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Dernières critiques
Les Annales du Disque-Monde, Tome 6 : Trois..

On y est, j'ai trouvé mon idole : Mémé ! Presque toutes ses répliques me font rire, je n'en reviens pas ! J'adore ce personnage, qui se hisse parmi mes préférés de tous les temps ! J'ai cru voir qu'elle apparaît de nouveau dans le 12e livre, et je me demande donc si je ne vais pas faire une entorse à ma lecture chronologique pour la retrouver tout de suite...

A part ça, ce tome est très, très, très excellent : je vous le conseille absolument !!
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Les Annales du Disque-Monde, Tome 3 : La Hu..

"La Huitième Fille" de Terry Pratchett m'a laissé une impression mitigée, surtout en comparaison avec les deux premiers tomes que j'ai adorés. En tant que fan de Rincevent, son absence dans ce tome a certainement joué un rôle dans ma note.

Cependant, malgré cette déception, le roman propose toujours une plongée divertissante dans l'univers du Disque-Monde. Les personnages sont toujours aussi excentriques et attachants, et l'humour typique de Pratchett est bien présent.

Ce troisième tome explore de nouveaux aspects de l'univers du Disque-Monde, introduisant de nouveaux personnages et développant des éléments moins explorés dans les tomes précédents. Cette expansion de l'univers a maintenu mon intérêt pendant ma lecture, même sans la présence de Rincevent.

En conclusion, bien que ce tome puisse décevoir les fans de Rincevent comme moi, il reste une lecture agréable pour ceux qui apprécient l'univers fantasque de Pratchett. Le roman offre toujours une dose d'humour et d'imagination, permettant une nouvelle immersion dans le monde décalé du Disque-Monde.
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Les Annales du Disque-Monde, Tome 3 : La Hu..

Tambour Billette est un vieux mage. Comme tous ceux de son métier, il sait quand, où et comment il mourra. C’est pour cela qu’il se rend à Trou-d’Ucques, village perdu dans les montagnes, pour transmettre ses pouvoirs au huitième fils d’un huitième fils. Ça tombe bien, un forgeron, huitième fils d’une famille, attend que son épouse accouche de leur huitième enfant. « La magie m’a guidé jusqu’à vous, la magie s’occupera de tout. C’est d’ordinaire ce qu’elle fait. » (p. 8) Mais voilà, le marmot qui se pointe est une fille et il est trop tard pour rattraper les pouvoirs qui ont déjà été transmis. La petite Eskarina est donc confiée aux bons soins de Mémé Ciredutemps, sorcière renommée que personne n’ose trop contredire. « On les acceptait plutôt bien, les sorcières, dans les montagnes du Bélier, personne n’avait rien à redire sur elles. Du moins, quand on tenait à se réveiller le matin sous la même forme qu’on s’était couché la veille. » (p. 11) Là où ça coince encore un peu plus, c’est que la magie des sorcières, ce n’est pas celle des mages : la première est affaire de têtologie et de bon sens, la seconde repose sur les livres et les formules. Et surtout, de mémoire d’humain et de non humain, on n’a jamais vu un homme être sorcière ni une femme être mage. Pour Mémé, il n’y a que l’Université de l’Invisible qui peut former la fougueuse Eskarina et l’aider à contenir son immense pouvoir. Reste à savoir si l’illustre école de mages acceptera une petite fille en ses murs. « Elle serait sorcière et mage. Elle allait leur faire voir. » (p. 101)

C’est dans ce livre que Mémé Ciredutemps fait son entrée dans l’immense œuvre du Disque-Monde. Elle n’est pas encore aussi affirmée et solide que dans les autres récits consacrés aux sorcières, mais elle a déjà tout pour plaire. Un caractère bien trempé, l’art d’obtenir ce qu’elle veut et un talent certain pour créer autant que pour éviter les ennuis. J’ai beaucoup aimé ce volume qui explore la magie et ses dangers, la fragilité des parois entre les mondes et la proximité de créatures terrifiantes. « La magie peut être une sorte de porte, et il y a des Choses désagréables de l’autre côté. » (p. 35) Je continue évidemment ma lecture de ces aventures fantastiques !

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Les Annales du Disque-Monde, Tome 6 : Trois..



Le roi Vérence, seigneur du château de Lancre, est assassiné par un cousin, comme le veut la tradition familiale. A partir de là, différents événements se mettent en branle, régis et commentés par trois soeurcières un peu fêlées qui se réunissent en convent une fois par mois.

