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Citations de Anonyme (7432)


Les Lois Universelles de l'Existence se réfèrent uniquement aux activités de la conscience ; elles sont précises et immuables ; elles ne sont PAS des récompenses ou des punitions de Dieu. (...)
Elles s'appliquent aux "Facteurs Causatifs" de la "Conscience" qui attirent/magnétisent des particules électriques, lesquelles, ainsi, se relient et apparaissent au monde sous des formes et comme des expériences extérieures, visibles et solides.
(dans BUT DE CES LETTRES - Livre 1)
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* Il se peut que vos prières spécifiques et passionnées en vue d'un soulagement de quelque sorte soient exaucées, mais cela sera peu profitable à long terme si votre esprit et votre coeur agissent constamment en contravention aux Lois Universelles d'AMOUR et si vous vivez dans un état d'esprit de critique constante. *
(dans BUT DE CES LETTRES - Livre 1)
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* Dans votre subconscient, vous rapportez des souvenirs fortement empreints, quoique cachés, de traumatismes/émotions passés, provenant de vies antérieures, qui peuvent surgir et colorer votre état de conscience actuel.
(dans BUT DE CES LETTRES - Livre 1)
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* Votre conscience personnelle est entièrement responsable de tout ce qui survient dans votre vie et vos expériences personnelles. C'est votre conscience personnelle qui vous apporte le bien ou le mal.
(dans BUT DE CES LETTRES - Livre 1)
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 Anonyme
Sushri Sangita Mishra

chemin

Le chemin est un point mobile.
Je m’y tenais, en arrêt, imaginant
ma première rencontre avec la vie
mon premier dialogue avec le monde des rêves
et mes bégaiements aux mots trébuchants
encerclant le temps.

Puis la révélation –
Le point ne m’appartient pas
ni à toi
ni à nos destinées.
Le chemin est un tapis d’illusion en marche
dont le rouleau libère la vie au-delà du voyage.

La piste n’a jamais amené le voyageur
à destination.
Elle le remet dans son chemin à perpétuité.
Et il en oublie ses rêves
son identité
et le souffle qui parcourt son domaine.
Et comme toujours
le boulevard passe devant l’arrêt
avant le coureur de chemin.

Pour ce que j’en sais, il n’y a nulle part où aller,
tous les chemins sont identiques.
Seul compte de cheminer
N’importe lequel d’entre eux m’emmène
jusqu’au point zéro
là où l’Histoire elle-même se manque
pour reprendre encore et encore.
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 Anonyme
Sushri Sangita Mishra

un voyage inouï – I

Tout autour de moi j’avais en couche épaisse
Mes proches et mes chers
Qui veillent sur moi tel un diamant solitaire,
Un havre de paix où prendre du repos
Un pilier solide auquel s’adosser.
Au-dehors était la foule
de critiques et de paraphraseurs
pour juger, avaliser, rejeter et surveiller.
Personne pour voir derrière les feux du diamant
les arrêtes aigües de la solitude qui blesse
Personne pour déceler,
enfouie dans le sourire étincelant, l’âme usée qui y vit
et attend encore une épaule
où poser la tête et verser une larme.

Je n’étais pas un solitaire
Mais je fis cavalier seul
Car, ce que j’avais vu, beaucoup ne l’avaient su.
Tous je les comprenais.
Je mis ma pleine vigueur dans mon jeu
J’enfouis l’univers entier dans mon cœur
Les amis et les ennemis.
Ceux qui défient le faisceau de lumière
Et ceux embusqués à l’orée de la nuit
Je les ai tous vus.

Mon voyage reste inouï
Mon emploi était singulier
Je devais dire ce qui m’était montré
Je devais écrire sur la paroi mouvante
Et y abandonner mes écritures
Sans savoir si quelqu’un les y trouverait.
Je savais cela, j’étais chargé de porter
Le poids de la sagesse.


un voyage inouï – II

Je le savais, j’avais été choisie, gouttelette
Pour être placée sur la feuille de lotus
Qui poussait dans l’estuaire.
Avec une part de moi-même
Immergée sous la mer,
Une part flottant dans l’azur,
Je glissais,
par la corde qui les relie
entre diable et Dieu

Au loin, se dressait
Une image depuis des siècles
Sans ciller, sans flancher
telle une tour – immuable
Parmi la peine et le désordre.
J’ai cueilli des éclairs de Vérité
Et en fit des langues de feu –
L’éclat
Trop brillant pour être soutenu
Trop doux pour être touché
Impossible à détourner
Et impossible à approcher

Aujourd’hui
Au seuil de cette époque
Au pied de la tour de la Vérité
Je m’assieds pour écrire mon épitaphe

“ Ici ont été conçues des visions
Naquît une intériorité
La vie était une mission à achever
Ma mort est le tout début de ma vie ”

(Un poème dédié à tous les poètes jamais nés, que la terre ait jamais portés)
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 Anonyme
Sushri Sangita Mishra traduits par Faustine Imbert-Vier
nuit

Qui, autre que la Nuit
peut entendre les mots silencieux.
A qui peux-tu dire
le parfum des fleurs.

