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4.37/5 (sur 244 notes)

Nationalité : Espagne
Né(e) à : Huelva , 1982
Biographie :

Maria Hesse est une artiste espagnole.

En 2004, elle obtient son diplôme en tant que professeur des écoles à l'Université de Séville. Après avoir travaillé comme enseignante quelques années, elle comprend que l’illustration prend désormais une part très importante dans sa vie.

Elle s'inscrit à l’école d’art San Telmo à Malaga et travaille depuis comme illustratrice.

Maria a publié "Frida Kalho" ("Frida Kahlo: Una biografia", 2016) et "David Bowie: Una biografia" (2018).

Elle a travaillé pour la maison d'édition Edelvives dans la production de manuels scolaires. Elle a également été illustratrice pour des magazines tels que Jot Down, Maasåi Magazine, Fashion & Art, Público, Kireii ou Glamour, et collaboré avec des marques telles que Louise Boutin, Brugal, Compañía Fantástica et Martini.

En plus de son travail éditorial, les dessins de María Hesse ont été montrés dans diverses expositions.

son site : http://www.mariahesse.es/
page Facebook : https://www.facebook.com/Maria-Hesse-317296405030200/
Instagram : https://www.instagram.com/mariahesse/?hl=fr

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Citations et extraits (52) Voir plus Ajouter une citation
Iggy et moi avions de gros problèmes avec la drogue. Pour les résoudre, nous allâmes vivre à Berlin, capitale mondiale de l'héroïne.
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Je me peins parce que je suis le sujet que je connais le mieux.
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Lilith est une rebelle, elle enfreint les règles, refuse les ordres de son mari et se montre même rancunière. La première femme incarne tout ce que les femmes ne doivent pas être. Ève, soumise puisque née d’une des côtes d’Adam, n’est pas mauvaise par nature mais un peu idiote et, en se laissant piéger par le serpent, entraîne avec elle l’humanité entière. Lilith était perfide. Ève était une abrutie. Voilà pour nos origines.
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Pourquoi voudrais-je des pieds puisque j'ai des ailes pour voler !
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Vous vous demandez pourquoi les êtres humains sont si cruels ? Réponse : tout s’explique par le péché originel, commis par une femme, naturellement.
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« Tous les corps sont beaux : apprenons à les aimer avec leur âge, leurs imperfections et dans leur diversité. »
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Soudain, des buissons hérissés d’épines tranchantes envahirent le château et ses environs, et la princesse tomba dans un profond sommeil. Bien des jeunes gens tentèrent de traverser l’impénétrable forêt de ronces à la recherche de la belle endormie, mais il fallut attendre la centième année pour qu’un prince charmant parvienne à se frayer un chemin jusqu’au lieu où elle gisait inconsciente. Un baiser sur la bouche plus tard, l’adolescente se réveilla, miraculeusement épargnée par les cernes et la mauvaise haleine, et su tout de suite que ce jeune homme était l’amour de sa vie. On donna une nouvelle grande fête pour les deux tourtereaux qui vécurent heureux pour toujours. Des siècles après le conte original, en 1959, Disney offre au monde une version de l’histoire quelque peu édulcorée. La princesse s’appelle désormais Aurore et s’en va vivre à la campagne, en sécurité chez ses marraines fées. Là-bas, elle rencontre par hasard son futur fiancé, dont elle tombe amoureuse au bout d’une seule danse. Comme dans l’histoire antérieure, la tragédie finit par se produire, mais les personnages n’ont pas besoin de patienter cent ans pour voir le sort se rompre. Le chevalier intrépide franchit les ronces et lutte contre une sorcière furibonde changée en dragon. Il parvient à la vaincre, évidemment, et, à la fin du film, on chante tous en chœur avec la princesse et on se demande, si enfin de compte, sa robe sera bleue ou rose. S’il y a une chose dont nous sommes sûres, c’est que quelque part, se trouve un prince destiné à venir nous secourir. Comme beaucoup de petites filles, j’ai grandi dans l’espoir de devenir une princesse qu’un jeune et charmant prince viendrait sauver : on se marierait, on vivrait heureux, on aurait beaucoup d’enfants.
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Notre travail de création est toujours qualifié de féminin. Durant des siècles, depuis l’invention des premiers mythes et de manière universelle, les hommes ont raconté leur monde. Les idées masculines nous ont dépeintes, les unes et les autres, et nous ont expliqué ce que nous devions être. Ce n’est guère étonnant, au contraire, que nous nous sentions plus en phase avec le protagoniste masculin d’un livre u d’un film qu’avec la femme qui se tient dans son ombre et l’aide à vivre toutes les péripéties qu’il traverse. Mais fatalement, quelque chose cloche : le héros de l’histoire doit faire face à un monde très différent de celui que nous affrontons au quotidien. Il n’est pas confronté aux mêmes obstacles, il n’est pas tenu aux mêmes standards que l’on nous impose et il est certainement autorisé à faire beaucoup plus de choses que nous.
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Le foyer majestueux placé au-dessus de tout, est alors personnifié par la reine Victoria (qui d’ailleurs va se montrer capable de faire baptiser toute une époque en son honneur), elle-même symbole de l’incarnation de la féminité centrée sur la famille, la maternité et la dignité. Sa vie casanière est l’idéal familial d’une société ne reconnaissant aucun droit légal aux femmes mariées : ni accès à la propriété, ni vote, ni pouvoir sur les enfants du couple. Leurs droits sont soumis au bon vouloir de leurs époux.
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C’est sûrement par le plus grand des hasards si, chez les Grimm comme plus tard chez Disney, les belles-mères perverses sont des femmes fortes et débrouillardes qui ne dépendent d’aucun homme. Qui plus est, elles ne manquent pas d’esprit d’initiative et d’ingéniosité. Si elles ne passaient pas leur temps à essayer de tuer à tour de bras, on pourrait apprécier leurs qualités à leur juste valeur. Les héroïnes officielles, en revanche, ne font preuve d’aucune volonté propre.
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