Pour soigner les fous, il faut d'abord prendre la peine de comprendre leur folie.
Il faut aussi profiter de leurs jours de lucidité pour les réadapter à la vie ordinaire.
Traiter continuellement comme un fou l'homme qui ne perd que de temps à autre le contrôle de son jugement, c'est l'enfoncer dans son infortune. (p. 67)