Moi, ce que j'aime, c'est les vampires...
Tu as envie d'en apprendre plus sur Dracula ? Découvrir comment "Buffy contre les vampires" a révolutionné la télévision américaine et comment - aujourd'hui encore - cette série continue de faire parler d'elle à travers comics et albums ? Rencontrer Alana, héroïne du roman très inclusif de Cordélia, bref... Si toi aussi ce que tu aimes, c'est les vampires, cette vidéo est pour toi ♥
J'y parle même (un peu) d'Edward Cullen...
Il y a des policiers qui sont supposés encadrer la Marche, bien sûr ils ont rien remarqué, ou ont choisi d'ignorer l'événement. On ne peut rien attendre d'eux, surtout pas une forme de protection.
Combien de fois j'ai imaginé des répliques, des scénarios où je leur tenais tête ? J'ai jamais osé. Et puis faut dire que j'avais pas spécialement d'alliés. Pourtant les gens voyaient et entendaient ce que ces connards me balançaient. Personne n'a jamais rien dit, personne n'a jamais cherché à me défendre.
Le monde de l'art n'est pas tendre avec les artistes noir•e•s et la littérature en fait partie. Nous sommes complètement invisibles ou réduit à nos traumatismes, à l'histoire de l'esclavage ou aux violences policières aux États-Unis. Quand on demande à quelqu'un de citer dix écrivain•e•s noir•e•s, il n'est pas rare qu'iel n'y parvienne même pas. Ou il est probable que la personne ne cite que des auteurices noir•e•s américain•e•s.
C'était un endroit humide, éclairé à la bougie. Les vampires ont beau avoir accès aux nouvelles technologies, ils s'entêtent à utiliser - notamment pour leurs éclairages - des systèmes aussi vieux qu'eux. Je les soupçonne de le faire exprès pour créer une ambiance oppressante et inquiétante.
Je me fraye un chemin à travers les valides, écrasant sans doute quelques pieds au passage. Mais aucun•e n'ose me faire la moindre remarque, iels ont cet air de pitié qui me fait vomir. "La pauvre", doivent-iels se dire. Eh bien, la pauvre leur roule dessus !
Ils doivent être punis pour ce qu'ils font, et le collège ne fait absolument rien. Les adultes, ils s'en fichent de ce qui peut se passer dans une classe. Ce sont "des enfantillages" à leurs yeux, des trucs sans importance. Sauf que c'est important pour nous. Ce sont nos vies.
Devoir cacher une partie de soi, mentir pour se protéger, esquiver les question, c'est usant et destructeur.
- [...] Et rare sont les sorcières qui acceptent de prendre des apprenties garçons.
- Elles n'aiment pas les hommes ?
- Disons qu'elles ont surtout peur d'être trahies et dénoncées. Cette méfiance date de l'époque des chasses aux sorcières, où des milliers de femmes ont été brûlées. La sorcellerie était un prétexte pour se débarrasser des femmes trop puissantes ou trop indépendantes, mais de trop nombreuses sorcières en ont fait les frais. Les hommes sorcières étaient moins suspects et certains n'ont pas hésité à livrer leurs consoeurs pour accaparer des biens, des terres et plus de pouvoir.
Oui, nous en avons assez. Oui, nous sommes à bout. C'est tous les jours, tout le temps, nous n'avons pas droit à une seconde de répit. Nous n'avons pas le privilège de pouvoir "oublier" notre couleur de peau, le monde entier nous rappelle que nos voix comme nos vies ont moins de valeur. Nous avons le droit d'être en colère, d'exprimer notre lassitude et notre douleur.
Et je ne pense pas me tromper en avançant que toi aussi, tu es une sorcière, Nora. Tu es un sorcier, Harry. C’est la première chose à laquelle je pense . Mme Wàn, c’est Hagrid ! Mon fou rire est incontrôlable