Mes mois multiples –
mes mots brûlés de soleil,
les rêves à écrire,
les espoirs furtifs,
les ambitions non identifiées,
ego meurtri,
larmes à venir…
alors, attends la nuit
pour ta délivrance.
La Nuit traverse les tempêtes en mer,
les naufrages, les coups de foudre
et tisse un creux aphone –
résille, sûre et réconfortante.

La Nuit est le surmoi de notre solitude commune
celle qui sépare du corps
de l’ombre
de la conscience
Et caresse celui qui est tapi en nous.

Celui qui tient les reines
de nos larmes et de notre vanité
pourrait bien se consumer
pour une telle nuit –
Plus grande encore que Tout Lui-Même.

Sushri Sangita Mishra est une poétesse née en Inde dans l’état d’Odissa en 1975, récompensée dès ses premières publications. De langue odia, elle s’est mise à écrire récemment en anglais pour une plus large diffusion de ses poèmes, après s’être longtemps auto-traduite. Dans ses nombreux recueils, elle aborde par une approche profonde et philosophique la pauvreté, l’orientation de genre, l’éducation, le chaos du quotidien et célèbre la divine Nature avec le même long souffle qu’elle met dans ses récitals de chant. Les majuscules de l’écriture latine lui permettent de poser de précises emphases.
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Je reconnus même le capitaine ; mais comme j’étais persuadé qu’il me croyait mort, je l’abordai, et lui demandai à qui appartenaient les ballots que je voyais. “J’avais sur mon bord, me répondit-il, un marchand de Bagdad, qui se nommait Sindbad. Un jour que nous étions près d’une île, à ce qu’il nous parais- sait, il mit pied à terre avec plusieurs passagers dans cette île prétendue, qui n’était autre chose qu’une baleine d’une grosseur énorme, qui s’était endormie à fleur d’eau. Elle ne se sentit pas plutôt échauffée par le feu qu’on avait allumé sur son dos pour faire la cuisine, qu’elle commença à se mouvoir et à s’enfoncer dans la mer. La plupart des personnes qui étaient dessus, se noyèrent, et le malheureux Sindbad fut de ce nombre. Ces ballots étaient à lui, et j’ai résolu de les négocier jusqu’à ce que je rencontre quelqu’un de sa famille à qui je puisse rendre le profit que j’aurai fait avec le principal.” “Capitaine, lui dis-je alors, je suis ce Sindbad que vous croyez mort, et qui ne l’est pas : ces ballots sont mon bien et ma marchandise...”
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Pour moi, j’étais encore sur l’île, ou plutôt sur la baleine, lorsqu’elle se plongea dans la mer, et je n’eus que le temps de me prendre à une pièce de bois qu’on avait apportée du vaisseau pour faire du feu.
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Dans le cours de notre navigation, nous abordâmes à plusieurs îles, et nous y vendîmes ou échangeâmes nos marchandises. Un jour que nous étions à la voile, le calme nous prit vis-à-vis une petite île presque à fleur d’eau, qui ressemblait à une prairie par sa verdure. Le capitaine fit plier les voiles, et permit de prendre terre aux personnes de l’équipage qui voulurent y descendre. Je fus du nombre de ceux qui y débarquèrent. Mais dans le temps que nous nous divertissions à boire et à manger, et à nous délasser de la fatigue de la mer, l’île trembla tout à coup, et nous donna une rude secousse...
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 Anonyme
Shan Shan Hou

Histoire d'amour Les mains supérieures se régalent de la marmelade des morts

Un acte de Dieu suivi d'un sentiment aveugle mais bienveillant

Une énorme main balayant ses doigts ridés sur la terre

Des billes en vrac roulant toutes vers la même fatalité

Je ferais n'importe quoi pour donner naissance à un saint

Pour apprendre comment mettre fin au processus de délibération sans briser mon esprit Les

bâtiments ondulent dans une ville autrefois plate

Ce qui commence comme une relation pragmatique entre deux hommes se transforme rapidement en impulsion amoureuse primitive Des

voisins se promènent sans but dans un village construit sur un vaste réseau de lacs

Une décision fait sur la base de la commodité s'avère être une idée terrible

Un dieu sur une colonne corinthienne plantée au centre d'une ville surplombe une mer de trafic

Je le regarde et pense à quelque chose de rare comme la dernière expérience sexuelle au monde et s'il y a des circonstances où la trahison est autorisée

La partie la plus difficile de soi -la pratique est de garder les yeux ouverts

La partie la plus difficile de garder les yeux ouverts est de devoir assumer la responsabilité du calcul

Un adolescent téméraire est englouti par une fissure qui s'ouvre au milieu d'un trottoir

Winnicott dit : Quand il s'agit d'avoir notre vies planifiées pour nous, que Dieu nous aide si les penseurs prennent le dessus !

