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3.2/5 (sur 15 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Dean Jobb est un comme on dit true-crime ecrivain et professeur dans l'ecole de journalisme a l'université de king's college a halifax
il etait editeur et avait une colonne dans le journal "the chronicle herald" pendant 20 ans, son riche parcours de journaliste lui a valu de remporter trois fois "the Atlantic Journalism Award "



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Citations et extraits (10) Ajouter une citation
Toutes étaient pauvres et luttaient pour survivre, mais l'historienne britannique des sociétés, Hallie Rubenhold, montra de façon convaincante que, contrairement à la croyance populaire de l'époque et d'aujourd'hui, elles n'étaient pas toutes des prostituées: trois des cinq victimes, conclut-elle, n'étaient pas impliquées dans le commerce du sexe.
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Les collectionneurs de souvenirs pouvaient acheter des figurines en céramique de tueurs et de victimes. À l’image de l’Illustrated Police News et d’autres lucratifs journaux jaunes remplis de faits divers criminels, la presse de grande diffusion publiait des comptes rendus hauts en couleur de morts violentes et des procès qui s’ensuivaient. On allait jusqu’à s’excuser auprès des lecteurs quand on ne leur donnait à lire que de banales descriptions de « crimes ordinaires ».
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Des dizaines de milliers de personnes venaient souvent assister au dernier acte de la tragédie, l'exécution du coupable. Ces veilles malsaines persistèrent même après qu'eurent été bannies les pendaisons publiques en Angleterre, en 1868. Une foule bruyante continua à s'assembler à l'extérieur des prisons le jour d'une exécution, poussant des acclamations quand la mort de l'assassin était confirmée.
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Le dix-neuvième siècle fut celui des empoisonneurs. L'arsenic, l'arme de prédilection, des meurtriers, était en vente libre chez les épiciers et les pharmaciens, et apparemment omniprésent. On l'utilisait notamment pour se débarrasser de la vermine, des punaises de lit et d'autres insectes nuisibles. L'arsenic était aussi intégré aux médicaments utilisés dans le traitement de tout un éventail de maladies allant de l'asthme à la malaria, et en petites quantités dans les cosmétiques, les teintures, la peinture et le papier peint. Il était aussi fort utile quand on voulait se débarrasser d'un conjoint violent ou adultère, ou de tout autre importun, et il hâtait si efficacement le décès de parents riches que les Français lui avaient donné le nom de 'poudre de succession'.
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James Rayner of the Chicago druggists Buck &
Rayner, the target of Cream’s failed blackmail plot after Daniel Stott’s
death, submitted four letters protesting a possible pardon. “Cream is too
dangerous a man to be let loose upon the Public,” he warned. Stott’s murder
“was one of the blackest on record: entirely unprovoked and coolly and
craftily premeditated, designed and executed,” noted one of the letters.
“There are men in Chicago,” added another, “who have good reason to
think it is not the first crime of the same nature for which he is responsible.”
As well, the trial judge, jurors, and other Boone County officials were
expected to sign a counterpetition
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Même les morts dérangeaient les vivants. Les cimetières de Londres étaient si surpeuplés qu'un chemin de fer dédié, la ligne Necropolis, transportait les dépouilles d'une gare locale aux cimetières situé au sud de la ville.
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Cream had bragged of hiring the best criminal lawyer in the state, but
his father had refused to fund his defense. Instead, Daniel Cream and his
sisters had pooled their resources and sent three hundred dollars to help
with the legal bills, and Munn, who had acted for Cream on the obscenity
charges, took on the murder case. It was an uphill battle. He was an outsider
from Chicago, pitted against a team
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By the time the first witness testified on September 20, the nation was
in mourning. President James Garfield, felled by an assassin’s bullet weeks
earlier, had died overnight. “Grief and sadness seemed to cover the entire
country like a cloud,” noted an item in the Belvidere paper. Stores were
hung in black bunting.
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Il s'avéra que Haynes avait travaillé comme détective privé pour le gouvernement britannique dans les années 1880, quand Scotland Yard avait enquêté sur l'implication d'extrémistes irlando-américains, les Fenians, dans les attentats à la bombe perpétrés à Londres.
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Cream personnifie le méchant typique de l’époque victorienne, un individu inquiétant coiffé d’un haut-de-forme, avec un rire forcé et un regard sinistre de strabique. Le Jack l’Éventreur des empoisonneurs.
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