Il est difficile de raconter l'intrigue de ce roman, le sixième des annales du disque monde. Dans une ambiance moyenageuse, il fourmille de bizarreries en tout genre (le château qui perd des morceaux de temps en temps), de personnages fantastiques (fantômes, sorcières, tempête), de clins d'oeils à des contes ou à des pièces de théâtre. La scène finale est complètement déjantée. Ce n'est pas mon roman préféré dans cette série (Mortimer reste indétrônable) mais j'ai tout de même passé un très bon moment de lecture.



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Les Annales du Disque-Monde, Tome 3 : La Hu..

Si comme moi vous lisez la saga du Disque Monde dans l'ordre et que vous quittiez Deuxfleurs et Rincevent à regret, ne regrettez plus ! Les nouvelles têtes de cette "non-suite", Mémé et Esk, forment un duo tout aussi drôle et attachant. J'ai pris un très grand plaisir à suivre leurs aventures truculentes dans ce tome 3, qui est mon préféré pour le moment. Le récit est moins absurde sans rien perdre en humour (surtout dans les dialogues !), moins de péripéties donc plus simple à suivre, bref : j'ai adoré. :)
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Les Annales du Disque-Monde, Tome 6 : Trois..

L’humour y fait très régulièrement mouche et l’intrigue y est plus solide et complexe que dans les précédentes annales. L’ensemble constitue donc un récit plaisant, tout à fait recommandable et sans temps mort où Pratchett semble prendre une autre dimension.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..
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Les Annales du Disque-Monde, Tome 6 : Trois..

Pratchett, « Trois Soeurcières », Pockett 288 pages

Je vous ai déjà parlé du plaisir que j’ai à lire Pratchett.



Cet auteur est un magicien, capable de créer un univers d’une richesse incroyable. Il est un Balzac mêlé de Tolkien. Il a récrit non une comédie humaine, mais une immense comédie magique, dans laquelle fées, sorcières, mages et humains se côtoient.



Chaque tome est l’occasion de pasticher un univers et tout y passe : Shakespeare, Hollywood, le foot, l’informatique… Nul besoin d’être un génie pour repérer Cohen le Barbare. Ou le « fantôme de l’opéra » dans « Masquarade ».



« Trois sœurcières » est le sixième roman du Disque-monde et on retrouve mes personnages favoris : Mémé Ciredutemps et Nounou Ogg. Les deux sorcières en forment une troisième : la romantique Magrat Goussedail et toutes trois ont fort à faire pour venger l’assassinat du roi Vérence, tué par son cousin, et remettre son fils sur le trône. On reconnaît vite le pastiche de Macbeth.



C’est drôle à souhait, parfois impertinent. Très bien écrit. Magnifiquement imaginé et si, vous avez un coup de blues, n’hésitez pas à plonger dans Pratchett : il est parfait pour lutter contre toute morosité !
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Les Annales du Disque-Monde, tome 24 : Carp..

Tout Lancre célèbre le baptême de la fille de la reine Magrat et du roi Vérence. Si certaines invitations se sont perdues, les vampires ont bien reçu la leur. Invitée à entrer dans le royaume, une famille entend bien s’installer et prendre le contrôle. Allons, pas de panique, pieux dans le cœur, soleil en pleine face et décoction d’ail devraient régler le problème ! Ou peut-être pas… « À vrai dire, tout le monde connaît beaucoup de trucs sur les vampires sans imaginer une seconde que, depuis le temps, les vampires risquent de les connaître aussi. » (p. 54) Ces suceurs de sang se targuent de modernité : les anciennes légendes et les créatures magiques doivent laisser place au progrès. « Un modèle pour l’avenir. Vampires et humains enfin en harmonie. Toute cette animosité est fichtrement inutile. » (p. 113) Évidemment, Lancre est dans la panade… et Mémé Ciredutemps est introuvable alors que ses talents en têtologie seraient très utiles pour lutter contre cette menace aux dents longues. Or, tout le monde le sait, les sorcières, ça va par trois : la jeune fille, la mère et la vieille bique. Si Mémé disparaît et que Magrat reprend place dans le trio, les rôles sont un peu chamboulés…

J’ai retrouvé une nouvelle fois ces sorcières si attachantes. Nounou Ogg reste ma préférée, mais j’apprécie beaucoup le personnage d’Agnès et son double intérieur, Perdita. Ici, Terry Pratchett s’en donne à cœur joie en se moquant des représentants des religions monothéistes. Il ne faudrait jamais cesser de croire aux phénix, c’est évident ! Et encore moins cesser de croire aux vieilles femmes puissantes. « Les deux sorcières s’estimaient pourtant naturellement au-dessus de leurs contemporains et le reste du monde n’existait que pour leur permettre de le tripatouiller. » (p. 10) Il me reste à choisir le cycle des Annales que j’entamerai maintenant que j’ai achevé celui des sorcières !

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