Une femme sans plan se cache sur un toit la nuit et met au monde une fille et un cochon

Je transmets un petit éclair d'électricité dans la tête du cochon

Envoyant des ondes de choc dans une ville où les femmes tiennent la moitié du ciel

Sur la route principale, Jésus offre à chaque conducteur une nouvelle vie sous la forme d'un papillon monarque

Je sais que ceux avec le dessus ce sont les

mains qui ont l'histoire Les mains supérieures déterminent quel type de peur est crédible et quel type ne l'est pas

Les mains supérieures vivent dans des maisons confortables au bord de la mer

Les mains supérieures résistent si intensément au changement que le reste de leur corps n'a d'autre choix que de se désintégrer

Je me demande ce que c'est que d'être déchiré par magie dans une exposition surprenante qui brûle 45 000 acres de terres agricoles

Un incendie de forêt rend le genre d'autant plus insignifiant

Le genre n'étant rien d'autre qu'une itération de sentimentalité et de honte

Je veux mourir de la plus belle des morts dans le bleu le plus profond

Je veux que ma mort soit confortable et intime, mais aussi victorieuse et sexy comme une meute d'hommes à moitié nus chevauchant des animaux sauvages

A flotte de papillons monarques descend d'un grand rayon de soleil dans une mer de trafic

Une histoire d'amour au loin déploie ses ailes de plumes

Il fut un temps où j'étais beaucoup plus courageux que maintenant

Il fut un temps où j'ai accidentellement fleuri à travers mon pantalon, casser la fermeture éclair

Mes cousins ​​éloignés brillent tout le temps

Ce qui était d'abord une cabane au centre de la ville devient un centre de naissance pour les saints

Accusé d'un crime

Forcés dans une confession

Forcés dans leur vraie nature : Un morceau de fruit suspendu éloigné de son arbre

Toundra sans arbres avec un horizon à peine visible et aucun repère 1

Une tache de naissance du ciel reçue avec les mains ouvertes et les visages ouverts 1 Le vers « Toundra sans arbres… » est tiré d'un texte de Niina Pollari.
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 Anonyme
«Toi, il faut que tu fasses ton choix définitivement : ou tu restes avec nous, tu vas apprendre le coran, tu vas devenir arabe (sic) et tu vas aller au paradis, ou alors tu vas dans la classe de français, tu vas devenir français …» Plus tard, je compris qu’il ne faisait que "réciter" un certain discours de propagande dont il ne comprenait ni les tenants ni les aboutissants.
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La sultane Schéhérazade, éveillée par la vigilance de Dinarzade sa soeur, raconta au sultan des Indes, son époux, l'histoire à laquelle il s'attendait :
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Lors du retour au Commissariat de Police, les Policiers constatèrent qu'aucun d'entre eux n'était capable de se souvenir du trajet de retour depuis la montagne - toute leur mémoire concernant ce passage avait été complètement oblitérée.
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Après quelques temps, les rayons luminescents s'estompèrent. La "méduse" se transforma en un demi-cercle lumineux et reprit son mouvement en direction du lac Onega, dont l'horizon était voilé par un nuage gris. Une flaque semi-circulaire de lumière brillante, rouge au milieu et blanche sur les côtés, se forma alors dans ce voile.
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Parmi les rapports ufologique les plus anciens par exemple, on trouve des observations bien documentées concernant une "grande soucoupe" vers 1882 et "un cortège de bolides" en 1913. Ces rapports sont toujours en attente d'enquête.
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Tous menèrent la plus agréable et la plus douce des existences jusqu’à ce que vînt les prendre la mort qui anéantit les plaisirs et disperse toute société.
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 Anonyme
Jaunesse : apéritif de la vie. Goût anis. Se boit avec excès.

JP (In Petto)
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 Anonyme
Cocaïne : ligne de fuite.

JP (In Petto)
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 Anonyme
« A tous mes amis, une belle année du Buffle ! 牛年冲天 ! Force, douceur, patience et détermination ! Le combat et le labour. » (Nicolas Idier, 12 février)
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