout de cette histoire, je vous souhaite bon courage et une très bonne lecture (car elle est incroyable) mais... préparez les mouchoirs.

Killing Stalking est un manhwa yaoi/BL psychologique et violent. En bref, tout à fait ce que j'adore. Les graphiques ne correspondent pas à mes critères artistiques de base, mais je me suis laissée séduire en quelques pages.
La psychologie des personnages est très approfondie, on est clairement sur des caractères tourmentés, déments, et le syndrome de Stockholm/tueur en série est très bien traité tout au long de l'intrigue.
Je regrette le manque de régularité dans l'histoire. Par exemple l' épisode de la fête foraine à bien failli me faire refermer le livre, j'ai bien cru que l'histoire allait tourner en mayonnaise, virer au ridicule comme souvent dans le genre yaoi d'ailleurs. On passe de la violence extrême, au sang, au gore, et puis tout d'un coup, bing, une barbe à papa, un bisounours. Peu crédible.
La fin m'a également laissée sur ma faim. Je déteste les épilogues qui n'en sont pas, à la sensibilité ou à l'imagination du lecteur comme on dit.
Mais globalement je valide.

Violent, violent et violent.

Je ne vois pas trop quoi ajouter. Dans ce tome on plonge dans l'horreur.

Alors si je peux ajouter que la psychologie de personnage de Bum Yoon est bien travailler. On comprend ses choix au travers de ses peurs, ses doutes mais aussi ses envies. Et même si parfois il frôle la folie c'est un personnage accessible. Un peu plus que Sangwoo, qui pour l'instant demeure secret.

Suite au prochain tome !

Belles lectures à tous.

Dans ce tome 2, on est dans un huis clos insoutenable. Bum doit prendre une décision entre la folie, les hallucinations et l'angoisse qui commence par l'habiter petit à petit.

Le suspense est tellement bien dosé que j'ai eu peur à chaque instant pour Bum, ne sachant pas ce que les protagonistes vont nous réserver.

On apprend un peu plus sur le passé de Sangwoo dans ce tome. La psychologie et l'ambiance malaisante est toujours aussi bien travaillée.

L'auteure arrive à chaque fois à me mettre en haleine et la fin, irrémédiablement cruelle avec ses personnages et nous lecteurs, j'avais qu'une hâte, me lancer dans le prochain tome.

Ici, on retrouve la relation absolument horrible et malsaine entre Sang Woo et Yoon Bum. Ce dernier semble avoir une irrépressible envie de partir, de s'enfuir, d'aller loin de son geôlier qu'il…a tout de même « choisi ». C'est vraiment singulier dans le sens où on ne sait vraiment pas s'il a envie de partir, ou s'il ne veut pas quitter celui qu'il « aime ». Est-ce un « bon » syndrome de Stockholm ou est-ce bien plus profond que ça ? Je n'étais pas aussi gênée que dans le premier tome, parce que là aussi, j'avais déjà lu en anglais mais c'est vrai que je me suis beaucoup posée de questions. C'est super malsain, assez glauque et bien trash…et pourtant j'ai aimé.

J'ai hâte d'avoir la suite, ça me triture le cerveau. J'ai besoin de réponses…Et de savoir comment tout ça va finir…J'aimerais que Yoon Bum soit « libre » de cette emprise et en même temps…Je sais pas…Que Sang Woo se « stoppe ». C'est étrange…Mais j'aime bien et je vous le conseille mais encore une fois, ce n'est pas pour tout le monde 😉
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